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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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«Fear does not avoid the danger» ◄► Suite ▬ PV Lawrence.

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William O'Cahan
The nightmare
William O'Cahan
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The nightmare
Mar 13 Déc - 19:33
I admit that I was heavy-hearted.


Mon cœur me faisait toujours aussi, pourtant je ne sais pas pourquoi, chaque mots qu’il disait, chaque gestes qu’il faisait, je sentais que quelque chose n’allait pas et tout ceci ne serait jamais arrivé s’il ne m’avait pas rencontré, je m’en fichais que ça ne soit pas vraiment ma faute comme il le disait le fait est que jamais tout ceci ne serait arrivé s’il ne m’avait pas connu, ce miroir, cette blessure, cette façon d’en vouloir ? Ce n’était certainement pas dans ses habitudes, j’ai encore pris peur quand il me prit dans ses bras, pourquoi il faisait ça ? C’était dangereux de faire une telle chose, ce n’était pas bien, c’était sale, sale, sale. Mais là aussi quelque chose n’allait pas, ce n’était pas qu’un simple « câlin », il y avait des larmes ? Il pleurait ? Mais pourquoi ? Qu’est-ce que ?
Qu’avais-je fait ? J’étais terrible j’avais provoqué quelque chose d’horrible je le sentais, quelque chose qui n’aurait peut-être jamais valu provoquer. J’étais tellement désolé, je devais me faire pardonner comme il faut. Je ne suis pas du genre à partir et laisser les gens comme ça quand je provoque quelque chose, je ne veux pas faire de mal je me suis promis de ne jamais rien faire qui puisse nuire à quelqu’un et je venais de le faire rien qu’avec des gestes, des mots, tout ceci n’était que foutaise d’un côté n’est-ce pas ? Un homme rentra et le médecin semblait plus détendu face à cet homme, je ne comprenais pas est-ce qu’ils se connaissaient depuis longtemps ? je crois que oui c’est le jeune qu’il m’avait pointé tout à l’heure. J’ai secoué, je venais juste devoir que Lawrence venait de me cacher derrière lui. C’était une bonne chose je ne voulais pas qu’on me voit, je ne voulais pas qu’on voit à quoi je ressemble je voulais qu’on me laisse tranquille, je voulais juste fuir cet endroit qui n’apportait que des malheurs. Je vis Lawrence quitter les toilettes, alors j’ai tout bêtement suivi cet homme encore une fois sans réfléchir, je cachais bien mes mains, j’étais navré pour la personne qui me prêtait son pull, il était sale maintenant. J’ai pris mon pull blanc avant de sortir, je n’allais certainement pas le laisser là tout seul, il allait partir avec moi.

Les quartiers riches alors ? Je vois, ce n’était pas compliqué à deviner dans un sens un médecin ça gagne tellement bien sa vie que ça serait idiot de vivre dans le quartier lugubre. J’ai gratté mon cou et je l’ai suivi en dehors du restaurant, j’allais devoir le rembourser aussi, un gâteau avait été gâché après tout, qu’est-ce que c’est dommage. Je regardais mes mains pendant qu’on marchait tranquillement jusqu’à chez lui, je ne disais rien, je ne voulais rien dire, je restais juste agripper à son haut pour être sûr que je ne me perde pas, qu’il ne me laisse pas en plan comme ça, je voulais être sûr que je n’étais pas seul.

Joshua. Mon ami. J’aurai tellement voulu qu’il soit là avec moi. Tellement.

J’ai compris qu’on était bien dans les quartiers riches quand j’ai remarqué que les trottoirs avaient changer et qu’il y avait quasiment que des maisons, c’était grand, elles étaient grandes, elles ne semblaient pas réelles, c’était la belle vie ici ? Je ne sais pas. Parfois je serrai à fond le haut de Lawrence, mais parfois je relâchais un peu, je gardai la tête baissée. J’avais encore mal au cœur, je me sentais si mal de venir ici avec un inconnu. On s’est arrêtés devant une maison, je l’ai lâché et j’ai regardé autour de moi.

« Vous êtes sûr de le vouloir Monsieur ? Que… enfin que je vienne chez vous ? »

Oui ce n'est que maintenant que j'y pense, mais je pourrai toujours partir si jamais.. Je me rongeai les ongles en regardant autour de moi, je ne me sentais pas bien ici, j'avais mon pull mouillé dans mes bras en plus. Mes mains me faisaient mal. Je voulais juste mourir.



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Lawrence Amandil
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Mar 13 Déc - 20:11

Au détour d'une salle.

ft.


J'ai marché jusqu'à chez moi sans dire un mot, j'avais tellement peur de dire ou de faire quelques chose qui aggraverait la situation. Je jouais nerveusement avec ma clope, ma tête s’emplit de question qui ne pouvaient même se former en entière. J'allais attraper un sacré mal de tête avec tout ça ! J'ai continuer de marché en essayant de paraitre le plus calme possible, jusqu'à ce qu'on arrive devant chez moi.

J'ai la chance de vivre dans une grande maison, un endroit calme joliment aménager où trône pas mal de bibliothèque pleines de livre de médecine en tout genre, mais aussi portant sur diverse science sociale. Je n'en ai peut-être pas l'air, mais je suis un vrai intellectuel. Mes jeunes semblent toujours s'étonner que je ne possède aucun appareil de musculation, on pourra remercier la formule pour ça. Mon corps c'est musclè, sculpté de lui même. Sans que je n'ai le moindre effort à fournir. Je me suis étiré les bras engourdie et j'ai ouvert la porte tout en invitant William à entré. La femme de ménage avait bien travaillé aujourd'hui encore, il faisait bon, accueillant. Tout était propre et bien rangé.

