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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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Donne moi encore, la chance de te voir sourire.

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Kobayashi
Kobayashi
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Mer 3 Mai - 19:50
Deuxième chance.On ne choisi pas d'aimé quelqu'un parce qu'il est beau au sympathique, mais parce que nous sommes seul  à entendre la musique qu'elle chante en silence.  L’angoisse. Je n’étais qu’une énorme boule d’angoisse prête à imploser à tout instant. Le moindre mot, la moindre minute qui passait empirait mon cas. C’était déprimant à regarder. Visé depuis une bonne demi-heure dans le canapé du salon, mon colloc’ me regardait clope au bec, parcourir les lieux en long en large pour me changer, me recoiffé, vérifier mon sac, regardé mon téléphone et bien d’autre chose inutile. Il m’avait récupéré complètement bugué la vieille dans la salle de bain complètement perdu après avoir reçus un bref appel de Jakob qui m’invitait à sortir aujourd’hui. Depuis c’était la panique, j’avais à peine fermé l’heure, imaginer trente mille scénario différent. Du pire au meilleur en passant par des choses tout à fait irréaliste. Oui, j’imagine mal Jakob Collin débarqué ici avec un bouquet de fleur, je vous l’accorde. Je me suis tapé sur les joues. Je devais rester concentré sur mon objectif du jour. A savoir, retrouvé un peu d’estime et surtout, comprendre ce que ressentait ce mec une fois pour toute ! Parce que j’avais beau me retournée le cerveau, son baisé n’avait aucun sens.

J’ai fixé mon ami avachis qui me soufflait sa fumée style de dire «  tu fais pitié Koba’ ». J’ai levé les yeux aux ciels en vérifiant mon sac à nouveau. Je lui avais fait la moral toute la soirée d’hier avant qu’il ne dise pas un mot et reste calme. Je ne voulais pas qu’il vienne envenimer les choses après tout. Il allait devoir ce rentré dans la tête que je suis un adulte responsable. Il m’avait proposé de boire un coup histoire de me calmé un peu, mais j’avais très peu de souvenir de ma dernière cuve. Je dois dire qu’avec un corps pareil, je ne tiens absolument pas l’alcool, du tout. Je regardais ma montre, bientôt dix heures. Je sentais le stress monté de plus en plus, comme si chaque instant durant une année. J’ai fini par m’asseoir à côté de lui. Comment allais-je m’y prendre pour me tenir à distance. Je m’étais résolu à ne plus abordé de sujet fâcher en face de lui. Mais ces petites attentions me mettent à mal. Je suis aussi curieux de voir ce qu’il pense de tout ça. Sans doute ferait-il genre de rien. J’ai soupiré en passant mes mains dans mes cheveux. J’ai finalement sorti mon portable pour la nième fois afin de relire le message qu’il m’avait envoyé un peu après notre rencontre. Il me fait rire.

- Tu devrais boire un coup et déstressé un peu Kob’ tu fais pitié là !
- Rho tait toi un peu ! Je te signale que moi au moins je n’ai pas défoncé de porte sans raison. Dans la catégorie, fait pitié, tu remportes la palm mon grand !
- … J’avais une raison !

Soufflant à nouveau sa fumée et j’ai pouffé en levant les yeux au ciel. Il se leva finalement et revint avec deux verres à shoot. J’ai soupiré, au fond pourquoi pas. C’était si rare de le voir me considéré en adulte, que je pouvais bien lui faire ce plaisir. Attendant qu’il me serve, j’ai descendu d’une traite le liquide chaud qui me retira presque de suite une partie de mon angoisse. Seigneur c’était fort son truc, c’est quoi ? J’ai regardé la bouteille curieuse. Vodka pur. Sérieusement. Il vida son verre tout aussi vite et m’ébouriffa les cheveux. Gosh non j’avais passé une heure à les arrangé ! J’ai pesté en essayant d’y remettre de l’ordre quand j’ai entendu qu’on frappait à la porte. Mon cœur battait à mille à l’heure. C’était lui ! Ho j’étais bien ? Présentable ? J’avais enfilé un pantalon reçus après un de mes shootings, le genre un peu moulant et très bien coupé et un haut en tissus doux de couleur noir. Je trouvais l’ensemble pas mal et plus adulte… Je me suis levé, sentant l’alcool me monté à la tête et je me suis pris le pied de mon crétin d’ami avant de m’étaler sur le sol dur. Bordel, je suis certain qu’il l’a fait exprès. Tout sourire il sembla s’excuser avant d’aller ouvrir la porte. Seigneur non ! J’avais dit quoi la vieille, mon discourt n’avait donc servis à rien ? Il tirait la gueule, même de dos je le savais. Je le connais par cœur. Je me suis finalement levé en m’épousant au mieux, choppant mon sac de sport noir et j’ai été en pestant le rejoindre.

- Tiens C’est pour toi Kob’… Qu’est-ce que tu fous là le Vimen…
- Hiromiiii ! Dégage de là !

J’ai fixé mon ami mauvais et il pouffa avant de repasser une main dans mes cheveux. Soit damné sale poiled’ours. Il sentait la Vodka autant que moi et j’en étais presque gêné. J’ai sourie nerveusement et j’ai refermé la porte sans vraiment osé regarder Jakob. Mon cœur battait super vite, je ne savais absolument pas quoi dire ou quoi faire. Je ne sais pas un bonjour peut-être Iris, ça semble pas mal, tu ne penses pas ? J’ai secoué la tête, seigneur pourquoi j’ai accepté son verre à l’autre débile. J’suis sûre qu’il avait manigancé ça dans son coin depuis des heures. Bon du calme garde tes objectifs en tête Kobayashi ! J’ai essayé d’arranger mes cheveux, encore et toujours.

