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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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«Fear does not avoid the danger» ◄► Suite ▬ PV Lawrence.

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William O'Cahan
The nightmare
William O'Cahan
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The nightmare
Jeu 15 Déc - 1:15
I admit that I was heavy-hearted.


Etrange. Je l'avais rejoint dans la cuisine, le regardant faire, mais il ne semblait pas s’en sortir. Je l’ai regardé pendant un moment quand il me demanda mon aide. Il voulait donc vraiment que je l’aide ? Je sais que j’avais proposé mon aide, mais je ne pensais pas qu’il allait accepter, je me suis approché pour voir ce qu’il proposait. Je ne comprenais pas sa logique tantôt il m’avait à moi que ce n’était pas ma faute par rapport à mon pouvoir et là lui il s’excuse pour quelque chose qu’il ne contrôle pas, c’était un peu le monde à l’envers, j’allais lui prendre le bandage des mains quand il se mit devant moi comme un sauvage qu’est-ce qui se passait encore ?
C’est là que je vis un jeune homme pas très habillé il faut dire descendre les escaliers. C’était comment dire ? Gênant. Il avait donc déjà quelqu’un chez lui et il invitait une autre personne ? Bon dieu, comment est-ce possible ? J’ai sursauté quand il me fit coucou, alors je lui ai rendu en faisant un petit signe de main. Je suis resté con pendant qu’il parlait avec son gars, j’ai regardé le sac de gâteaux comme un idiot en attendant. J’ai observé après la cuisine, elle était plutôt bien chez Joshua, elle n’était pas comme ça, mais après tout c’était normal pas le même quartier, pas la même richesse, pas les mêmes goûts.

Je l’ai entendu hurler un « va mettre un pantalon » du coup je me suis retourné avec ce qui allait servir de « bandage » dans les mains et j’ai entendu l’autre râler. C’était une liberté de se promener en caleçon ? Waouh. Je ne savais pas tiens ! C’est super intéressant à savoir, ce n’est donc pas si étrange que ça de voir des personnes se promener ainsi ? C’est une liberté, je comprends mieux. J’ai un peu souri content d’avoir appris quelque chose aujourd’hui. Il est revenu vers moi et je l’ai regardé.

« Ce n’est pas grave, ça arrive vous savez. »

J’ai regardé sa main qui était blessé, je pense qu’il était temps de soigner cette pauvre main. Alors je me suis approché doucement et je lui ai pris sa main délicatement en souriant légèrement, comme pour le rassurer. Mon patron il m’a dit « pour rassurer quelqu’un quand il est blessé, il faut lui sourire légèrement. » c’est donc ce que j’allais faire.

« Il est vrai que c’est une liberté d’expression d’être en caleçon ? »

Je voulais être sûr quand même, car bon même si c’était cool je n’y croyais pas trop dans un sens, si on a fabriqué des pantalons et des pulls ce n’est pas pour rien non ? J’ai re-soufflé sur sa blessure, comme pour dire que tout ira bien, que ça va se soigner, c’était sûr. J’ai commencé à lui mettre le bandage, même si je tremblais un peu.

Je le touchais.

J’étais entrain de le toucher, je lui avais pris sa main, j’étais proche de lui, j’étais entrain de le toucher bordel, qu’est-ce que je foutais ? Ce n’est pas bien du tout, pas bien. J’ai rougis sans vraiment savoir pourquoi, mon corps me disait « ce n’est pas bien », mais ma conscience me disait qu’au moins cet homme était tout aussi vulnérable que nous, car il ne sait pas utiliser son pouvoir et qu’il était blessé. J’ai mis le bandage comme il fallait et j’ai inspecté, oui tout était bon. Je lui ai lâché la main après et je me suis reculé pour remettre une distance de sécurité convenable.

« Euh eh bien voilà. »

Je me suis gratté le cou et j’ai pointé son bras après. Celui qui n’allait pas bien du tout pour le moment.

« Et ça ? Vous allez régler ça comment ? »

Une simple question, je me disais aussi que l’autre allait revenir à tout moment et que je devrai peut-être les laisser tout seul, histoire qu’ils soient en intimités ? Ouais, je crois que c’est ça.

« Je devrai vous laisser, vous avez déjà du monde chez vous. Ce n’est pas bien de s’incruster comme ça. »

Je me suis penché comme pour dire désolé du dérangement et je suis retourné vers la porte et j’ai regardé mon pull et le pull qu’on m’avait donné, j’allais remettre mon pull même s’il était tâché et mouillé. Le pull qu’on m’avait prêté ? Je l’ai retiré et je l’ai plié pour le remettre sur le canapé. J’ai regardé mes cicatrices, pff.