J'ai déposé mon sac avec la plante sur ma cuisine Américaine et j'ai regarder un bref moment vers l'étagère où je gardais d'autre chose du genre. Elle était en bois noir, comme la plus part de mes meubles, et avait un nombre impressionnant de tiroir. J'ai fouillé un moment dans l'un d'eux pour trouvé d'autre herbe que j'ai amené jusqu'à la cuisine. J'avais écraser ma clope dans l'entré et j'ai fais craquer mes doigts. J'allais vraiment devoir trouver une solution pour mes bras. Je me suis retourné un instant pour regarder le jeune Nightëel.

- Fait comme chez toi, je me permet de résoudre en premier le petit problème que j'ai avec mes bras, à moi que tu veux risquer un autre spasme comme celui de tantôt quand je m'occuperais de tes mains ? Ho et pose ton pull dans l'entré, la femme de ménage s'occupera de ça.

J'étais déjà plus calme, pratiquer mon art est une valeur sûr de ce coté là. J'ai donc sorti mon mortier et j'ai entrepris d'y écraser les plantes qu'il me fallait, d'où ma nouvelle acquisition, quelques bananes poudre, les pousses de Magnaris. Tout ça me semblait parfait, j'ai lâcher le pilon pour regarde la mixture. La question restait par quel vois j'allais m'injecter ça ? C'était assez poudreux, pas vraiment de la pâte. Je suis retourné dans mon armoire cherche une poche de solution saline, puis je suis repasser devant William pour chercher mes aiguilles et mes seringues qui était ranger non loin.

J'ai tapoté mon bras gauche un instant. Il était encore dur, c'était limite si on entendait pas un son de résonance métallique. J'ai soupiré et j'ai sortie un peu de la poudre pour la dilué dans la solution saline, sans chauffer pour ne pas en changer les effets. Puis j'ai inspiré le liquide sur 3 CC, oui certes c'est beaucoup, mais je suis d'un grand gabarie donc faut bien, et je me les suis injecté dans les bras, non sans avoir au préalable fait un collet pour le serré plus haut. J'ai lâcher la seringue vide sur la table et j'ai défait le nœud qui serrait mon bras. Je sentais déjà les effets agir et j'ai fais craquer mes épaules.

- Bordel ça fait un bien fou ! Bon maintenant pour tes mains...

J'ai sourie le plus amicalement que j'ai pu pour ne rien laissé percevoir des mes doutes aux préalables et j'ai sortie la crème de l’armoire e je me suis approcher de lui pour lui tendre le flacon. Je ne voulais pas l'effrayer après tout, j'ai cru comprendre qu'il n'aimait pas et n'avait aucune confiance en la médecine. Heureusement pour lui je suis un adepte du naturel et je fais la plus part de mes crèmes et antidote moi même à partir de plante. On remerciera ma mère qui m'a poussé à prendre une option pharmaceutique dans mon bac de médecine !

- C'est une crème à base de plante qui soulage la douleur et forme une couche graisseuse protectrice qui favorise la cicatrisation des tissus. Heum harf. En gros tu n'auras plus mal et ça guérira plus vite... Tes mains...

J'ai repris le flacon, mais je n'osais pas lui appliqué la crème. J'attendais, comme une sorte de feu vert. Je ne voulais réellement pas l'effrayer.
Lawrence Amandil
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Mar 13 Déc - 21:44
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Je suis rentré quand il a ouvert cette porte qui va sans doute me mener tout droit aux enfers. Oui je continuais à avoir peur malgré tout, je me sentais mal de rentrer ici. Une femme de ménage ? Waouh quand même c’est beau la vie ici. J’ai donc déposé où il m’avait dit et j’ai baillé sans le vouloir, je crois que j’étais fatigué par tout ça. Je l’ai regardé quand il a parlé de ses bras aussi. J’ai quitté mes chaussures pour le boulot de la femme de ménage puis garder ses chaussures dans une maison ce n’est pas très poli.

J’ai visité un peu en attendant, sans trop bouger, j’ai surtout tout regardé via le regard sans bouger d’un poil, la maison était assez jolie je dois avouer, il avait beaucoup plus de place que chez Josh, mais l’appartement de Joshua était très bien aussi, les meubles noirs, je n’ai pas osé bouger ou le regarder quand il est passé à côté de moi à nous. Je l’ai vu sortir des aiguilles et compagnie. C’était affreux qu’est-ce qu’il faisait là ? Je l’ai regardé au loin. Je l’ai vu s’injecté un produit, c’est comme ça qu’il règle ses problèmes ? Moi je ne ferai pas ça, c’est trop dangereux. Mais j’étais fasciné par la façon qu’il avait créé son remède.

Je me suis un peu reculé quand il s’est de nouveau approché de moi, généralement quand il s’approche, c’est pour me prendre dans ses bras et je ne voulais plus qu’il le fasse, c’est dangereux tout ça. J’ai regardé la crème qu’il me montrait, mais je cachais mes mains comme s’il allait les couper pour donner à manger aux lions. J’ai regardé le flacon, je n’aurai plus mal avec ça ? Je ne sais pas si c’est une bonne idée, est-ce vraiment de la crème pour guérir ? Je pense que oui, après tout il venait de se soigner pourquoi il me mentirait ? J’ai enlevé les mains de mes poches, je les avais cachées, mais ça ne servait à rien vraiment à rien.