- Ha heum oui pardon il est envahissant haha. B-bonjour…

Je jouais nerveusement avec mes doigts en ne sachant pas du coup quoi ajouté à ça. Ma nervosité était à son comble, mais j’avais mes raisons ! Je ne sors jamais avec personne en général, c’est pénible le regard des autres. Alors forcément pour le coup, qui plus est avec Jakob ! Il était vraiment d’une beauté parfait ce gars. Regrettant finalement de ne pas avoir vidé un deuxième shoot j’ai commencé à m’éloigner de mon domicile, alors que je ne savais même pas où on allait. Je voulais juste évité que l’autre débile n’en rajoute une couche de plus.
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Kobayashi
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Jakob B. Collins
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Mer 3 Mai - 23:37
Chut et danse.Kobayashi & JakobMon monde est quelque chose de dangereux. Quelque chose que personne ne pourrait comprendre, alors je vous éloigne, mais toi tu reviens tout le temps qu'importe ce que je dis ou ce que je fais et je crois que c'est ça ce qui me plait chez toi. (System Of A Down → Aerials)Nous sommes Jeudi.
C’est un jour comme un autre nous sommes d’accord, cependant là nous n’étions pas en cours comme tous les jeudis, non là j’étais chez moi en train de me demander ce que je foutais je venais vraiment d’inviter Kobayashi à venir avec moi à la patinoire ? Je l’avais réellement appelé ? Mais bon dieu je suis bête, je me demande comment je peux faire une telle chose je me demande bien comment j’ai pu appeler déjà hein. Hein je me sentais débile à un point, ma fille était venue me voir en plus aujourd’hui tôt, elle était venue pour me demander pourquoi depuis ce week-end j’étais bizarre, cette gamine savait trop de chose, ça me perturbe. Je ne pouvais même pas lui répondre, car je ne savais pas moi-même.

J’ai mi cent ans à me décider à ce que je devais faire. Mais je ne pouvais sans doute pas annulé comme ça, alors dans la précipitation j’avais appelé ma grand-mère a une vitesse grand V. Je lui avais expliqué que j’avais besoin de la patinoire du centre-ville obligatoirement, car je devais faire un truc avec un élève qui avait du mal à contrôler son pouvoir et que le faire dans l’école c’était dangereux. Qu’il fallait vraiment qu’il n’y ait personne. Je me sentais mal de mentir comme ça, mais je ne pouvais pas lui dire la vraie raison. Non pas encore voire jamais. Je me suis gratté le cou, elle avait mis du temps à accepter, mais finalement se fut le cas. Après avoir raccompagné ma fille à son école, je suis parti chez Kobayashi. Je me sentais vraiment nerveux. Je m’étais habillé avec un simple jean noir, des baskets, un t-shirt noir aussi et une veste marron avec une capuche. J’avais pris mon sac histoire de mettre une écharpe et des gants. La patinoire il fait froid.

Je me suis un peu perdu en route, mais bon c’était ainsi. Je marchais en même temps, j’avais eu cette flemme de prendre la voiture aujourd’hui je ne sais même pas pourquoi, mais bon marcher ne lui fera sans doute pas de mal. Ça lui donnera plus de force dans les jambes et peut-être qu’il tombera moins. Après avoir trouvé mon chemin et avoir cherché bien comme il faut je suis arrivé devant chez lui. Je me suis frotté la joue. Bon courage Jakob tu peux le faire. J’ai donc frappé à la porte et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis l’homme poilu ouvrir la porte. Bah tiens c’est vrai qu’ils sont colocataire. Il puait l’alcool, dès le matin il faut être fort. Je le jugeai fort bien. Il appela Kobayashi, mais genre je crois qu’il eut la révélation du siècle, car il allait sûrement dire un truc comme « vimentel de mes deux « ou bien « Vimentel de merde » ou je ne sais quoi encore de toute façon je m’en fichais un peu ce n’était pas plus important que ça. Il arriva et tout ce que je pouvais sentir c’était l’alcool. Bordel, mais ils ont foutu quoi si tôt le matin ? Je l’ai laissé passer devant, alors qu’il marchait sans vraiment prendre la bonne direction. J’ai levé les yeux au ciel cette journée promet déjà. Alors je l’ai tiré de l’autre côté. Je ne disais rien, même pas un bonjour. Je le regardai du coin de l’œil.

Tu nous as fait quoi Kobayashi ? Tu as décidé que c’était le moment de boire un gros coup ? Non ce n’était pas le moment de faire une telle chose, tu aurais dû t’abstenir. En plus bordel ton gars m’aime vraiment pas et moi non plus… Peuh ça ne sert à rien que je me dise ça dans la tête il doit s’en foutre totalement après tout sa vie ne va pas changer à une chose près. Je me suis étiré en marchant. Puis j’ai regardé de droite à gauche, certains nous regardaient, mais j’ignorais assez facilement les regards. Ce n’était vraiment pas important pour moi. Je suis du genre a tout ignoré d’un coup. Ni plus ni moins. Puis je me suis décidé à briser quand même la glace. Ce n’est pas que je n’aime pas le silence, mais le pauvre il allait croire que je lui fais la gueule, alors que je l’ai invité.

« Hum… B’jour. Pas d’problème avec ton colloc’, mais bon pourquoi vous avez bu de si bon matin ? Vous savez ça sent fort l’alcool du coup. »

Ouais bon hein je n’ai pas dit que j’allais être gentil, je ne le suis pas après tout. Je me suis étiré et j’ai regardé mon téléphone. Ok nous avons une heure convenable et de toute façon à la patinoire il y a de la bouffe et des boissons. N’est-ce pas cool ? C’était chiant à en mourir en vrai. Je me suis mis à baillé. Je dirai après bien quarante minutes de marche où je pensais qu’on allait sans doute perdre Kobayashi nous sommes arrivés à la patinoire. J’ai pris mon écharpe et je l’ai mis sur les yeux de Kobayashi. Bah ouais il pensait sûrement qu’il va y avoir du monde, alors autant lui faire la surprise jusqu’au bout. Tout ça pour pas que monsieur se sente mal à l’aise j’avais fait ça oui. Oui pendant quelques jours je me suis demandé pourquoi je voulais qu’il se sente bien, qu’il n’ait jamais mal ou je ne sais quoi et au final cet acte m’avait paru plus que naturel. Faire en sorte qu’il oublie pendant un moment qu’on le prenne pour un gosse. C’était sans doute ça le plus chiant dans cette histoire.
Je suis rentré en silence et tout ce que je faisais c’était marcher en guidant Kobayashi. Une fois arrivé vers la patinoire j’ai enlevé l’écharpe et je lui ai fait un jolie « tada. »

« Je me suis dit que ça serait bien sans personne ça serait cool. »

Je me suis gratté la joue, je me sentais un peu gêné du coup, mais bon. J’ai pointé du doigt ce qui était derrière lui, c’est-à-dire les patins. On avait qu’à commencer non ? Je me suis étiré de ouf pour bien me sentir et je lui ai fait un vague petit mouvement de main et je suis allé vers le comptoir et je suis passé au-dessus tranquillou cherchant ma taille j’ai baillé de ouf, j’avais un peu sommeil, car je n’avais pas bien dormi du coup, car j’étais en stress level 40. J’ai pris une paire et je suis revenu vers Kobayashi. Je me suis baissé et je lui ai soulevé le pied pour voir quelle pointure il faisait. Ensuite je suis allé chercher ses patins et je lui ai donné. Je me suis assis en le regardant.

