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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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«Tu peux voir des choses que moi je ne peux pas, mais moi je peux entendre ce que je ne peux voir.» ◄► PV Sonny

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April Hawkins
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Humain
Mer 23 Aoû - 18:32
Chut ne le répète pas.Sonny x AprilC’était étrange. Oui je dois admettre que la situation était devenue super étrange d’un coup, il venait de me prendre les mains pour me dire qu’il ne pensait pas que c’était aussi sérieux entre Alfredo et moi, ce que je ne comprenais pas, c’est que ce n’était pas sérieux entre lui et moi, j’étais juste venue, car il m’avait invité, mais plus je l’écoutais plus je me disais que j’avais bien agis du coup, son courrier le mettait toujours de mauvaise humeur ? Sans doute allais-je contribué au fait qu’il allait être un peu de bonne humeur avec cette invitation ? Mais ce qui m’interpella vraiment ce sont les mains de Sonny, elles étaient plus douces, le touché était un peu plus agréable, alors que tantôt ce n’était vraiment pas ça. Un Distoriël qu’il était, il me l’avait dit. Il est vrai que du coup son apparence ne devait pas être compliqué à changer. Je lui touchais le visage doucement, car comme il l’a dit cela ne le dérangeait pas de me montrer cette apparence, mais quelque chose ou quelqu’un plus tôt m’empêcha de terminer ça. Sonny se mit à parler et à ce qu’il disait ça devait être Alfredo, il était donc là, la panique me prit et je ne savais pas quoi faire sur le coup sauf peut-être faire comme si de rien n’était. J’écoutais les paroles de Sonny et surtout j’essayais de savoir où était Alfredo être aveugle ça a du bon tes autres sens se font plus forts. J’ai juste lever la main pour rencontrer… Bah le torse d’Alfredo. Beh voyons Sonny où es-tu passé tout d’un coup ? Pourquoi c’est lui devant moi et pas toi ? J’ai froncé les sourcils et j’ai retiré ma main illico presto.

« Ah euh coucou Alfredo ! Je…Bah tu sais que j’aime bien savoir à quoi ressemble les visages haha ! Sonny a été très gentil avec moi, n’est-ce pas Sonny ? »

Pourquoi je me justifiais moi tout d’un coup ? Ce n’est pas comme si c’était quelque chose que je n’avais pas le droit de faire puis on ne faisait rien de mal où es-tu Sonny, tu es encore là au moins hein ? Tu n’as pas fui après lui avoir donné son repas n’est-ce pas ? Je me suis passée une main dans le cou, j’étais vraiment nerveuse sur le coup je ne sais pas ce que je pourrai sortir pour pas paraitre trop stressé.

« Euh ça s’est bien déroulé avec ton patient ? Je…Bah euh vu que tu vas manger je ne veux pas trop te déranger donc bon… »

J’ai reculé d’un pas et je ne sais pas quel miracle j’ai glissé sur un truc (indice un élastique qui servait à attacher les cheveux d’un certain Sonny) pour finir par terre comme une idiote. J’ai lâché un petit « aïe » et je me suis frottée le dos n’osant plus me relever et cherchant une excuse bidon comme quoi j’aimais le sol ? Non ça ne serait pas subtile, ah peut-être que je voulais voir de quoi était fait le sol ? Non toujours aussi nul.

« Ahahaha pardon je ne l’avais pas vu. »

Ok… Je peux mourir en paix, là je suis parfaite pour un enterrement, je parie que si mon père était là, il rigolerait, mon amie encore pire elle aurait pris en vidéo et elle me l’aurait montré dès que j’aurai eu la capacité de voir le monde !
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Alfredo O'dril
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Mer 23 Aoû - 20:02
Je me sens si vivant.Alfredo&AprilJe ne suis plus mort, tu m'as donné une nouvelle vie. Je te soulève avec toute ma force. Tu es tout ce qu'il y a dans mon esprit. Je ne m’intéresse pas vraiment à ce qu'ils disent, à ce qu'ils pensent. Je me sens si vivant.
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Ma journée avait mal commencé. J’étais nerveux j’admets que ça ne devait pas aider. J’avais eu la brillante idée d’invité la jeune voisine, April, à venir me rendre visite. Pourtant, je m’étais juré de ne pas m’attaché. C’est la mettre en danger. C’est un risque inutile ! Je sais pertinemment que je suis, moi comme William, suivit de près. Que ce soit de façon littéral ou imagé, alors l’embarquer là-dedans ? Comme si je ne m’en voulais pas encore assez d’avoir embarqué Sonny avec moi. Essayant de ne plus y penser, j’étais venus m’excuser auprès de lui car le travail venait de m’appeler, m’offrant ainsi une courte heure de répits. Je savais que je pouvais compter sur mon petit frère pour rester discret et je savais qu’il accueillerait bien April. Toute fois, je ne me voyais pas trop le prévenir. Car il ne me laisserait définitivement pas partir. Le regardant donc une dernière fois affairé à son travail, le visage libre, que je me suis décidé à finalement partir.