« Vraiment ? Je n’aurai plus mal ? »

Je sentais que mes jambes allaient me lâcher, je tremblais comme une feuille et je ne sais même pas pourquoi. Je n’avais plus aussi peur que ça, mais ça m’inquiétait qu’on veuille me refiler des « médicaments », des « crèmes ». Je me suis approché un peu pour inspecter le flacon et j’ai penché mes mains vers lui doucement, en regardant le sol.

« Je..Je vous laisse faire. »

Bon ce n’était sans doute pas la meilleure idée du siècle, mais au moins j’allais peut-être guérir plus facilement, c’était sans doute la meilleure chose à faire actuellement, je ne voulais pas me retrouver avec les mains coupées. Parfois je rapprochais mes mains de mon corps, puis après je les laissais vers Lawrence, sans vraiment savoir quoi faire.
J’ai essayé de le regarder, je ne voulais pas ramener un sujet sensible sur la table, mais je voulais savoir pourquoi il avait pleuré, c’était terrible de voir quelqu’un pleurer sans savoir la raison, sans un mot, sans savoir pourquoi. Je voulais savoir dans un sens et dire pardon si c’était de ma faute, je ne voulais pas faire pleurer les gens autour de moi sans aucune raison, je ne voulais pas rendre les autres malheureux et je ne sais pas, il était gentil ? Oui gentil. C’est le mot.

« Monsieur, pourquoi vous avez pleuré tout à l’heure ? »

Je me suis mordu la lèvre très fort, je pense que j’ai dit une connerie au final maintenant que j’y pense il ne veut sans doute pas me dire, après tout ce je ne suis pas la personne idéale pour se confier. Je ne suis qu’un Nightëel après tout. J’ai détourné rapidement le regard.

« Oubliez, c’était indiscret. »

Pff, je me blase tout seul de faire ça. J’ai rebaissé la tête essayant de me cacher avec mes cheveux pour pas qu’il voit mon visage mort de honte.



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Mar 13 Déc - 22:09


Au détour d'une salle.

ft.


J'ai commencer à lui mettre la crème dès qu'il me l'autorisa, ces mains n'était pas ultra arranger non plus, mais l'on pouvait d'ors et déjà y voir des cloque blanchâtres s'y former. J'ai soupiré intérieurement, comment j'avais pu laisser faire ça sans bouger, hein ? J'allais vraiment devoir analyser mes sentiments pour les comprendre, ce gosse me perturbais, c'était certain ! J'ai finalement fini de lui enduire doucement les mains de crèmes et j'ai refermer le bouchons en essuyant ma main droit sur le bandage de la main gauche. Juste j'allais devoir m'occuper de ça aussi maintenant. Encore une fois, j'avais été idiot de ne pouvoir me contrôler !

J'ai sursauté en l'entendant me parler. Monsieur, sérieusement ? Monsieur ! Je fais si vieux que ça pour qu'on m'appelle Monsieur ? C'était peut-être la barbe,, ça vieillie je crois. Puis j'ai évaluer le reste de sa phrase. Rha la question gênante ! Je ne pu me retenir de rougir, je me suis retourner en ignorant la phrase suivant et j'ai ranger un peu le bordel que j'avais foutu dans ma cuisine. Bha oui j'aime bien Patema, ma femme de ménage, donc je vais éviter de mettre le bordel juste après son service, j'ai un minimum de respect ! J'ai d'ailleurs fini par retiré mes chaussures en les laissant près du sofa de cuir noir et je me suis étiré les bras.

Comment allais-je pouvoir répondre à ça question ? Est-ce-que je connaissais la réponse déjà ? Non. Donc premièrement cherche une réponse. Pourquoi j'avais réagis avec autant d'émotion à chacune de ces phrases ? Parce que cela me touchait plus que si c'était quelqu'un d'autre. Pourtant je le connais pas vraiment. Donc pourquoi ça me touchait autant ? Parce qu'il est super adorable quel question ! Comment ne pas vouloir protégé un gosse aussi fragile ! J'ai l'impression que le monde entier est trop cruelle pour lui ! Peut-être que je devrais l’enroulé dans du papier bulle ? J'ai soupiré en me posant dans le sofa.

J'avais l'avantage de réfléchir super vite, les études m'ont forgé ainsi, oui bon et les situations précaires tout autant. Je l'ai invité à venir s'asseoir près de moi. Le temps qu'il ce décide à venir j'pouvais encore y penser un peu. J'avais de l'affection pour lui. Beaucoup et de façon inhabituelle. J'aime toujours profondément mes jeunes, comme un papa ou un grand frère, je crois. Mais lui c'était une autre sorte d'affection. J'avais mis le doigt là dessus tantôt, avant que Brandon ne vienne m'interrompre. Mais ...

- Ça ne peut pas être ça ...

Je ne m'étais pas rendu compte que j'avais prononcé des mots à voix haute et j'ai détourné le regarde gêné. J'avais d'abords vu en lui un futur jeune et rien de plus, puis son attitude maladroite, cette façon adorable, voir naïve de voir les choses m'avait toucher, sincèrement. Je pense que ... Je dois l'avoir réalisé en même temps que j'ai compris qu'il n'était pas si pur. Ironie, non ? Cette enfant est surement la chose la plus pur et précieuse que j'ai vu, alors comment pardonné le faite qu'on n'ai pu entacher tout ça ? J'ai soupiré.