« Tu en as déjà fait ? »

Je me doutais bien que non, mais bon on peut toujours demandé. Je me suis même demandé s’il allait pouvoir tenir droit vu sa maladresse légendaire j’avais vraiment hâte de voir ça. Je continuais de le regarder puis sans crier garde je lui ai lâché dans le plus grand des calmes un truc que je ne pensais pas dire de moi-même.

« Je suis content que tu ais accepté de venir avec moi aujourd’hui. »

Je savais ses sentiments à mon égard, mais après il y a des personnes qui ne viendraient pas forcément et ça me désolait un peu, mais j’étais content qu’il ait accepté, j’espérais que tout irait bien. Que tout irait bien et que nous n’allons pas nous disputer pour des broutilles, mais je me connais. Je vais tout gâcher, ce n’est qu’une petite question de temps n’est-ce pas ? Je pense que oui malheureusement je n’y pouvais rien. J’étais comme ça et on ne refait pas les personnes comme moi.
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Jeu 4 Mai - 0:42
Deuxième chance.On ne choisi pas d'aimé quelqu'un parce qu'il est beau au sympathique, mais parce que nous sommes seul  à entendre la musique qu'elle chante en silence.  Il avait l’air de mauvaise humeur. Il était venu m’attrapé car j’allais dans la mauvaise direction et n’avait pas dit un seul mot encore. Je me sentais un peu mal, foutus poilsdepine ! Quand je rentre tantôt je m’arrange pour le tué, quitte à foutre du cyanure dans son café. J’avais attendus ce moment comme pas possible et maintenant j’étais mal de cette soudaine ambiance tendue. Sans doute était-ce à cause de mes erreurs passées, n’est-ce pas ? Je me suis mordu la lèvre, continuant de marché pour ne plus y pensé. Je pouvais au moins profiter du trajet pour le regardé un peu. Il était super bien habillé, d’une élégance, comme toujours. Je voyais bien que les gens nous regardaient, c’était assez gênant. A quoi pensaient-ils, hein ? J’ai baisé les yeux. J’allais devoir surmonter ça, après tout je voulais vraiment être Jakob ! Alors aujourd’hui j’allais de voir faire fit de ces regards. C’était plus facile à dire qu’à faire. Je n’arrêtais pas de rougir en essayant de suivre son pas quand il prit enfin la parole. Je me sentais mal d’avoir accepté ce verre avec cette remarque. J’ai juste voulu me sentir un peu plus à l’aise, était-ce si mal que ça ? Il semblerait. J’ai retenu mon soupire, après tout avec ma tête ce genre de comportement ne doit pas passer. J’ai continué de le suivre dans un silence plus que troublant, mais je ne savais pas quoi dire tout simplement. J’avais l’impression que si j’ouvrais la bouche, un flot de connerie en sortirait. Hors je m’étais promis de ne pas abordé de sujet fâcheux, aujourd’hui.

Nous sommes finalement arrivées devant la patinoire artistique. Vraiment, c’était donc réellement son idée ? J’ai rougis, c’était vraiment romantique quand on y pense, non ? J’ai secoué la tête, Koba’ on a dit quoi ! J’ai voulus me tapé les joues, mais Jakob venait de posé son écharpe que mes yeux. J’étais stupéfait, n’osant rien dire à nouveau. Que fait-il ? J’ai essayé de ne pas tomber alors qu’il me guidait et une fois arrivée, il laissa tomber le mystère avec un petit tada théâtrale. J’ai écarquillé les yeux stupéfaits. Il n’y avait personne. Il avait réservé toute la patinoire juste pour moi ? Je l’écoutais parler. Il a fait ça pour que je ne souffre pas du regard des gens ? J’étais choqué. Pourquoi Jakob ? Je sentais mes joues s’enflammé comme pas possible, j’en avais les larmes aux yeux. Je sais, je suis facilement ému. Mais je n’ai aucune expérience sur ce genre de chose, il me parait donc normal d’être aussi touché par ces gestes. Il montra les patins du doigt et s’étira. Il faisait assez froid ici, j’ai donc regardé dans mon sac après ma grosse écharpe et je me suis empressé de la mettre autours de mon cou, ajustant ensuite mes gants de tissus noir. Je suis du genre gros frileux, oui. Il se baissa pour regarder ma pointure. Ha bha oui, j’ai de tout petit pied mon gars. Il me fila finalement des patins à ma taille et je me suis empressé de les enfilés.

Occupé à resserré les fermetures j’ai sursauté en l’entendant me parlé. Il était content ? Mon cœur rallait explosé, j’étais sur un petit nuage d’amour tout rose. J’ai sourie, si j’en avais déjà fait, hein ? Je sais que je parais empoté, je ne le suis pas spécialement pourtant, c’est surtout lui qui me rends comme ça. Toute fois aujourd’hui, les choses allaient changer. Ma tante était une ancienne patineuse artistique classé et autant vous dire qu’enfant, j’en ai bouffé et pas qu’un peu. J’étais ravi. J’ai finis d’enfilé les chausses et j’ai tapé par terre le bout de ma lame pour l’ajusté. Parfait. Je me suis dirigé vers la glace, laissant mes premier pas ce faire dans une maladresse presque voulus. J’ai sourie à nouveau, la glace avait été balayé et glissait juste comme il le fallait. Heureusement, quand elle est trop lisse c’est une vraie horreur. J’ai craqué mes épaules et j’ai fait un petit signe à Jakob. Alors comme ça tu me vois comme un gamin maladroit. Bien, j’vais pas me gêner pour t’en foutre plein la vue alors ! J’ai commencé à patiner, me retournant super fier de moi, le patin en arrière ce que j’avais chier pour apprendre à le faire, puis je suis revenu vers lui en m’arrêtant parfaitement bien.