Attrapant ma blouse, saluant Lawrence de loin, je prenais la direction des urgences pour venir aider. Aujourd’hui, service des grands brûler. Pourtant mes pensées étaient dirigées toute ailleurs. Viendra-t-elle réellement ? Qu’en pensera Sonny ? Ai-je bien fait de ne rien lui dire ? Sera-t-elle déçus ? Est-ce qu’elle me déteste finalement ? Son poignet va bien ? Retirant mon gant pour la troisième fois depuis ce matin, j’entrepris de me concentrer pour faire visage neuf à la petite fille de neuve ans qui me faisait face. Je n’aime pas trop travailler avec des enfants. Mon pouvoir est toujours plus retissant avec eux et j’ai toujours peur de faire une connerie. Puis il faut bien ce le dire, je leurs fait un peu peur avec ma tronche de sérial killer. Et je ne peux pas vraiment le démentir.

Finalement se fut vite fait et le moment où je retirais ma blouse pour rentrer me semblait déjà trop proche. Les mains en poche, j’ai rejoint ma voiture, rare privilège dont je jubile tout simplement, et je suis rentré. J’ai ouvert le porte un peu nerveux pour trouver Sonny sous sa forme incroyablement sublime du jeune homme aux cheveux rose, joliment occupé à draguer April, à qui cela ne semblait pas déplaire. Je me suis blasé un peu plus et je suis venus attraper mon frangin avec un regard qui en disait long. Chasse garder mon garçon, ne joue pas sur mon terrain… Attendez, non pas chasse garder ! Je l’ai fait venir pour qu’on mette les choses au point, c’est tout ! Ce dernier se justifia visiblement mal à l’aise et April en fit tout autant. Je venais vraiment d’arrivé comme un cheveux dans la soupe. J’ai pesté tout bas et j’ai attrapé mon courrier pour aller me mettre dans le sofa. Puis merde. Qu’ils se draguent, je m’en fou !

Sonny ne tarda pas à faire intrusion dans mon champs visuel, pour s’excuser du fait qu’il allait devoir partir. J’ai plissé le regards un moment pensif. Tu me fais quoi là au juste ? Son sourire empreint d’une innocence des plus louche me fit lever les yeux au ciel et j’ai reporté mon regard sur mon courrier. Tiens ? Une lettre semblait se démarquer et je me suis retourné pour voir mon cher frère embrasser la joue d’April avant de sortir tout content.

- Tss… Fait pas attention, il est tout le temps comme ça.

J’avais passé sa blague et le fait qu’elle se soit mangé le sol avec violence car je savais pertinemment qui réagir n’amènerait rien de bon de ma part. J’ai donc à nouveau regarder l’enveloppe et son contenu avant de rougir quelques peu.

- Une exposition ?

Cette fois j’ai à nouveau regardé April. C’est quoi ce foutus bordel ! Et elles étaient là quand je suis parti ces fleures ?

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Alfredo O'dril
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April Hawkins
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Lun 25 Sep - 20:12
Chut ne le répète pas.Sonny x April J'étais restée par terre, Sonny partait ? Mais pourquoi il faisait une telle chose ? Il ne pouvait pas partir comme ça ce n'était pas prévu et ça faisait hyper louche entre nous il aurait pu faire une sortie plus subtile. Au début je n’ai pas osé bouger, ne sachant pas quoi faire et ne sachant pas vraiment ce que faisait Alfredo ça serait gênant de faire ou dire quelque chose, alors qu’il était occupé, je me suis juste relevée quand même histoire de ne pas dire coucou au sol trop longtemps en plus du fait que ce n’était pas confortable du tout. J'ai froncé les sourcils en l'entendant, il semblait étrange dans sa façon de parler. Oui une exposition. Est-ce qu'il a déjà oublié mon boulot ? Non quand même pas, je n’y crois pas. Je me suis demandée ce que je pourrai lui dire je me suis demandée ce que je pourrai faire pour qu’il se sente bien. Je ne sais pas du tout. Je sais que ce n’est pas facile de me dire les choses vus que je suis aveugle, mais il peut sans doute faire un effort non ?