- J'ai beaucoup d'affection pour toi, alors j'ai beaucoup de mal à te voir si ... Blesser, physiquement, mais surtout psychologiquement. Puis arrête de m’appelè Monsieur ! Tu me donnes quel age 30 ans ? ... D'ailleurs tu as quel age William ?

Physiquement il faisait très jeune. Et son poids m'inquiétais, j’avais envie de l'empiffré de gâteau pour le voir grossir ! Pire qu'une maman j'vous jure ! Je m'auto-déprime. Mais voyons la vérité en face, il est spécial pour moi. Même si je n'sais pas encore à quel point.
Lawrence Amandil
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Mar 13 Déc - 23:12
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La crème était légèrement froide sur ma peau, mais ça faisait du bien, je me sentais bien avec cette pommade sur mes mains, quand il sursauta ça me fit sursauter, je ne sais pas pourquoi. J’ai regardé mes mains, elles allaient vraiment guérir maintenant ? Je devais attendre combien de temps avant qu’elles guérissent complètement ? Comment je vais expliquer ça à Joshua ? Comment je vais expliquer que je me suis brûlé ? Puis mon patron, il va se demander ce que j’ai fait et il va me réprimander, car je ne fais pas assez attention à ma santé, c’était dangereux et inconscient ce que j’avais fait je le sais bien, mais la tâche, la tâche je voulais qu’elle parte, qu’elle ne se voit plus, que tout ce qu’on voyait sur ce pull serait du blanc et rien que du blanc. Je l’ai regardé partir vers le sofa, il venait d’enfin d’enlever ses chaussures, est-ce qu’on devait quitter ses chaussures là-bas et non vers la porte d’entrée ? Je ne sais pas, mais j’allais les laisser là, je ne vais pas y toucher pour le moment.

J’ai fixé le sofa quand il m’invita. Pouvais-je vraiment y aller sans un souci ? Je ne sais pas. Je me suis tout de même avancé vers lui, je me suis arrêté quand il se mit à parler. Ça ne pouvait pas être quoi ? De quoi il parlait ? Je me demande bien, je me suis encore rapproché, mais je ne me suis pas assis, je suis resté au bout du sofa, l’écoutant quand il se remis à parler. Pourquoi ? Sérieusement pourquoi il était comme ça ? Que je sois blessé psychologiquement ou physiquement ce n’était pas son problème. De l’affection ?

Qu’est-ce que c’était concrètement l’affection ? Je ne sais pas. Je sais que j’apprécie Joshua, mais est-ce vraiment de l’affection ? Je ne sais pas, je me le demande, je ne sais pas réellement comment on sait qu’on a de l’affection pour quelqu’un pourtant je ne suis pas du genre à vouloir ignorer les choses, mais là qu’il ait de l’affection pour moi ou non ce n’était pas vraiment dans mes priorités, ce n’était pas important, car pour le moment je ne lui faisais pas entièrement confiance, comment il pouvait être si… Comment dire invitable ? Non… Je crois que ce mot n’existe même pas sur terre. Enfin je veux dire il semble inviter qu’il veut chez lui, il donne sa confiance trop facilement, je pourrai être un dangereux psychopathe qui cache bien son jeu ? Je me suis gratté le cou et je me suis assis au bout du sofa en regardant le sol. Sa dernière question me perturba, il ne semblait pas si vieux, dans la vingtaine je suppose ? Mais pas plus.

Mon âge ?

Quel âge j’avais ? Ah oui 18 ans si on en croit mon dossier. Que pourrai-je lui dire ? « Monsieur » est quand même une marque de politesse, est-ce que j’étais trop poli ? Non, on ne peut pas être trop poli.

«Me-merci pour la crème. Euh… non, je dirai dans la vingtaine… ? Je.. Mons.. Comment dois-je vous appeler, alors ? »

Je me suis gratter le cou, je sentais cette crème étrange. Je me suis un peu penché d’avant en arrière et j’ai soupiré, j’ai recompté sur mes doigts pour être sûr que j’avais bien 18 ans ça serait bête de lui donner une mauvaise information. Est-ce qu’il allait me jeter, car j’avais 18 ans

« J’ai 18 ans pourquoi ? »

J’ai osé un regard vers lui, il n’avait pas répondu à ma réponse tout à l’heure, est-ce qu’il ne voulait pas me dire pourquoi il avait pleuré ? Je pense que oui. C’était normal je suppose. Après tout si c’était moi la cause d’un côté je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas me dire ou peut-être qu’il ne savait pas ? Ou il voulait juste oublier, je pourrai comprendre aussi, j’ai tiré sur mon haut en regardant un peu de partout.

« Est-ce que votre crème marche sur les cicatrices ? Elle est de vous cette crème ? »

Oui, essayons de parler médecine ? On ne sait jamais peut-être que si j’en apprenais plus sur son métier à lui, j’aurai une autre opinion des médecins, surtout qu’il parle de sauver des vies, alors que les médecins que j’ai connus, ils prenaient des vies sans hésiter. C’était étrange, qui devrai-je croire ? Je ne sais pas.



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Mar 13 Déc - 23:31


Au détour d'une salle.

ft.