- Oui, j’en ai déjà un peu fait du patin à glace.

Ok, je me la pête carrément et j’ai même pas honte. J’en rigolais carrément de super bonne humeur. J’avais l’air d’une insouciance sans nom. Mais j’étais content, que voulez-vous. Toujours avec ce sourire figé sur le visage, tel un bienheureux, j’ai chipoté mon gant un instant avant de le regardé en rougissant.

- Merci beaucoup pour ça. C’est vraiment gentil tu n’imagines même pas à quel point j’peux être content. J’sors pas souvent tu vois haha… Alors forcément c’est hm. Spécial du coup. Hm oui.. Donc heu, hah merci.

Je me suis passé une main dans la nuque. Je ne suis pas doué pour remercier les gens de façon aussi spontané. C’est aussi parce que moi je voyais ça comme un rendez-vous galant et que c’était une première. Mais ça je ne voulais pas forcément qu’il le sache. une erreur J’ai balayé cette pensé, la laissant à peine affecté mes traits. N’y pense pas Iris, même s’il est là en simple ami, c’est déjà super ! J’étais réellement content et s’il l’était aussi c’était d’autant plus génial ! Ne sachant pas quoi ajouté et rougissant de plus en plus, je suis retourné sur la glace joué un peu du patin, comme on dit. Ma tante m’avait montré pas mal de truc, mais je n’avais pas le niveau d’un pro. Je me débrouillais, c’est tout. Je me demande si Jakob est doué pour ça, tiens. Je me demande aussi comment il a réussi à réservé toute la patinoire. Il n’avait quand même pas payé ? Pour faire ça, le cout devais être exorbitant, et en tant que prof je ne pense pas que ça lui soit accueille. Je me suis retourné vers lui en une parfaite ronde et je l’ai fixé un moment curieux.

- Comment tu as fait pour qu’on soit seul ? C’est enfin, j’espère juste que tu t’es pas donné trop de mal juste pour moi quoi haha… Ce serait assez équivoque haha..

Je tapais mes index l’un contre l’autre en regardé un point sur le côté un peu gêner. Bordel j’avais promis de ne pas en parler ! Mais c’est vrai après tout ! Fait avouer que c’est vachement équivoque comme comportement ! Puis c’est lui qui m’avait embrassé la dernière fois, voilà point.

- Ha et pour info. Je ne bois absolument jamais, j’ai pas la physionomie pour. J’ai juste descendu un shoot avant de partir, sous les conseils d’Hiromi, parce que j’étais au bord de la crise d’angoisse voilà. Désolé si ça t’a manqué de respect.

Je tenais à lui dire. En plus j’ignore encore si je regrette d’en avoir descendu un, ou si je regrette de n’en avoir descendu qu’un. Comme quoi la vie est parfois compliquée.


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Jakob B. Collins
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Jeu 4 Mai - 22:00
Chut et danse.Kobayashi & JakobMon monde est quelque chose de dangereux. Quelque chose que personne ne pourrait comprendre, alors je vous éloigne, mais toi tu reviens tout le temps qu'importe ce que je dis ou ce que je fais et je crois que c'est ça ce qui me plait chez toi. (System Of A Down → Aerials)Il semblait à l’aise sur ses patins. C’était intéressant puis quand il commença à glisser sur la glace je l’ai regardé, il semblait s’y faire, on pourrait presque oublié qu’il est maladroit de base. Je dis bien presque, car je suis sûr que dans la journée il va se casser la gueule. Je ne le connais que trop bien. IL peut savoir faire des choses, mais il peut très bien se casser la figure par la suite. Il est comme ça puis c’est tout. J’étais cependant vraiment impressionné de voir à quel point il pouvait être doué, alors que de base il ne sait rien faire avec ses jambes et le fait qu’il n’est pas fait coucou au sol, c’était encore mieux. Il s’était arrêté avec son petit air de grand fier de savoir en faire. J’ai cligné des yeux plusieurs fois quand il me remercia, oh ça le touchait tant que ça ? Je ne m’y attendais pas du tout. Je ne comprenais pas ce qu’il sous-entendait par le fait que c’était spécial. Ce n’était si spécial que ça dans un sens non ? C’était même presque banal je pense, il ne faut pas que je fasse attention à tout ça.

Je l’ai écouté jusqu’au bout. Tout ce qu’il disait, tout ce qu’il faisait je regardais tout et j’écoutais tout. Mais cependant je ne fis comme si de rien n’était. Je me suis massé les tempes et je suis resté assis pendant un moment sans rien dire. Je le fixais et j’ai finalement décidé qu’il était tant que je fasse un peu de patinage moi aussi je ne vais pas rester là à en faire. Je suis donc aller sur la glace, je l’ai regardé d’abord incertain. Cela faisait bien un moment que je n’étais pas venu dans cette patinoire. La patinoire qui appartient à ma grand-mère . Oui voilà le grand succès de ma vie. Elle ne peut pas fermer comme bon lui semble appartient, mais elle pouvait toujours essayer et elle l’avait fait. Heureusement qu’elle ne sait as la raison pour laquelle j’ai fait une telle chose. Je patinais doucement, regardant le sol en réfléchissant à ce que je pourrai dire à Kobayashi. Ce n’était pas une action qui voulait être équivoque. Ce n’était pas ça, vraiment pas ça. Je ne sais pas pourquoi il pensait à une telle chose. Puis ce qu’il m’avait dit sur son pote, pourquoi il avait fait ça ? Je me suis arrêté et je suis venu vers lui.

« Je suis assez impressionné je dois avouer que tu saches en faire. Je me disais vu ta maladresse légendaire tu allais tomber, mais finalement tu te débrouilles bien. »

Je me suis collé à la rembarde en posant mes mains gantées sur cette dernière et je l’ai regardé. Pendant un instant je me suis demandé où est-ce qu’il avait appris tout ça. Est-ce qu’il en faisait avec ses amis quand il était petit ? Je me demande bien ?