« Vous remercierez la personne pour ce pull ? C’était gentil de sa part. »



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William O'Cahan
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Lawrence Amandil
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Jeu 15 Déc - 1:39


Au détour d'une salle.

ft.


Je maudissais encore ce gosse, quand William me prit la main, je fut assez surpris de le voir prendre des initiatives, qui plus est que ça le faisait rougir. Je le trouvais tellement adorable, il recula juste après, ça me fit sourire. Sourire que je perdis à la seconde où j'entendis sa question. Crétin de Jean il pervertissais la penser pur de mon William ! Heu de William ! J'allais le tuer, tellement le tuer... Bon okay, peut-être pas, après tout j'suis un eu son grand frère, j'dois me montré gentil, compatissant... Même si j'ai très envie de le tuer parfois. La question du Nightëel me sortie de ma rêverie une fois de plus.

J'ai regarder mon bras. Il est vrai que je n'avais toujours pas de solution pur ça. J'ai froncé les sourcils. Me laissé ? Comment ça ? Du monde ! Non mais c'était Jean qui c'était incrusté pas le contraire ! J'ai ouvert la bouche, pour le contre dire. Mais cette chose en moi se brisa encore. Il ... J'ai senties mon bras ce brader. Non je devais me calmer ! Mais ... J'ai serré les dents pour m’approchai de lui, prendre le pull, et lui refoutre sur lui en mode rien à battre de la vie. Pendant que je le rhabillais sans trop lui laissé le choix Jean était redescendu, et une fois mon petit acte fini il vint passer son bras autours de mon épaule.

- Dit chéri, en général tu mets moins de temps que ça pour rentré ta petite chose ? Cette technique de relaxation ne fonctionne plus ? Parce que je peux me dévouer sinon !


Sale monstre ! J'avais en effet une technique à moi pour me calmer. Mais elle était impossible ! Je n'avais personne ... Le secret pour me calmer c'est d'aimer quelqu'un, sincèrement. Après il me suffit de l'embrasser ou de l'enlacer ça me suffit toujours pour me calmer. Alors pourquoi cet idiot osait ! J'ai fixé William du coin de l'oeil. Non. Il allait croire ! J'ai été surpris quand Jean se pencha vers moi comme pour m’embraser, mais pas assez que pour l'esquivé juste attends et lui collé mon poing sur le haut du crâne. Ce qui me défonça la main car si mes muscles sont fait de fer, c'est pareil pour ces os ! J'ai secouer ma main, putain !

Il se frotta le crâne comme pour dire sérieux mec tu le sais pourtant, ce qui me mis encore plus en colère. J'en revenais pas qu'il joue la provoque comme ça, tors nu en plus ! Bon certes avec un pantalon, mais tors nu quand même ! Et non je crise pas parce que Monsieur à des muscles autant que moi, ni parce qu'il me surpasse de cinq centimètre ! Foutu Armadiel ! J'ai grogné de rage, attraper le haut de William pour clamer, fièrement en plus.

- Si il y en a un que je pourrais aimé ici c'est certainement pas toi idiot
!

Et je l'ai embrassé.

La chose en moi se transforma en une sensation que je n'avais jamais ressenti, le temps sembla s'arrêter. Je n'étais plus le moins du monde contrarier par quoi que ce soit, j'étais effroyablement calme. Douce. Il avait les lèvres si douce. De la peur ? . J'étais un idiot, il allait fuir, loin, si loin, pour ne jamais revenir. Mais en la seconde rien ne comptais autre que ce doux contact dont j'allais pleinement profité, autant que je le pouvais.

Je l'ai lâcher pour me reculé, ça n'avait duré que quelques secondes, mais j'avais l'impression qu'une vie entière venait de passé. J'étais bouche béa, je ne savais juste plus quoi dire ni penser. La lame c'était rétracté juste avant que je l'embrasse. Jean pesta quelques chose que je n’étendis pas avant de remonté furieux. Mon regards restait sur lui, et uniquement lui, seul lui comptait ! Je m'en voulais. Non, en faite je ne regrettait en rien mon geste, je regrettais juste qu'il ne ressente pas la même chose que moi. Elle se brisa une fois encore.
Lawrence Amandil
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William O'Cahan
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William O'Cahan
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The nightmare
Jeu 15 Déc - 2:38
I admit that I was heavy-hearted.