« Ah euh oui comme je disais à Sonny. Il y a une exposition dans mon école et euh vu que j’avais des invitations en plus et que bah euh... »

Je crois que je ne suis pas douée pour les mensonges. Je ne vais pas sortir que j'invite n’importe qui si ? Je devrai juste lui dire la vérité ça vaut mieux pour moi et le reste de la planète. J’ai pris une profonde inspiration et je suis dirigée vers là où sa voix me dirigeait. Je me suis arrêtée devant lui, je ne sais pas s’il était assis ou non, mais je sais qu’il était devant moi. J’ai froncé légèrement les sourcils ne sachant pas quoi faire concrètement. Puis je lui ai juste sourit légèrement. Je sais que c’est idiot, mais je ne vais pas passer ma vie à lui mentir non ? Je ne vais pas mentir à un homme qui a été si gentil avec moi, alors qu'il n’était pas obligé. J’ai tendu la main et il était effectivement bien assis. J’ai repris ma main vers moi tournant la tête de gauche à droite. Je ne sais pas si je peux vraiment lui dire après tout ce n'était pas un mensonge si je ne disais rien ? Hum si concrètement ça l'était. Alors j’ai pris mon courage à six bras et j’ai respiré un bon coup.

« je dois t’avouer que c’était pour t’inviter toi. Que tu vois mon boulot et le boulot des autres en dehors de ce que tu as pu voir chez moi. Je sais que c’est idiot. Mais c’était comme un cadeau de remerciement, j'ai même proposé à Sonny si jamais il veut venir ou bah si toi tu ne veux pas. Je sais que ça fait étrange. Pardon. »

Je me suis gratté e le cou un peu gêné pour le coup. Je ne pensais pas que ça allait être si compliqué de lui dire les choses, mais au final apparemment c’était justement compliqué. Comment dire à quelqu’un subitement que tu veux le revoir, mais qu’il n'est pas obligé ? Bah oui… Ce n'était pas si simple comme situation Puis bon voilà je sais que ça peut être gênant venant de ma part. J’ai du coup haussé les épaules comme si tout ce que j’avais était logique. Puis je me suis assis juste à côté de lui.

« Tu n’es pas obligé de répondre. J’ai juste fait ça, car voilà, mais tu n’es pas obligé. Je n’attends pas grand-chose. »

Je ne m’attendais pas à ce qu’il vienne, je ne m’attendais pas à ce qu’il accepte, je lançais juste l’invitation, s’il voulait venir j’en serai vraiment heureuse, s’il ne vient pas, eh bien je comprendrais ce n’est pas un drame je suppose, il est bien occupé après tout. Oui essayons de se dire ça. Oui. Je me suis mise à jouer avec mes cheveux tout doucement attendant une réponse quelconque. On était là pour discuter après tout donc autant qu’on discute qu’on sache où ça va nous emmener.

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Alfredo O'dril
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Mar 26 Sep - 20:51
Je me sens si vivant.Alfredo&AprilJe ne suis plus mort, tu m'as donné une nouvelle vie. Je te soulève avec toute ma force. Tu es tout ce qu'il y a dans mon esprit. Je ne m’intéresse pas vraiment à ce qu'ils disent, à ce qu'ils pensent. Je me sens si vivant.
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J’ai soupiré en parcourant du regard le reste de mon courrier qui se mêlait des lettres habituelles auxquelles je ne prêtais presque plus d’attention depuis les années. La voix d’April si douce soit elle ne pouvait soignée tous les maux. Et pourtant. Elle me réchauffait jusqu’à ce que j’en comprenne les dires. Comment ça ? Elle avait invité Sonny et faute de pouvoir l’avoir elle se rabattait sur moi ? J’ai baissé les yeux en grommelant inaudiblement. Foutus polymorphe à poil rose ! J’aurais dû me douter qu’elle flasherait sur elle. Sous sa vraie forme de Distoriel il est plus qu’irrésistible. Je me suis frotter l’arête du nez en silence méditant les mots que je venais d’entendre. Je n’avais guère envie de lui servir de bouche trou ! Elle apparut finalement dans mon champ de vision, semblant mal à l’aise. J’ai froncé les sourcils. Elle m’en veut réellement alors. En même temps, j’espérais quoi après avoir agis comme un tel con la dernière fois que je l’ai vu ? Qu’elle me sauterait dans les bras ? Naïf petit Cumael.