« C’est un secret comment j’ai eu cet endroit, mais je suis content que ça te fasse plaisir. Tu peux agir comme tu le souhaites du coup. Puis tu fais c’que tu veux avec ton pote, du moment que tu ne finis pas bourré ou à faire des choses chelou. Donc je ne t’en veux pas, fais juste attention. »

Puis je me suis remis à patiner en silence. Je me suis demandé pourquoi j’agissais ainsi. Pourquoi je me comportais comme ça avec lui, alors que je tournais je le regardais du coin de l’œil, je regardais en suite le plafond. Le nombre de fois que j’avais vu des banderoles avec la tronche de ma grand-mère attachée à ce plafond pour commémorer je ne sais plus quoi, quand j’étais petit malgré que j’en avais marre qu’on me foute une meuf avec moi, j’étais assez impressionné. Je me suis demandé plusieurs fois comment on faisait pour avoir tant de personne autour de nous et en même temps être aussi seul que ma grand-mère. Puis j’ai repensé à Kobayashi, quand je suis avec lui ce sentiment de solitude part. Je ne me sens plus seul. Je me sens accompagné. Je l’ignorais un peu là, mais tout ce que je me disais c’était que j’étais bien au final.

« Tu veux me montrer ce que tu sais faire tiens ? Montre moi ce que le nain que tu es sait faire. »

Malgré que certaines patinoires soient à ma grand-mère je ne savais faire que la base et je ne m’y connaissais genre pas du tout. Oui c’était ainsi, en même temps j’étais un autre de feu, faut pas déconner non plus. Je me suis étiré en revenant vers lui et je l’ai regardé et je lui ai tiré une joue en souriant. Puis je lui ai lâché en soupirant un peu. Puis j’ai pointé un petit coin avec genre une petite salle.

« On diffuse de la musique dans cet endroit, si tu veux j’t’en mets pour que tu sois dans le rythme ou je ne sais quoi. Enfin si tu le souhaites. Je ne t’oblige pas. »

Je lui ai tapoté les cheveux doucement puis je regardai de droite à gauche sentant mon cœur battre toujours aussi fort depuis que je l’ai vu. C’était chiant et je ne comprenais pas. Du moins je me refusais à cette idée qu’il ait pu réussir son coup. Car malgré tout ce que je pense je suis sûr que ce n’est qu’un petit jeu, mais je ne souhaite pas y participer. Je ne suis pas comme ça. Je ne sais pas, je ne me sens pas de me faire avoir par un nain. Je l’ai regardé un peu et j’ai soupiré.

« J’espère que ce n’est pas un jeu Kobayshi. »

Pourquoi je lui disais ça moi ? Ce n’est pas comme si c’était super important après tout. Ce n’est pas comme si quelque chose allait changer. C’est juste une histoire sans importance. Après tout ça ne me regarde pas. Je lui ai pris sa main au final et je l’ai trainé jusqu’à ce qu’on soit au milieu de la glace et je l’ai finalement lâché et j’ai remonté un peu mon écharpe devant ma bouche, comme ça hein on ne verra pas que je souris. Je lui ai fait un petit mouvement de main pour lui dire qu’il pouvait commencer à me montrer ce qu’il savait faire, que toute mon attention était portée sur lui. Uniquement lui. Oui comme à chaque fois que je le vois, comme à chaque fois que je le regarde, comme à chaque fois que les professeurs ou photographes parlent de lui. Je suis toujours focalisé par ce qu’on dit de lui et je m’inquiète toujours un peu et ça, ça me fait réellement peur, car tout ce qui est mal dans cette situation, c’est que je m’accorde à croire que peut-être sans doute ça pourrait le faire, mais je sais très bien que non. Après tout je suis censé être marié à une femme et j’ai un enfant… puis voilà quoi… Sortir avec un nain qui est mannequin et en plus de ça qui vit avec un mec qui ne m’aime pas et que je n’aime pas, car il a défoncé ma porte… Ça ne va sans doute pas le faire. Oui. Je ne le pense pas. C’est comme ça.
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Jeu 4 Mai - 23:06
Deuxième chance.On ne choisi pas d'aimé quelqu'un parce qu'il est beau au sympathique, mais parce que nous sommes seul  à entendre la musique qu'elle chante en silence.  J’avais un immense sourire gravé sur le visage. Il était impressionné. Pas satisfait ou surpris, non impressionné. Je n’avais pas les mots tant j’en étais heureux, je pouvais sentir mon cœur cogné fort dans ma poitrine, au point que j’avais presque peur d’en mourir. Je remerciais silencieusement une demi-douzaine de fois ma tant ! Il s’appuya à la rambarde, j’admirais sa grâce naturelle. Même s’il n’était pas pro, on voit bien qu’il s’en sort avec une aisance presque surréaliste. C’était comme s’il réussissait tout ce qu’il entreprend. Laissant le mystère sur sa façon de récupérer pour nous seuls un endroit comme celui-ci, il fit toute fois part de quelques choses qui me troublèrent. Il semblait s’inquiété pour moi, je me trompe ? J’ai sourie à nouveau, sentant la chaleur montées sur mes joues. Comprenez-moi, on me regarde souvent, mais au-delà de mon image, jamais on ne s’inquiété réellement de savoir si je vais bien. Tant que je sourie et pose correctement après tout. Je ne pouvais pas détacher mon regard du sien, il semblait pensif, comme préoccupé. Je me dis que dans le fond, il doit comprendre que ce qu’il fait est équivoque, mais que ça l’emmerde car ce n’est pas dans ses habitudes. C’est le genre de mec a repoussé tout le monde de peur de s’attaché, j’avais donc anticipé une tel réaction. C’est ce qui m’avait décidé mon silence sur ce sujet aujourd’hui. Prenant un peu plus confiance, quand je le vois agir de la sorte, je me dis que le temps fera les choses.