J'ai enfin reposé on regards sur lui, j'ignorais pourquoi il ne voulait pas s'asseoir ? Je lui faisais encore peur ? J'ai baissé les yeux honteux, bordel pourtant j'essayais vraiment de paraître le plus gentil possible ! Ces mots me firent sourire. Il avait donc 18 ans ? Il n'était pas du tout dans les bonnes proportions pour son age, ou sont poids était-il une conséquence de sa race ? C'était possible, enfin c'était possible si il était comme moi, qu'il avait reçus la formule, et non acquis de naissance. J'ai sourie, il voulait parler médecine ? Très bien, je me suis lever pour me mettre face à lui de mes fier 1m80. Et aller savoir pourquoi je lui ai ébouriffé les cheveux ( MHO ! ), qui étaient incroyablement doux au passage ! ♥

- Lawrence c'est mon prénom. Mais appel moi Law s'il te plais. Et tout juste j'ai 24 ans... Et heum, oui la crème est de moi, je fais souvent mes remèdes moi même, j'trouve ça mieux.


Je l'ai regarder de haute en bas en prenant bien mon temps. J'avais ce qu'on pourrait appelé le regard du médecin. Je vois non seulement son corps, mais aussi les proportions de base qu'il devait avoir, les comparaisons et même comment il pourrait encore grandir. C'était pas bon... Trop maigre, pas très grand, aucune force, aucun muscle. Si je le poussais d'une main il tomberait. Heureusement qu'il avait ça. D'un coté ça me rassurait, on ne lui ferait pas du mal aussi facilement. J'ai frissonné, moi-même j'avais eu un avant gout de son pouvoir dans le magasin. S'il le maîtrise parfaitement, même avec sa dans mon bras je n'ai aucune chance de lui faire du mal !

La question restait : Acquis ou non ?

- Ton pouvoir, tu le tiens de où ?

L'art et la manière de la subtilité Lawrence félicitation ! J'avais surement le regards accusateur, je n'aime pas le voir aussi mince ! Était-ce du à une sous alimentation ? Il semblait en effet se nourrir étrangement. J'ai mis mes mains sur mes hanches, laissant mes muscles se posé dans une position bien plus, tape à l'oeil si on puis dire. Je voulais avoir l'air sévère, car je ne voulais pas qu'il se sous-alimente ! Maintenant si il avait reçus la race par formule comme moi, son corps avait pu s’adapte étrangement. Par exemple, moi j'ai bien trop de muscle par rapport à ma taille ! Si j'étais né Armadiel, bon déjà j'aurais pas cette face de Chucky, mais en plus je serais certainement plus grands ! La formule fait avec ce qu'elle a.

Lawrence Amandil
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Mer 14 Déc - 0:18
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J’ai eu un mouvement de recul, encore une fois quand il passa sa main dans mes cheveux. C’était la deuxième fois pourquoi il faisait ça ? J’ai essayé de me recoiffer comme il faut sans savoir si je me recoiffai réellement concrètement ce n’est pas comme si je me regardai dans un miroir tous les jours. Donc il faut dire Law ? Je ne suis pas sûr que je vais y arriver, mais je pouvais toujours essayer on ne sait jamais après tout hein, rien ne me dit que je vais me faire tuer si je dis « Law » et non « Monsieur » comme je le faisais jusqu’à présent. J’ai été assez étonné c’était donc vraiment sa crème ? Il devait vraiment être doué pour se faire lui-même ses crèmes, est-ce que tous les médecins font ça ou juste lui ? Je ne sais pas vraiment, je pourrai lui demander ?

Son regard cependant m’intrigua, on dirait qu’il essayait de lire en moi pour découvrir un secret et je ne sais pas pourquoi ça me mettait vraiment mal à l’aise, je ne suis pas du genre à faire « regardez-moi », alors je ne comprenais réellement pas pourquoi il me fixait comme ça, peut-être que j’avais quelque chose sur la gueule ? Je ne suis pas vraiment sûr, mais bon tant pis.

Cette question.

Tout ce qu’il y avait autour de moi, lui, les objets, j’ai tout oublié d’un coup. Acquis ou de naissance ? Cette question que je ne voulais jamais répondre, cette question que je n’aurai jamais voulu avoir, j’aurai juste voulu être humain, j’aurai juste voulu pendant quelques instants être un petit enfant comme les autres, je voulais être comme les autres, mais c’était bien trop tard maintenant, j’étais devenu ce que j’étais. Un Nightëel, expérience ratée, incapable de tuer quelqu’un, mais capable de te broyer un bras si on me met réellement en colère.
Cette façon qu’ils ont eu de nous entrainer voilà ce que j’étais réellement. Une machine à tuer de base, mais qui n’a jamais tué personne, car il en était incapable, une expérience qui fut mise dehors, avec comme condition « jamais tu seras réellement libre ». Pourquoi il voulait savoir ça d’abord ? Il ne pouvait juste pas parler d’autres choses ? Pourquoi ça l’intéressait tant que ça de savoir si c’était acquis ou non ? Je l’ai regardé, j’avais une boule au ventre, j’avais peur, peur qu’ils m’entendent qu’ils viennent me chercher et qu’ils me tuent pour de bon, que je ne puisse plus jamais voir la lumière du jour, c’était effrayant.