Mal.

Quelque chose me faisait mal quand il me touchait. Quelque chose en mot me hurlait qu’il ne devait pas me toucher, que je devais l’éloigner au plus loin, que je devais fuir, il venait de me remettre le pull, mais je venais de lui rendre, je devais partir, je devais partir au plus oui. Je ne me sentais pas bien, non pas bien du tout, rien que ce contact, j’ai essayé de me débattre quand il le fit. J’ai voulu partir loin. J’ai voulu m’enterrer, il venait me frôler les bras, mes bras... Mes mains, mon visage, mes cheveux. Tout ceci m’appartenait je n’aimais pas qu’on le touche, je n’ai pas qu’on me touche ainsi, même si c’était pour m’aider.

L’homme était redescendu. Torse nu, mais avec un pantalon cette fois, il faut le dire.

Chéri ?

N’était-ce pas ce qu’on disait aux personnes qu’on aime ? Bien sûr que si, donc ils étaient vraiment ensemble ? Il devait sans doute l’attendre depuis un moment. Il devait l’attendre et moi j’étais là, je squattais sans même me demander si quelqu’un était là. Quel homme je faisais, je suis affreux. « Ta petite chose » ? Il parlait sans doute de la lame. Sans même que je comprenne, il venait de le frapper, il était violent cet homme, j’ai voulu me reculer histoire que je sois sûr qu’il ne fasse pas de même avec moi, mais il venait de m’agripper.

Peur.
Incompréhension.
Mal.
Très mal.


Après avoir hurlé comme un déluré, il avait posé ses lèves sur les miennes, comment on appelait ça ? Comment on appelait un tel acte ? C’était quoi comme violence ça ? j’avais peur, j’ai tiré doucement sur son haut comme pour l’éloigner, j’ai cligné plusieurs fois des yeux, j’avais mal au cœur, très mal, il souffrait j’avais l’impression encore une fois qu’on essayait d’écraser mon cœur, qu’on essayait de le casser. J’avais tellement mal, pardonnez-moi, promis, je ne parlerai plus à personne, si c’est cette punition que vous nous réservez. Jamais je referai ça. Jamais je reparlerai et suivrai un inconnu.
Ça me revient. Là-bas ils appelaient ça un baisé. Pourquoi m’avait-il embrassé ? C’était quoi ce bordel. Il s’éloigna enfin de moi, je me suis reculé vivement, je me suis reculé loin, pour pas qu’il recommence. Le jeune homme venait de pester quelque chose que je n’ai pas compris, car je fixais Lawrence. Mais je savais une chose il était furieux. Très furieux. Je… c’était son copain et il m’embrassait ! Comment… Non, j’apportai encore du malheur. Non non, je ne voulais pas. Je suis tellement désolé, tellement.

J’ai remarqué que le bras de Lawrence allait mieux, j’ai de nouveau fixé son visage, j’ai de nouveau regardé la porte.

« Ne… non, ce n’est pas bien Monsieur.. »

Je me suis approché de la porte en vitesse. J’ai enfilé mes chaussures, encore une fois et j’ai regardé une dernière fois derrière moi, pour regarder Lawrence. Je ne pouvais pas rester, je ne pourrai jamais le revoir, non pas après ça. Je suis quelqu’un de naïf, je vous l’accorde, mais on m’a expliqué qu’un baisé ça ne se donnait qu’à la personne qu’on aime et c’était le jeune homme qu’il aimait, il aurait beau hurlé que jamais ça serait lui j’en étais sûr que si, après tout il l’avait appelé « chéri ».
J’ai regardé la porte.

« Désolé. Je suis terriblement confus. Je… j’ai encore fait du mal.»

Sans un mot de plus je suis parti de la maison, je me suis mis à courir, je ne voulais pas qu’il me retrouve, je ne voulais pas qu’il me parle, je ne pouvais pas le laisser me parler, son copain était malheureux à cause de moi, j’avais fait faire quelque chose à Lawrence, quelque chose de mal. Ce n’était pas bien.
Je ne me retournai pas et je ne sais pas pourquoi, mais des larmes coulèrent sur mes joues, ça me faisait terriblement mal.

Mon cœur me faisait mal.
Mes lèvres me brûlaient.
Mon corps tout entier était en feu.
Je mourrais à petit feu.


Quelle honte que je suis. Pardonnez-moi Monsieur Lawrence je ne voulais pas vous faire faire quelque chose de mal, vraiment pardon.

Mon âme se brisa pour de bon.


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William O'Cahan
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