Sa phrase me prit au dépourvus. Lui montré ce que je savais faire ? Le rouge me montait aux joues, je n’aime pas tellement me mettre en spectacle, en dehors de mon boulot. Il semblait bien connaître l’endroit et semblait réellement curieux de voir ce que je savais fait, mais rien à faire, face à lui je deviens timide. Je me suis mordu la lèvre un moment pensif. Il m’avait placé au milieu de la glace et je sentais que mon cœur allait exploser de l’attention qu’il me porte. Ses derniers mots me tirèrent toute fois de ma torpeur. Jouer avec lui ? Je m’en choquais, pourquoi pensait-il ça ? Avais-je fais quelques chose qui le pousse à y croire ? Je ne pense pas… J’ai baissé les yeux, passant ma main dans mes mèches blondes. Parfois j’aimerais être Mentanel pour suivre le cheminement, parfois tordus, de ces pensées. J’ai sourie, mais j’ai son regard. Est-ce que c’est normal de pouvoir y lire tant de chose ? Ou est-ce que c’est parce qu’il est Mon spécial ? J’ai sourie, n’osant y croire. Laissons ces questions à plus tard, j’avais un autre problème sur l’instant. Je tapais la lame de mon patin contre la glace nerveusement. Si je refuse, il va le prendre mal et si j’accepte et qu’il me sourit. J’allais stressé et tombé et il se moquerait de moi. Alors que faire ? J’ai pris un air déterminé. Je suis très loin d’être pro, j’ai juste regardé ma tante faire et passé quelques temps sur la glace…

- Non, je ne joue pas avec toi. J’ai rarement été aussi sérieux à vrai dire… Ha et … Heum, en fait je ne suis pas spécialement doué sur la glace, tu sais haha. Enfin je veux dire. J’ai juste vu ma tante faire quand j’étais jeune, donc de là à donner un spectacle…

J’ai passé une main dans mes cheveux, j’avais l’impression d’être rouge fluo et qu’une grosse flèche avec écrit pas doué dessus braquait sur mon visage. Ma timidité me tue parfois, mais que voulez-vous face à l’homme qu’on aime c’est toujours pire, je crois. Je me devais encore de répondre à ces suppositions faussé, j’ai donc fait quelques traits vers lui, avant de me prendre les pieds dans la glace en repensant à son sourire et je me suis étaler. Sur lui. Encore. Bordel, il va finir par croire que je le fais exprès, ce n’est pas croyable d’être aussi poisseux que moi ! Je me suis relevé comme j’ai pu, mais mes gants glissaient sur la glace, et je me suis redressé à m’accrochant à la rembarre.

- Bordel, je suis désolé, je te jure que ce n’était pas intentionnel !

Je me sentais horriblement nul au point d’en avoir les mains qui tremble. Foutus idiot, tu ne sais pas regarder où tu fous tes pattes, non, trop occupé à maté le beau mec en face. Il ne va clairement pas apprécier que je lui tombe, encore, dessus. Déjà qu’il m’avait accusé de le faire exprès la première fois, je n’étais pas sauvé. J’ai soupiré lourdement blasé par ma propre bêtise.

- Sérieux iris…

Comment pourrais-je me justifier sans faire part de chose trop intime, encore. Je me l’étais promis, je refuse de le mettre mal à l’aise ! C’est un jour spécial je veux en profiter. En tout cas mon pseudo coup de bluff sur patin ne prendrait plus, ma maladresse naturelle en étant une belle cause. Je me suis passé les mains sur le visage. Réfléchit Iris bordel. Je tapais à nouveau nerveusement la glace de ma lame. Une idée, une idée !

- C’est la première fois que je sors avec un ami et je n’ai pas la moindre idée de quoi faire exactement, alors ouais je suis un empotée, c’est l’angoisse je m’excuse très franchement. Je ne veux pas que tu me prennes pour un mec qui fait exprès de te tomber dessus ou qui joue avec toi. Je te jure que ce n’est pas le cas. Je ne suis pas comme ça vraiment. Pardon Mons-Jakob.

J’avais voulu faire au mieux, mais ma foutus parti de soumission était intenable et rendais tout ça très. Pitoyable. Je n’osais même plus le regardé. Que faire pour essaye de rendre la situation moins gênante, là ? J’ai repensé à ce qu’il avait fait lui-même chez lui, pour ce faire pardonné, enfin pour rééquilibré les choses. Devais-je faire pareil ? Après tout pourquoi pas, ça avait fonctionné avec lui ! J’ai reposé un regard timide sur lui.

- On a qu’à dire que je t’en dois une, pour ça … Heum ça te va ?

Je ne vois pas trop comment ça pourrais mal tournée de lui proposer cela. N’est-ce pas ? Ce n’est pas comme si il allait me proposé un truc horrible ou me posé une question horriblement embarrassante. Après tout moi, tant qu’on ne me parle pas de mon passé, tout passe je pense. J’ai hoché la tête comme pour m’en convaincre moi-même. Il faut d’abords y croire soit même pour que ça fonctionne. J’ai essayé de sourire pour le remettre à l’aise, mais je n’osais plus trop bougé de ma place. Imagine je lui tombe encore dessus ? Ha oui, mais en restant tout près j’augmente ce risque, non ? J’ai battus des cils et j’ai tiré un long trait pour m’éloigner un peu. Voilà, c’était plus sécuritaire.

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Ven 5 Mai - 0:50
Chut et danse.Kobayashi & JakobMon monde est quelque chose de dangereux. Quelque chose que personne ne pourrait comprendre, alors je vous éloigne, mais toi tu reviens tout le temps qu'importe ce que je dis ou ce que je fais et je crois que c'est ça ce qui me plait chez toi. (System Of A Down → Aerials)Tout semblait si étrange quand il parlait, tout semblait si nouveau, alors que je suis allé à la patinoire bien des fois et avec des gens bien différents et une fois oui pour de vrai avec un élève, ce n’était pas totalement un mensonge du coup hein, juste que l’élève en question était pas là du coup. Ce n’est pas comme si ça allait changer quelque chose. Je n’ai pas eu vraiment le temps de réfléchir que le voilà qui tombait sur moi. Je me suis rattrapé comme je pouvais pour ne pas que mon cul atterrisse par terre, mais alors ce gars franchement. Je ne sais pas ce que je vais en faire. Il tombe n’importe quand et n’importe où ! Mais quand je suis là c’est sur moi qu’il tombe bien entendu. Je ne suis pas méchant, mais bon il ne faut pas déconner, deux fois de suite et il veut me faire croire que ce n’est pas voulu ! Il ne faut pas pousser mémé dans les ortilles surtout niveau connerie ! J’ai soupiré en l’écoutant. Sérieusement Kobayashi fait attention à ce que tu fais surtout avec moi.