« Je… Pourquoi ? Pourquoi ? Dites-moi pourquoi vous posez cette question ? »

Une idée me traversa l’esprit, une terrible idée. Est-ce que c’était un scientifique qui voulait voir si on allait balancer le projet ? Non, non. Je ne dirai jamais rien promis, jamais je ne dirai un mot, je suis terriblement désolé, je ne voulais pas contrarier quelqu’un. Je me suis caché le visage avec mes mains.

« Je suis désolé, promis je ne dirai jamais rien.. »

J’ai regardé Lawrence, je l’ai regardé, il semblait si gentil pourtant… Pourquoi ? Dites-moi que ce n’est pas vrai que j’hallucine que c’est une question anodine comme ça sans vraiment de sous-entendus ? Je me suis reculé en me prenant le coin du sofa.

« A-acquis M’si-Law.. »

Petit effort dans un moment comme ça je ne sais pas pourquoi, vite William pense à autre chose, il ne faut pas qu’il pige, peut-être qu’il est vraiment gentil, tu ne dois pas devenir parano comme ça n’oublie pas tu es quelqu’un en danger, mais tu ne peux pas mettre les autres en danger si tu te fais avoir tu vas mettre tout le monde en danger.
Je suis venu m’assoir sur le sofa et j’ai frotté mes jambes avec mes mains, un sujet de discussion vite, vite vite.

« Vous faites autres choses que de la crème ? Tous les médecins font comme vous ? »

J’ai fixé mes mains, je n’avais plus si mal que ça au final, ça faisait vraiment effet, il était doué, c’était sûr, mais il fallait faire attention. Oui.

« Elle est efficace... Merci. »

Oui, reprenons une conversation normale, il faut essayer, au moins une fois.




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Mer 14 Déc - 0:44


Au détour d'une salle.

ft.


Encore. Je l'ai encore sentie ! Il me confondait avec les gens qui lui avait fait du mal ! Pourquoi ! Cela me blessa profondément. J'ai serré le poing à m'en faire saigné. Elle se brisa de nouveau en moi. J'essayais de faire l'impasse, n'y pense pas, ne t'énerve pas surtout. Mon remède avait bien fonctionné jusqu'à présent, mais je sentais déjà mes muscles reprendre leurs rigidité anormal. Bordel j'avais mal dosé, c'était trop faible ! J'ai serré les dents. Calme toi putain Lawrence ! Acquis, il l'avait dit. L'avait-on ? Non je ne dois surtout pas penser à ce genre de chose. Pourtant j'en étais presque sûr, ça tombait sous le sens. J'ai serré un peu plus le poing, mon bras me faisait mal. Il changea de sujet, mais je n'écoutais presque plus, je ne le regardais même plus. Je devais me calmer.

C'était pas normal.. J'avais du foiré un truc dans mon mélange, ok j'étais sincèrement contrarier, mais ... A croire que ça c'était arrêter pour revenir en puissant juste après ! J'ai senti des fourmis dans mon bras. Ho godness.. Pas ça ! Pas maintenant ! Franchement ! J'ai à peine eu le temps d'entendre son compliment, j'ai plaqué ma main gauche sur mon bras. Non j'ai dis ! Mais c'était bien inutile, je connaissais cette sensation par coeur. J'ai regardé partout paniqué. Bon okay, d'habite ça le fais j'm'en tape les balloches sur la table ( oui oui ), mais là ! Il était là ! Déjà qu'il me confondait avec les raclures qu'ils l'avaient touchés ! Je pouvais juste pas... J'ai limite couru jusqu'au toilette du rez de chaussé et j'ai fermer la porte. C'était à peine fait que je l'ai sentie sortir de mon bras.

- Mais putain de merde ! C'est sérieux là ! Satané bras de mes ...

J'ai soupiré, j'avais mal dosé et j'avais bien foiré, note pour plus tard, revoir cette injection. Puis j'ai tilté, la plante que j'avais acheté... Il avait préciser que c'était une pousse... J'en suis pas si sûr. Han mais nan sérieux comment j'ai pu faire une erreur aussi bête ! J'aurais du la faire bouillir ! Dire que j'ai hésiter. Idiot que je suis. J'ai fixé la lame d'une cinquantaine de centimètre qui sortait de mon bras. Allons bon j'allais faire quoi maintenant. J'ai soupiré. Si je sortais comme ça j'étais certain qu'il partirait en courant. C'était donc exclus. J'avais du avoir l'air intelligent à courir comme ça.

La solution s'imposa en moi. Herbe de sauge ! J'en avais dans mon ... Dans mon armoire. C'est un calmant assez particulier, plutôt un décontractant musculaire. Autant dire qu'on ne peut que rarement en prendre, c'est assez dangereux si c'est pas bien fait. Maintenant entre ça et .. J'ai pesté. J'avais pas de solution c'est officiel. J'ai essayer de soufflé pour reprendre un minimum de contrôle, mais rien à faire elle voulait pas rentré dans mon bras. J'ai essayer de la faire rentré moi même, moralité, j'me suis coupé un peu plus. Pourquoi je suis toujours aussi bien aiguisé aussi ? J'suis pas une arme ! Oui bon en faite si un peu, mais merde quoi !