Elle essaya de déterminé où j’étais exactement, sans que je ne claque des doigts cette fois, aller comprendre. Et elle prit une longue respiration. J’ai grimacé, oui je suis capable de bouger mes muscles faciaux, je n’aimais pas ça. Finalement mon regard se fit plus que surpris et tout mon visage en témoigna. Bénis le fait qu’elle soit aveugle, j’offrais une mine bien drôle à voir. Mais elle m’invitait ! Moi ! Dans un lieu public ! Reprenant réalité j’ai laissé mon regard retomber sur les lettres que je tenais… J’étais suivis, ça aussi c’est un fait. Y aller est dangereux, il verrait que je l’apprécie et pourrait s’en prendre à elle. Et même en dehors de ça… J’ai laissé le papier glisser entre mes doigts. Que dirait-on elle, si elle me fréquente. Ceux qui savent qui je suis, me juge pour les nombreuses vies que j’ai prises. Ce que je ne peux blâmer en soit. Elle s’assit finalement à mes cotés et j’ai retenus avec peine, un soupire résigner. Je ne pouvais pas lui imposer ça, définitivement.

April, tu ne comprends donc pas ? J’ai beau te porter en affection, aux yeux du monde je suis un monstre relâcher faute de justice. Te montrer avec moi à tes cotés n’est pas une bonne idée. Et…


Pouvais-je réellement lui parler ? Des lettres ? De ces gens qui me détestes au point de vouloir ma mort ? De ces vies que j’ai prises ? De ces familles que j’ai détruit de chagrin, sans même une émotion ? De ces gens qui me suivent car à leurs yeux je suis une arme précieuse ? Un long frisson me parcourra l’échine. Mon âme me crie que oui, et pourtant c’est une pensée insensé et irréfléchie ! Je ne peux pas la mettre en danger simplement car je me sens seul, simplement car je veux parler. J’ai un PSY ça devrais amplement me suffira ! Sans même que je réalise pleinement, je lui ai mis les quelques lettres qui rythmais mes journées depuis des années, entre les mains.

Les gens me détestent, ils veulent vengeance. Tu comprends, April ? Et en dehors de ça, d’autres personnes ont utilité de moi et me tienne à l’œil. Te montré à mes côtés, est une hérésie égoïste que je ne peux définitivement pas m’accorder. Si je t’ai invité ici c’était pour te dire ça. Mais …

J’ai soupiré, je n’en avais pas envie. Je voulais encore qu’elle soit près de moi. Elle qui ne m’a pas fui. Elle qui m’a écouté. Elle qui ne m’a pas jugé, alors qu’à la première rencontre je l’ai souillé d’un passé trop sombre, pour la pureté de son être. Oui je m’en voulais, mais une chose encore plus forte que le remords prenait le dessus. Cette vérité, je la connais pour l’avoir déjà affligé à autrui, et je me refuse de tombé encore une fois. Malgré mes dires malgré mes faits, je ne peux pas succomber. Alors pourquoi je me penche ainsi vers elle ? Pourquoi mes lèvres frôlent-elles la peau si douce de sa joue ? Pourquoi cet élan de chaleur qui m’envahit tout entier ? J’ai finalement repris ma place en me passant une main sur le visage. J’étais si heureux qu’elle veuille ainsi ma compagnie ! J’aurais voulu l’accompagné, main dans la main, sourire à ces œuvres et à sa voix. Mais non, je suis né Cumael, et je dois encore le payer de ma vie.


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Lun 23 Oct - 19:34
Chut ne le répète pas.Sonny x AprilNous vivons dans un monde dangereux, un monde qui ne laissait pas de place à la gentillesse normalement, on ne pouvait pas réellement compter sur quelqu’un cependant moi je voulais faire un effort, je voulais croire que dans ce monde si triste, il y avait un tout petit espoir, cependant on ne peut pas dire que la vie m’a beaucoup aidé, je suis née aveugle, je suis née sans pouvoir voir quelque chose j’étais quelqu’un sans lumière, une personne dans le noir constant, mais e me suis dit que justement de cet handicap je pouvais ressortir quelque chose de vraiment important. Quelque chose de beau. Quelque chose de magnifique, quelque chose que personne ne peut comprendre réellement, cependant tout ce qui m'importait pour le moment était juste à côté de moi, il n'était pas loin, je pouvais l'entendre respirer, je pouvais tout entendre et sentir, cependant je n'étais pas sûre de comment je me sentais face à ses propos, je me sentais triste je crois ? Je ne sais pas vraiment, une sensation étrange était survenue. Une sensation désagréable, mais une sensation qui semblait aussi dire que je m'y attendais je n'étais qu'à moitié surprise en réalité et je sais que c'était quelque chose de mal, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je me sentais comme prisonnière de mes propres sentiments et ça me saoulait un peu. Je me sentais vraiment étrange. Pourquoi il se souciait de ça on était pas obligé d'y aller ensemble il pouvait juste faire genre qu'il allait à un truc random et on se parle car mes œuvres lui plaisent même si je n’y crois pas trop. Mais il faut bien qu’il fasse quelque chose que je fasse quelque chose, je m’en fiche moi si les gens viennent m’insulter, ça je traine avec lui. Ils pensent que ça va faire revenir leurs enfants s’engueuler ou de le menacer ? C’est triste à dire, mais ils sont morts et ils ne reviendront pas. C’est juste comme ça. Son souffle près de ma joue, sentir la texture de ses lèvres, j’ai juste fronce les sourcils en le sentant recule et continuer de parler.