Mais d’un côté je me dis que c’est une bonne chose. Je n’avais pas ressenti grand-chose quand il est tombé, n’est-ce pas la preuve que je ne suis pas amoureux ? Oui je pense que c’est une bonne chose si nous comptons le nombre de fois qu’on va se voir et le nombre de fois qu’on va devoir être proche il va sans doute tomber bien plus qu’il ne le faut sur moi autant m’y faire maintenant. Mais il semblait terriblement gêné, il ne semblait pas bien du tout sur le coup et quand il me dit que c’est la première fois qu’il sort avec un ami, je me suis demandé ce que son colloc pouvait bien faire de ses journées pour que Kobayashi dise que c’est la première fois qu’il sort avec un ami… Il failli dire encore Monsieur Collins. Je le sais. Il a une nature de soumis ce gars la première fois je n’ai pas fait gaffe, mais maintenant j’en suis presque sûr. Son colocataire qui est venu défoncé ma porte là ! Il ne sort jamais avec lui où quoi ? Ils font quoi toute la journée ensemble dans l’appartement ? Est-ce qu’ils ne font que partager l’appartement et jamais ils ne sortent ? J’ai presque froncé les sourcils à cette idée. Ils restaient enfermés et sans doute parce que Kobayashi n’était pas rentré il avait décidé de fracasser ma porte, oui il n’avait pas son jouet avec lui forcément il est venu le récupérer… Pff quel gars.

J’ai secoué la tête, mais qu’est-ce que je racontais ? Bien sûr que non ce n’était pas un jouet, ils ne sortent juste pas ensemble pour diverses raisons qui m’échappent, mais voilà ça m’intrigue du coup, ça veut dire que je suis e premier avec qu’il sort et il est stressé à mort. Autant lui faire comprendre que c’est peut-être comme un cours de sport ? Bah oui à l’aise poser, normal, pas une sortie trop folichonne quoi. Juste un truc innovant. Je me suis gratté le cou et je l’ai regardé s’éloigner et après j’ai haussé les épaules. Je me demande bien ce que je pourrai lui dire et quand il me dit que je pouvais lui demander un truc j’étais un peu choqué. Qu’est-ce que je pouvais lui demander moi ? Il me voit lui demander quelque chose en plus ? Je me fiche bien moi de tout ça. Je me suis rapproché et cette fois-ci je lui ai ébouriffé les cheveux.

« Ecoute Kobayashi, dis-toi au pire que ce n’est qu’un cours de sport et qu’il ne faut pas être gêné, tu sais j’vais pas t’plaquer au sol et t’faire l’amour comme l’animal que je suis hein. »

Oui oui je sais je suis d’une classe sans nom, mais pendant une seconde je me suis dit autant lui dire un truc « adulte », non car là ça partait en discours pour les gosses et je sais qu’il n’aime pas ça. J’ai soupiré légèrement ce n’était certainement pas le moment de réfléchir au fait qu’il était adulte, qu’est-ce que je pouvais bien lui demander hein ? Qu’est-ce que je pouvais demander qui piquerait mon intérêt ? Sans doute quelque chose tout simple non ? Ce n’est pas toujours aussi simple que ça au final, ce n’était pas comme si j’avais des choses à demander puis ce n‘est pas comme si je n’avais rien à dire.

« Pourquoi tu es amoureux de moi ? »

Ok. Alors là ce n’est pas du tout ce que je voulais dire, ce n’est pas du tout ce que je voulais savoir et c’était encore moins une chose qui devait être dite. Ce n’était pas le moment de se demander pourquoi un nain m’aimait. Non vraiment pas. Je me suis reculé au final. Je ne sais pas pourquoi je voudrai savoir ça, j’ai posé une main au niveau de mon cœur, sans doute était-ce pour comprendre les battements incessants de mon stupide engin qui me servait de cœur ? Ouais sans doute était-ce ça. Je me suis tourné et j’ai soupiré. Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je ne demande pas quelque chose de monstrueux, mais ce n’est pas correct. Ce n’était pas sympathique.

« Ma grand-mère. C’est endroit lui appartient. Je lui ai demandé. Mais ne t’en fais pas, elle pense que je suis avec un élève tu n’auras pas de soucis. »

Je ne sais pas pourquoi au final je lui dis ça, mais est-ce que c’est pour lui faire comprendre quelque chose ? J’aimerai qu’il comprenne ce que moi je ne pige pas dans cette situation, ça serait si bien que pour une fois ce n’est pas moi qui donne les réponses, mais que ça soit quelqu’un d’autre. J’aimerai que ce quelqu’un d’autre soit Kobayashi aujourd’hui. Je suis venu lui prendre ses mains et je l’ai regardé pendant quelques secondes.

« Il y a des choses que je ne peux pas comprendre ou que je me refuse à comprendre. Je ne sais pas les réponses et j’aimerai les avoir, mais c’est sans doute impossible. »

Les réponses ne sont pas toujours comme on le voudrait et je dois avouer que j’avais peur des réponses que je pourrai entendre. Ce n’est pas que je n’aime pas qu’on me mette la vérité en face, mais il y a des choses que je souhaiterai ignorer à jamais. Je ne souhaite pas entrendre des choses inutiles. Je ne souhaites pas qu’on me dise « C’est ainsi et pas autrement » je ne souhaite pas qu’on me fasse la moral, car je ne pige pas quelque chose sans doute simple, j’aime me dire que tout est compliqué, car jamais quelque chose n’est simple dans la vie, tout n’est que malheur quand tu veux du bonheur n’est-ce pas ?