J'me suis laissé glisser contre la porte en fixant le plafond. Cette fois c'était désespérant. Pourquoi j'ai autant de mal chance ? Mal chance... En faite ce n'étais pas ça. J'avais au contraire de la chance d'avoir pu le rencontrer ! Mais pourquoi fallait-il que je lui face peur alors que ... Alors que quoi d'ailleurs ? Cette question encore ! J'ai pester contre moi même. J'allais devoir sortir. J'ai donc soupiré une nouvelle fois et j'ai ouvert la porte pour tombé sur ... William ! Il m'avait suivit ! J'ai caché mon bras derrière la porte. J'avais l'air malin tiens !

- Ha ... Hahaha ! Williiaahaam ...

Très intelligent Lawrence encore deux ou trois mots comme ça et je suis sûr qu'il va prendre pleinement confiance ! J'ai mordu ma lèvre mal à l'aise. C'était d'une subtilité sans nom. Et rien à faire malgré tout mes effort ça partait pas. J'ai soupiré, encore !

- Bon heum spas ce que tu crois ok ? J'vais pas essayer de te tuer ou quoi j'ai juste ... Rho la honte.. J'ai foiré mon injection disons... Et là bha ... Elle est sortie toute seule !

J'avais l'air d'un gosse qui venait de ce faire prendre ! Qui plus est qu'avouer mon incompétence en ce moment me coutait beaucoup sur mon honneur de médecin. Dire qu'il me complimentait juste avant ! J'avais l'air de quoi là ! En plus ... Ma phrase sérieux !

Lawrence Amandil
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William O'Cahan
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The nightmare
Mer 14 Déc - 22:21
I admit that I was heavy-hearted.


J’ai relevé la tête un instant. Il ne répondait pas et je ne savais pas pourquoi. Pourtant c’était un compliment que je lui faisais je crois ? Est-ce que c’était mal ? Ou ? Sans même réellement comprendre la chose il venait de courir je ne sais pas où, je suis resté con pendant deux secondes, pourquoi il avait fui comme ça ? Je l’avais vexé ? Il était étrange. J’ai regardé autour de moi. Une option s’offrait à moi. Une opportunité.

Partir.

Je me suis relevé regardant dans la direction où il était parti. Il ne semblait pas revenir, alors je me suis dirigé rapidement vers la porte, j’ai regardé la poignée, j’ai enfilé mes chaussures, mon pull, cependant je ne sais pas pourquoi, mais j’ai regardé une dernière fois autour de moi, puis j’ai aperçu la cuisine et le sac avec les gâteaux. J’en ai lâché mon haut, mais qu’est-ce que je faisais ? J’allais fuir, partir loin et ne jamais revenir, alors qu’il venait de me soigner, qu’il avait acheté un gâteau pour… Nous ? Lui ? J’ai secoué la tête et j’ai enlevé mes chaussures pour aller vers la porte où il s’était enfermé. Je n’osais pas frapper, je n’osais rien faire. Je ne sais même pas pourquoi je fais ça en réalité, qu’est-ce que je m‘en fichais en vrai. Mais la porte s’ouvra et je me suis reculé en vitesse pour ne pas me prendre un coup.

Je ne sais pas ce qu’il faisait, mais il venait de cacher un de ses bras, je sentais que quelque chose n’allait pas, quelque chose clochait énormément même. Je me suis approché encore une fois en l’écoutant. Ne pas me tuer ? De quoi il parlait ? Je me suis reculé du coup un peu plus, ce n’était pas bon signe ça, pourquoi il parler de tuer quelqu’un ici ? J’ai penché la tête en l’écoutant, est-ce que ? Oh. Tout à l’heure ses bras. Je ne sais pas pourquoi, ça m’a fait sourire et sans crier garde, je me suis mis à rire, mais tellement, je trouvais cette situation assez drôle, il essayait de se cacher comme pas possible pour quelque chose qui n’était pas si grave en réalité, il était chez lui non ? Il pouvait bien faire ce qu’il voulait, il s’était loupé, il s’était loupé, ça arrive ce n’était pas la fin du monde, j’avais l’impression qu’il s’en voulait d’un côté d’avoir loupé, mais ce n’était pas si grave.

« Donc vous, vous cachez dans une pièce ? »

J’ai repris mes esprits quand même je ne voulais pas le vexer ou autre, ce n’était pas bien de se moquer, mais il faut avouer que c’était quand même marrant qu’il se cache chez lui, alors qu’il pouvait faire tout ce qu’il voulait, après tout je serai le dernier à le juger sur ses erreurs. J’ai ouvert la porte un peu plus en grand pour voir ce qui se tramait et si c’était aussi grave qu’il le disait. Déjà il s’était enfermé dans les toilettes, très utile.
Son bras d’un côté n’était pas beau à voir, mais j’avais déjà vu pire. Oui, il n’y avait pas que des nightëel comme expériences ratée. J’ai tendu ma main, mais je me suis dit que ça ne serait pas une bonne idée, alors je l’ai ramené vers moi. J’ai regardé Lawrence et je me suis éloigné pour qu’il passe.

« Je peux vous aider ? Il vous faut quelque chose pour soigner ça ? »

Peut-être le rassurer ? Tout à l’heure il semblait se détendre quand il voyait quelqu’un qu’il appréciait. Oui, mais là il n’y avait personne, peut-être lui dire des choses rassurantes ? Comment on dit des choses rassurantes déjà ? Comment on rassure quelqu’un ? Déjà est-ce qu’il a vraiment besoin d’être rassuré ? Je ne sais pas. On verra bien. Essayons. Je me suis gratté le cou en détournant le regard je ne savais pas quoi dire et je n’avais toujours pas confiance en lui, peut-être ce n’était qu’un petit jeu pour m’avoir, mais bon il faut bien que j’essaye on ne sait jamais.