Je comprenais cependant ce qu’il souhaitait, mais c’était plus fort que moi, je voulais qu’on continue de se « voir » même si on n’était pas… Enfin même s’il ne voulait pas qu’on soit ami ou je ne sais quoi, il peut bien venir à une exposition sans qu’il soit avec quelqu’un non ? Ce n’est pas comme s’il ne pouvait pas parler aux autres, après tout il était bien médecin non ? Les gens n’allaient quand même pas aller voir tous ses patients pour régler leurs comptes avec Alfredo non ? C’est complètement idiot puis de toute façon je suis aveugle qu’est-ce qu’on s’en fiche. Je les ignorais juste. Je suis comme ça oui, je n’aime pas qu’on m’empêche de voir un ami juste pour des raisons de vengeances ou je ne sais quoi encore.

<< Mais on n'en fiche Alfredo ! Ecoute les gens veulent se venger ? Ok, bah si ça les amuse de faire quelque chose qui ne fera rien du tout qu’ils le fassent, après oui je peux comprendre que pour l’autre cas tu veux faire attention, mais si tu vas juste tout seul et que tu parles à quelqu’un en quoi ça dérange les gens, tu parles à des personnes tous les jours lors de ton boulot, faisons juste comme ça non ? >>

Oui je crois que j’étais un peu en colère, je crois que j’étais plus en colère par le fait qu’on ne laissait pas Alfredo tranquille que par le fait qu’il disait que pour mon bien, on ne pouvait pas « trainer » ensemble. Lui qui s’en fichait de mon handicap, lui qui m’avait aidé, qui avait tenté de m’aider, alors que c’était peine perdue. Je me suis passée une main sur la joue qu’il avait frôlé. J’ai soupiré légèrement. Puis j’ai levé un peu ma main pour venir la déposer sur la cuisse d’Alfredo.

<< Mais… Je ne vais pas te forcer Alfredo. Je sais que ce n’est pas un choix facile de dire ça, mais sache que mon invitation tiens toujours, même si tu ne viens pas me parler… Je ne le saurai pas après tout. >>

Oui je n’allais pas l’obliger à faire quelque chose, alors qu’il s’obstinait à me dire qu’il ne voulait pas pour ne pas me mettre en danger, c’était certes triste pour nous deux, mais au final qu’est-ce qu’on peut y faire ? Je ne peux pas le forcer et il ne veut pas mettre en danger, nous sommes tous les deux des têtes de mules, je parie que j’aurai beau dire les choses et lui aussi, jamais on changera d’avis et si l’un de nous change d’avis, ça va nous faire étrange. Je lui souris un peu, relevant la main de sa cuisse pour la poser sur son épaule, puis doucement vers son visage. Je me suis redressée un peu et je suis venue déposer un bisou sur sa joue, doucement, discrètement, un tout petit bisou, j’ai enlevé ma main de sa joue et je me suis assise de nouveau.

<< Tu veux que je rentre chez moi du coup, maintenant qu’on s’est dit les choses ? >>

Je ne savais pas quoi lui dire, je ne sais pas quoi faire, je ne voulais pas partir, mais il voulait qu’on dise quoi d’autre ? Je ne savais pas spécialement envie de partir, je voulais rester ; je voulais qu’on parle de tout et de rien, mais est-ce qu’on a le droit là maintenant ? Est-ce que j’ai le droit de faire ça ? Je ne sais pas du tout.
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Ven 24 Nov - 17:53
Je me sens si misérable.Alfredo&AprilJe ne suis plus mort, tu m'as donné une nouvelle vie. Je te soulève avec toute ma force. Tu es tout ce qu'il y a dans mon esprit. Je ne m’intéresse pas vraiment à ce qu'ils disent, à ce qu'ils pensent. Je me sens si vivant.
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Ces paroles me firent l’effet d’une baffe. On s’en fiche ? Se rendait-elle réellement compte du danger ? Suis-je bête. Bien sûre que non. Elle ne sait rien du maître ou de la vie que j’ai pu mener. Elle s’imagine sans doute tout un tas de chose, mais qui devait être encore bien en dessous de la vérité. Même pour mes patients je devais faire attention ! Même si aucun d’entre eux ne me prêtaient une réellement attention, ça arrivait encore parfois ! J’ai repensé à Nickolas une fraction de seconde. Je l’aimais bien ce con, mais je me devais de rester neutre envers lui aussi. Je pense que le peu de personnes que je me permettais d’aimer, étaient assez fort que pour se défendre un minimum, ou alors était déjà tout simplement condamné… Le visage de Lawrence me voilà la vue un moment et j’ai détourner le regard, comme si cela pouvait aider à ne plus y penser.

