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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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ONE-SHOT Alfredo et Kûroe

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Alfredo O'dril
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Alfredo O'dril
Alfredo O'dril
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Lun 6 Aoû - 15:51
Il fait froid. Je suis dehors depuis une bonne demi-heure, devant l’hôpital, il fait nuit et malgré que la chaleur de l’été nous ai réchauffer en journée, maintenant que la lune était haute, un vent glacial striait la ville n’épargnant personne sur son passage. J’étais en retard d’une bonne vingtaine de minutes, pourtant je restais là à fixer le mur Ouest du bâtiment sans me décider à y faire un pas. J’étais en « congé » maladie depuis un peu plus d’un mois maintenant, mais je ne me sentais pas près à revenir. Pas près à revoir ces couloirs sans pourtant y croiser ton sourire, reprendre mes patients et les tiens, reprendre le boulot. J’ai soupirer, non je n’étais pas prêt et je commencer à me demander si je le serais un jour. Je ne craignais pas spécialement pour ma place, j’étais un Cumaël au capacité plus qu’utile dans ce boulot et la ville ne pouvait pas ce permettre de renier ça. Je ne craignais pas pour l’argent non plus, j’avais une belle réserve de coté et ma maison étant à moi, je ne payais pas de loyer ou autre chose du genre.

J’ai mis mes mains en poche laissant mon regard dévier doucement dans la soirée. Un peu plus d’un mois qu’il était mort. Je pouvais sentir le contact du tissus sur ma main, je ne sortais plus sans mes gants. Et je dis bien Mes Gants. Car depuis ce funeste jour, ma seule main valide c’était mis, elle aussi, à faire des siennes et je ne comprenais pas encore l’étendu des catastrophe qu’elle pouvait produire. Je m’y étais presque attendu pourtant, après tout nos pouvoirs sont lier à notre personnalité, et je pense pouvoir dire que j’ai changer. Je suis un peu plus expressif, un peu plus froid, un peu plus seul. C’est presque ironique quand on sait qu’un de mes frères à élu domicile chez moi et ne me laisse plus vraiment vagué à ma solitude tranquille.

C’est lui qui m’avait pousser à revenir travaillé et ces arguments tenaient la route. Mais une fois devant, tout ça semblait si vain et inutile. Je sais pourtant que certaine vie dépende de moi. Mais je sais aussi d’avance, que je pourrais causer plus de mal que de bien maintenant que je ne contrôlais plus ce que j’étais. C’est cet argument précisément qui avait permis mon congé maladif. J’avais pourtant encore pratiqué la médecine à quelques reprises. Notamment sur un de mes frères. J’ignore si je dois l’appelé ainsi vu que je l’ai rencontré après sa mort. C’est lui qui nous unissait comme une famille, pourtant Sonny n’en démord pas, nous sommes d’ailleurs devenu bien plus proche depuis. Mais soit.

J’avais donc aider à quelques reprise mon bon vieux Kûroe. Il faut dire que le regarder mourir sous mes yeux n’était pas dans mes projets, au même titre que tout ancien patient que je pourrais croiser. La mort ne me blase plus, elle me blesse à présent. J’ai tiré mes cheveux en arrière inspirant longuement l’air frai et j’ai finalement fait demi-tour. Il ne servait à rien que je reste là, je me savais incapable de rentrée et d’assumer mon job. J’ai donc pris le chemin du retour quand le bruit de l’ambulance attira mon regard malgré moi. Je n’affichais rien, je regardais simplement mes collègues, anciens confrères sortir précipitamment pour aider. Ils semblaient en galère. De ce que je pouvais voir, le patients ne voulaient pas être soignée et refusait malgré ces gémissements de douleurs, de les laisser le soignée. J’ai froncé les sourcils. Il est rare de voir ce genre de chose, pourquoi refuser les soins ?

Notre ville, notre peuple est pourtant régis simplement. Le droit au soins est présent et bien que les médicaments soit payant, les consultations et autres sont plus que généralement rembourser, ce ne pouvait donc être une histoire d’argent. La curiosité pris le pas sur mes angoisses et je me suis approcher, les mains à nouveaux en poches. Je vis un des hommes me regarder surpris, comme s’il ne s’attendait pas à me voir ici, ce qui devait être le cas, en faite. J’ai penché la tête pour comprendre et la surprise marqua clairement mes traits. La personne à l’intérieurs avait les jambes couvertes d’écailles au couleurs plutôt inquiétante, de longs cheveux, des oreilles, sa voix. Je reconnu aussi tôt mon frère. Il avait du avoir une crise sur son lieu de travail. D’habitude je me charge de le « rebooter » régulièrement, car avec toute les formules qu’il s’était injecter, son espérance de vie ne devait pas dépasser les trois mois.

C’est moi qui m’en occupais et dans le plus grand des secrets car ce sont des actes plus qu’illégales qui l’avai conduit à devenir un hybride de bien des races ! J’étais presque certain que Master et le conseil ne laisserait passer une tel chose si elle s’apprenait. Les hybrides sont tolérés dans le sens où ils viennent d’une unions de deux races. Pour ceux qui cherche à en devenir, c’est une bien plus sombre affaire. J’en connaissais deux, mon jeune frère Sixteen, et Kûroe que la panique envahissait à mesure qu’il comprenait que son entrée dans cette hôpital signait son arrêt de mort. J’ai sortie mes mains de mes poches, retroussant mes manches et je me suis mêler au autres. Ils parurent un instant surpris mais ne m’arrêtèrent pas. Après tout j’étais médecin et surtout j’étais bien plus fort physiquement qu’eux. Ils devaient pensée que je pourrais le forcer à descendre efficacement.

J’ai donc entrepris de rentré à moitié dans l’ambulance, attrapant de ma main ganté le bras de mon ami qui se figea dans la surprise. Je lui ai sourie pour le rassuré et il consentie enfin à descendre, non sans difficulté. Un silence assez lourd venait de prendre. Et je compris assez vite que le personnel médical ne comprenait pas la nature de mon sourire. Il faut dire je n’ais jamais sourie devant eux, et ça fait des années que je boss ici. Mais je n’ai pas pris la peine de m’y attarder. J’ai simplement annoncé d’une voix rogue, que je m’occupais de ce cas et le soutenant de mon bras, je l’ai emmener jusqu’à mon cabinet. Je ne regardais pas les couloirs défilé, je ne voyais pas les noms sur les portes. Je suis simplement retournée faire on travail ce soir-là.
Alfredo O'dril
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