« Peut-être que cette fois vous vous êtes loupé, mais la prochaine fois vous allez sans doute y arriver. E-et c-ce n’est pas une hon-honte de se louper vous savez… ça arrive même aux meilleurs. »

Je me suis encore plus décalé pour le laisser encore plus d’espace et j’ai fixé le sol, ce n’était pas comme ça qu’on rassurait quelqu’un je crois, mais je ne savais pas quoi faire. Euh peut-être appeler quelqu’un ? Les urgences ? Non, il est médecin il n’a pas besoin des urgences. Peut-être lui ramener sa lotion ? Non, il avait foiré, elle ne devait pas être bonne. J’ai osé un petit regard vers lui pour voir ce qu’il voulait concrètement, mais rien ne me venait à l’esprit pour le moment.


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Lawrence Amandil
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Mer 14 Déc - 22:52


Au détour d'une salle.

ft.


Son rire. Je n'avais pas bien compris toute la situation, mais il riait et son rire était magnifique. Je l'aimais beaucoup, et je voulais le voir rire à nouveau ! Il avait vraiment l'air si, ... Pur ! Y a pas d'autre mot ! Il écarta la porte pour regarder. J'ai soupiré, j'étais vraiment pas malin, mais j'avais tellement peur de l'effrayer ! Faut dire que dans le genre une lame de 50 cm qui vous sort de l'avant bras c'est pas ce qu'il y a de plus rassurant. Je l'ai écouter essayer de me rassuré en me passant une main, l'autre oui, dans les cheveux avant de grimacer. Non mais quel idiot ! Je suis finalement sortie des toilettes pour retourné dans ma cuisine. Ha oui, mais comment faire pour soigné ma main, alors que l'autre bras était devenue une arme de destruction affutée ? J'ai rougis en montrant la dite main à William, sans le regarder mort de honte que j'étais, avant de lui dire.

- Tu saurais m'aider ? J'peux pas la bander avec ça sur la bras.

J'étais assez surpris maintenant que j'y pense. Une part de moi avant vraiment cru qu'il m'avait suivit dans le simple but de ne plus avoir de remords à mon égards, mais qu'il soit rester me prouvais que j'avais eu tords de penser ça ! Il était vraiment venu car il en avait eu envie ! J'ai sourie, cela me réjouis profondément ! J'ai chercher un moment les bandages pour les lui donner un peu honteux de pas être foutu de faire ça moi-même quand je me suis rappelé qu'il y avait bien UN moyen pour calmer mon bras. Mais bon j'avais aucun de mes petits jeunes à disposition et c'est certainement pas William qui allait pouvoir m'aider ! J'ai soupiré j'étais un idiot, pas foutu de contrôler son pouvoir !

- Excuse moi j'me sens idiot de pas être foutu de contrôler mon pouvoir.. J'aurais dû étudier les Armadiels quand j'y pense !

J'ai mordu ma lèvre inférieure, je devais penser à des choses concrète pour retrouver la concentration de moi-même paraît. Donc. Comparons, ça me sera toujours utiles pour plus tard ! Mes petits jeunes sont en général des gens assez peu fréquentable, ce qui n'est pas spécialement le cas de William qui m'a l'air tout à fait sain dans sa tête ( Si il savait ). Il n'a pas non plus l'air bagarreur, si dans le besoin, ni d'avoir besoin de mon aide d'ailleurs. En faite ils n'avaient strictement RIEN en commun ! Pourtant, c'est lui, plus que quiconque que je voulais protégé du monde entier ! Pourquoi ?

J'ai rougie, encore. Ce qui ne me ressemblait pas du tout de base ! Que dirait ma mère franchement, elle m'a pas élever à rougir devant le premier venu ! J'ai essayer de penser à autre chose, quand je vis un homme assez peu habillé sortir de l'escalier en baillant. Au moins j'allais penser à autre cho... Attendez quoi ? J'ai sursauté en me mettant une fois de plus devant William. J'ai tout de même avance de quelque pas vers mon jeune pour lui tiré l'oreille.

- Jean ! Putain je t'ai dis un million de fois de pas te foutre à moitié à poile dans ma baraque !

J'avais toujours la lame de sortie, qu'il regarda un moment en se demandant quoi, puis il pencha la tête et fit coucou à William. Ce débile ! J'avais pour habitude de laissé une clé de caché pour le cas où un de mes jeunes seraient en difficulté et que je sois absent, mais bon y a des règles chez moi quand même ! Elles sont écrite sur mon frigo ! Il bailla et dégagea mon bras sans aucune difficulté étant donner qu'il était bien plus fort et musclé que moi physiquement. Mais vraiment QUE physiquement pour le coup ! " Mmouhshm " j'ai soupiré.

- J'ai rien compris et VA METTRE UN PANTALON !


Je l'ai renvoyé dans l'escalier en le poussant dans le dos, bien qu'il se traîne surement à peine réveillé en se plaignant de pas pouvoir bouffé de suite et que c'était une liberté d'expression que de se promené en slip. Bleu le slip. Je suis revenu vers William en gromelant et en me frottant le visage.

- Je suis Désoler vraiment. J'savais pas qu'il était là. Il a vraiment de sale manie excuse le.



Lawrence Amandil
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