Que pouvais-je bien lui dire. Je l’aimais plus que je ne voulue même me l’avouer. Alors si je prenais le risque d’accepter cette fois. Pour le peu que quelqu’un l’approcherait de trop près… Je me connais ! Je suis d’une jalousie parfois, tel que je m’en mettrais des baffes. J’ai retenu un autre soupire résigner. Elle posa finalement sa main sur ma cuisse, ce qui me fit non seulement rougir, mais me fit également revenir à la réalité des choses. Je l’avais fait venir pour mettre un terme à tout ça ! Je devais le faire. Quitte à ce qu’elle ne me parle plus jamais. Je préférais la voir loin de moi, que morte. C’est logique, non ? Et oui, même si je suis très jaloux, j’allais devoir m’efforcer de l’ignorer. Elle et ce type dont j’avais explosé le buste chez elle… Preuve en est, que je suis assez peu responsable.

Ces paroles étaient d’un triste ! Je m’en voulais terriblement de ne pas avoir pu la soignée. Moi qui pensais avoir enfin trouver une utilité à cette foutus main, mais non ! Bien entendus quand je pense en avoir vraiment besoin, elle ne sert à rien ! Je réalisais également qu’elle ne lâcherait pas l’affaire aussi simplement que ça. Me crispant un peu plus, j’allais vraiment devoir arranger ça. Elle me toucha l’épaule cette fois. C’était trop de tendresse, plus que je n’en avais jamais mérité. Mon visage, s’enflamma à son contact, et j’ai dû mettre toute la force dont je suis capable pour ne pas la regarder. Quand elle m’embrassa pourtant, ne faisant que reproduire mon propre geste. Je su que j’allais faire ici la chose la plus dur de ma vie. Sans doute même aussi dur que ce que je ferais à Lawrence.

Je me suis levé dès qu’elle reprit parole. Je dois le faire. Sa voix était si douce. Je dois le faire. Elle semblait vouloir rester, vouloir m’aider. J’ai serré le poing. Putain Alfredo fait le juste ! Tu as trop fait durer les choses, c’est pour ça que c’est aussi dur ! J’ai donc retiré mon gant et je suis venu poser un genou entre ces jambes pour me pencher et lui poser ma paume sur le front. Elle devait savoir que c’était cette main, ma cicatrice en témoignait. J’avais le souffle saccader. C’était pourtant si simple, combien de personne avais-je fais fuir ? Hurler de peur ? C’était si simple… J’ai composé ma voix de manière à ce qu’elle sonne juste, froid et sans le moindre ressentie. Aller Al’ Action.

- Si je te détruis maintenant, tout sera plus simple pour moi. Je serais enfin tranquille. Je n’aurais plus à supporter de gamine par simple bonté d’esprit.


Je me suis avancée, pour qu’elle sente mon souffle contre son visage. Bon Dieu que j’avais envie de l’embrasser…

- De foutus gamine qui ne pense jamais à rien, qui ne servent à rien… Qui pense qu’elle peut me suivre sans que je ne finisse par m’énerver ? Tu es vraiment inutile et stupide April. Tu penses que j’en ai quelques choses à foutre de toi ?

J’ai reculé. Je me faisais mal à moi-même. Je ne rêvais que de la prendre dans mes bras, la berçant, m’excusant, lui jurant que tout était faux. Aller encore un petit effort et ce serait fini !

- Explique moi donc ce que je ferais d’une minette aveugle. J’ai essayé de te faire partir gentiment, mais tu es trop bête que pour le comprendre. Ne te fourvoie pas, je n’ai fait qu’être poli jusqu’ici, RIEN de plus. Maintenant sort et ne reviens jamais. Je te prie. J’ai d’autre chose à faire que le garde malade.


Je pouvais sentir une goutte d’eau salé parcourir ma joue. Je pleurais ? M’étais-je déjà arriver ? Sans doute une fois, une seule fois. Ou j’avais perdu le contrôle de façon tout à fait impressionnante. C’était trop pour moi. Je sentais ma main vibrée sous mes émotions. Sort April putain, je ne pourrais pas tenir plus longtemps ! J’ai finalement reculé jusqu’à sortir du salon pour aller m’asseoir dans la cuisine. Sort, part, fuit ! C’est un comportement normal ! Après tout... Tout à une fin.


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Mar 5 Déc - 3:11
Chut ne le répète pas.Sonny x AprilCe que je n’ai jamais aimé chez les autres, ce que j’ai toujours détesté quand on me parlait, c’est qu’ils pensent tous que je ne sais pas quand quelqu’un ment, ils pensent sans doute que je ressens moins les choses, car je ne peux pas voir ce qu’ils font, mais j’entends, je ressens quand même les choses et ce qui m’énerve là maintenant c’est le fait qu’il pense que je vais croire en ses paroles, elles semblaient pourtant si juste d’un côté. Qu’est-ce qu’il pouvait bien faire d’une fille aveugle comme moi ? Il y avait tellement mieux dans le monde, je pouvais parfaitement le comprendre, sa main sur mon visage, pendant un instant, juste un court moment, il aurait pu faire pouf comme il avait fait la première fois, mais il ne le faisait pas. Il parlait juste. Une gamine hein ? Je pouvais « sentir » que quelque chose n’allait pas dans tout ce qu’il disait. J’étais stupide et inutile, je pouvais concevoir qu’il voulait que je parte, mais il était obligé d’en faire trois tonnes ?

Juste la politesse, juste une gamine. C’était vraiment n’importe quoi, je l’avais senti à quelques centimètres de mon visage, j’avais bien senti sa main tantôt, j’avais bien senti ses gestes quand nous étions assis l’un à côté de l’autre. Je n’étais pas bête. C’était juste pour me faire partir, juste pour faire je ne sais pas quoi et je n’appréciais pas qu’il en fasse autant au lieu de dire que oui il sentait que même en faisant attention on ne pouvait pas se voir, il pense que c’est quelque chose qui va me faire partir plus facilement ? il se trompe, mais il y a bien quelque chose qui me mettait vraiment en colère actuellement, quelque chose qui allait me faire partir et ce n’était sans doute pas ses avertissements foireux qui avaient eu raison de la situation, c’était quelque chose de bien plus sentimental sur le coup, quelque chose que je n’aimais pas spécialement, mais je devais de faire la fille joviale comme d’habitude, je ne pouvais pas faillir, il devait comprendre que cette technique n’allait pas marcher sur moi, mais bon… Si ça lui faisait plaisir de croire une telle chose.

Je me suis relevée sentant bien évidement qu’il n’était plus à côté de moi, ni devant moi, mais je me doutais bien qu’il était dans les parages, il ne faut pas être devin pour savoir qu’il n’avait pas quitté la pièce, j’étais quand même assez triste qu’il ait dit tout ça, comme s’il pensait que c’était vraiment nécessaire de me rappeler que j’étais aveugle, que j’étais sans doute qu’une gamine, que je m’accrochais sans doute pour rien, ce n’était pas la meilleure des façon de me faire comprendre les choses, mais bon ce qui est fait est fait, je me suis levée et j’ai commencé à marcher, tâtant tout au passage ne sait-on jamais. Je me suis penchée vers les sièges, je suis sortie du salon, je me suis dirigée vers la porte d’entrée, il ne m’y attendait pas, je me suis dirigée vers là où j’étais de base avec Sonny, c’est-à-dire, dans la cuisine. Je tâtais tout ce que je trouvais table, frigo, four, je me baissais un peu, je le cherchais. Respiration. Odeur. Quelque chose qui me menait à Alfredo, que je puisse lui dire quelque chose avant de partir, c’était vraiment le plus important, juste quelque chose avant de partir et sans doute que s’il voulait vraiment que je sorte de sa vie je le ferai, car bon… je suis aveugle comme il dit, il mérite quelqu’un de bien mieux, quelqu’un qui voit et quelqu’un qui pourra le voir, le regarder, j’ai cru que c’était quelque chose que les gens aimaient bien, se faire regarder, se faire toucher par l’être aimé, mais surtout se faire regarder, voir toutes les émotions de l’être aimé. Après avoir tâté quelques minutes je réussi à le trouver. Enfin. Je me suis approchée, mais pas trop. Je ne voulais pas l’énerver ou je ne sais quoi. Surtout qu’il m’avait parlé de sa main et je n’ai pas peur loin de là, je ne veux juste pas qu’il fasse quelque chose qu’il pourrait regretter.
Je me suis mis en face de lui, là j’en étais sûre et j’ai respiré un bon coup.

« Alfredo. Ce que tu viens de dire ou essayer de faire est inutile. Tu sais de quoi j’ai vraiment horreur ? C’est qu’on me traite comme une handicapée qui ne peut pas comprendre les choses ? Tu es fier de toi ? De te faire du mal comme ça juste parce que tu veux protéger ceux que tu aimes ? C’est bien beau, mais ce que tu viens de faire, te mentir, dire que je suis inutile et stupide, faire ce que tu as fait… C’est toi le débile qui croit savoir mieux que tout le monde ce qui est bien pour les autres. Je sais que je ne dois pas sous-estimée les choses, mais bon… T’isoler ne marchera pas toujours.»

Je me suis approchée, je ne sais pas si c’était une bonne idée, je ne savais pas. Je n’étais sûre de rien, je ne voulais qu’une chose, qu’il sache que j’étais là pour lui-même après ça, mais je ne pouvais pas lui dire pas comme ça, pas maintenant, pas tant qu’il est dans cet état. J’ai levé ma main pour trouver son visage, j’ai touché doucement sa joue, quelque chose clochait, mais je ne voulais pas en faire part. C’était donc ça n’est-ce pas ? Il est idiot de croire que ça l’a aidé de croire une telle chose. Je me suis reculée ne voulant pas provoquer une énième colère, puis je me suis mis à « regarder » droit devant moi, comme si je pouvais le voir réellement, même si ce n’était pas le cas.

« L’invitation tiens toujours, tu peux la donner à qui tu veux, tu peux venir si tu veux accompagner ou non. Tu n’es pas obligé de venir me voir si tu ne veux pas. Ce n’est pas grave. Juste ne me mens pas comme tu viens de le faire, j’ai horreur des mensonges. Il n’y a rien de pire quand tu es non voyante de ne pas avoir la vérité, alors que tu ne peux pas la voir sous les yeux en vrai. On peut me traiter de tous les noms, on peut me taper, mais il faut penser les mots qu’on dit et ce n’est pas ton cas. Et c’est sans doute le plus blessant dans cette situation.»

Normalement ces mots auraient plus d’impact si je pouvais le voir n’est-ce pas ? Ça aurait plus d’impact si on voyait la douleur dans mes yeux, mais ce n’est pas le cas, ce n’était pas si grave, on devait bien comprendre ? Je ne sais pas du tout, je ne sais pas ce que je pouvais penser de cette situation, j’étais sans doute juste déçue. Je me suis rapprochée une nouvelle fois, encore une fois, une dernière fois peut-être et je suis venue lui toucher délicatement le visage, cherchant ses lèvres et je suis venue y déposer un chaste baiser. Me reculant après quelques secondes et je me suis retournée pour chercher la sortie. Je me suis dirigée vers la porte d’entrée, j’y ai déposé ma main sur la poignée et j’ai soupiré, lâchant comme ça l’air de rien, assez fort une simple petite phrase.

« Reviens me voir quand tu penseras les mots que tu as dit.»

Puis sans un autre mot, je suis sortie. Rejoignant ma maison, fermant la porte, les fenêtres, les rideaux même si cela ne servait à rien vu que…Tout sera noir. Puis je me suis laissée glisser contre un mur, mon cœur me faisait terriblement mal. Je ne sais pas pourquoi, les insultes ne me faisaient rien vraiment, le fait qu’il se mente m’énervait, mais quelque chose en moi me faisait terriblement mal. Comme si... Comme si quelque chose s’était brisée et cette peur qu’il ne revienne sans doute jamais, après tout je ne savais pas jusqu’à où sa détermination de protéger les autres pouvait aller, mais si jamais il ne revenait plus jamais ? Qu’est-ce que j’allais bien pouvoir faire ? Je ne sais pas… Mais mon cœur ne semblait pas vouloir s’y faire. Si moi je me sentais seule actuellement, comment lui devait-il se sentir s’il doit faire ça avec tout le monde ? Cette solitude qu’il devait ressentir, je voudrai tant pouvoir rester avec lui et lui dire qu’il n’est pas seul quoi qu’il arrive. Qu’il ne ressente jamais plus ce sentiment de solitude. Plus jamais.

Mais qu’est-ce qu’une aveugle comme moi pouvait faire ?
©️ YOU_COMPLETE_MESS
April Hawkins
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