« Oublie ce que j’ai demandé.. Je ne sais pas hum j’aimerai bien te voir patiner de nouveau même si tu n’as pas un haut niveau j’aime bien te voir patiner tu sais. »

Bon bah c’était dit hein. Maintenant on peut faire le mort dans un coin. Je sais que c’est un peu idiot, mais bon on ne peut pas faire grand-chose haha. Quelle situation gênante au final.
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Ven 5 Mai - 1:32
Deuxième chance.On ne choisi pas d'aimé quelqu'un parce qu'il est beau au sympathique, mais parce que nous sommes seul  à entendre la musique qu'elle chante en silence.  Il s’approcha de nouveau de moi et m’ébouriffa les cheveux. Il ne semblait pas plus fâcher que ça, mais je ne devais pas trop me fié aux apparences, juste histoire d’être sûre. J’étais un peu perplexe après ses mots. Okay, il a voulu se rendre rassurant, c’est ma fois très gentil, mais c’était quoi cette fin de phrase ? Je restais à le fixer avec un énorme point interrogatif sur le visage. Je ne comprenais pas trop où il voulait en venir. J’ai pris une longue inspiration, attendant tout simplement sa question ou sa demande, de façon plus général quand la chaleur envahis tout mon corps. Pourquoi j’étais amoureux de lui ? Je l’ai fixé deux secondes plus que stupéfait. Pourquoi il me demande ça au juste ? En quoi ça peut bien l’intéressé ? C’était un fait, rien de plus. Le pourquoi du comment, il devrait s’en foutre. Puis la réponse était assez compliquée à expliquer. Je me voyais mal lui répondre que c’était ces petites manies et ses souries qui m’avait séduit et que je le voyais comme Mon bon à cause de ces yeux. Oui, sûre qu’il ne comprendrait pas… Pourquoi, s’il le comprend ça veut dire. J’ai secoué la tête, non Iris ! Seigneur je me l’étais promis, mais c’est LUI qui abordait le sujet, que devais-je faire dans ce cas de figure ? Il se recula et posa sa main sur sa poitrine.

Putain. Je n’ai pas d’autre mot pour exprimer mon désarroi. Putain. J’en avais le souffle coupé. Je ne pouvais pas m’empêché d’interpréter ces gestes, c’est plus fort que moi. Mais je gagne en acquis et ma vision ce précise. Ma théorie était donc la bonne ? La seule solution c’était de lui répondre le plus franchement possible alors. J’ai soupiré en me repassant une main dans les cheveux. On peut dire que ça ne se sera pas du tout passé comme prévus. Mais bon, il avait été si méticuleux, comment ne pas succombé. Il revint vers moi sans trop que j’y fasse attention et il posa ses mains contre les miennes. Même à travers le tissu de mes gants je pouvais sentir sa chaleur, j’avais l’impression de fondre. Mon cœur battait si fort que j’en avais presque mal. Est-ce là la douce douleur de l’amour qui frappe ? Mes joues me chauffaient de nouveau. Son regard, ses yeux si particuliers. Ces mots, je vibrais tout entier aux sons de sa voix. J’avais donc bel et bien vu juste. J’en tremblais littéralement, subjugué par mes émotions trop fortes. Seigneur si j’avais cru ce moment possible ! Je voyais bien que ça lui faisait un peu peur de réalisé la vérité.

J’ai sourie touché par sa gêne quand il me demanda d’oublié et qu’il changea de sujet. On dirait moi la première fois que je lui ai confessé mes mots, n’est-ce pas là une preuve flagrante ? Il ne voulait pas le comprendre et le dit de lui-même. Sans doute que si je lui dis, il ne me croira pas. Pourtant, il aime me voir patiné. J’ai rougis de plus belle en balayant mes visages de mes mèches. Bien, ça passe ou ça casse, non ? Je sais que je me l’étais promis, mais je sens qu’il a besoin qu’on l’éclair, qu’il a besoin que ça vienne de quelqu’un d’autre que lui. Jamais il ne pourra l’apprendre de lui. Il appréhende beaucoup trop. Je suis venu me mettre bien en face de lui, plongeant mes yeux aux plus profonds des siens. C’est pour ça que je t’aime Jakob. Je sais que tu peux le sentir, je sais que tu peux le comprendre. Comme moi je te comprends à travers chaque regard. Je ne pouvais m’empêcher de sourire. Pourtant, j’ai un peu peur de sa réaction, je l’avoue.

- Pourquoi je suis amoureux de toi ? Pourquoi toi tu me poses la question, plutôt. C’est coquasse je trouve.

J’essayais d’amené la chose en douceur, j’avais presque l’impression de devoir consolé un petit enfant. Lui expliquant, que ce n’était pas grave, que c’était une chose contre la quel on ne peut pas se battre. N’est-ce pas ironique ? J’ai pris mon air le plus adulte, le plus sérieux et le plus déterminé que je n’eus jamais pris de ma vie. Cette fois ci, je ne raterais pas.

- Je t’aime pour tes petites attentions et tes sourires. Je t’aime parce que c’est comme ça. J’ai l’impression de lire dans tes regards, je cherche toujours à savoir comment tu vas. Quand on me parle de toi je ne peux pas m’empêcher de sourire. Tu hantes chaque seconde de ma vie et me réchauffe. Avec toi je me sens spécial. Je ne me sens plus seul. Et je pense que tu récents exactement la même chose… Jakob. C’est ça la réponse que tu cherches.


Je ne voulais pas paraître prétention, ni quoi que ce soit en affirmant qu’il m’aime. Je cherche réellement à l’aider et ma voix ne pourrait être plus emprunte de sincérité. Je gagnais quelques centimètres avec mes patins, aussi me suis-je mis sur leur extrémité. Comme pour les ballerines et je suis venus embrasser Jakob un petit instant. J’avais posé mes mains sur lui, pour qu’il me porte appuie. Je sentais sa chaleur m’envahir tout entier. Je serais resté comme ça jusqu’à la fin de tut, si j’en avais été capable. Je suis finalement retombé sur la glace, les joues flambés d’une couleur proches du cramoisie. Seigneur je l’avais vraiment fait ? J’avais vraiment dit tout ça ? Moi le petit nain soumis ? Quoi comme l’amour donnent véritablement des ailes. Reprenant finalement ma vraie nature, j’ai reculé plus que gêner. Il aime me voir patiné. Plus j’y pense, plus je rougis. Je voulais échapper à son regard hardant pour l’instant, incapable d’assumer mes gestes, peut-être, bien que je ne le regrette absolument pas. J’ai donc fait demi-tours sur la glace et j’ai enchainé le peu de mouvement que je connaissais, tournant, sautant, glissant le plus vite possible comme pour ne plus pensé à rien.


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Ven 5 Mai - 2:57
Chut et danse.Kobayashi & JakobMon monde est quelque chose de dangereux. Quelque chose que personne ne pourrait comprendre, alors je vous éloigne, mais toi tu reviens tout le temps qu'importe ce que je dis ou ce que je fais et je crois que c'est ça ce qui me plait chez toi. (System Of A Down → Aerials)Il semblait si sérieux d’un coup, alors qu’il rougissait comme une tomate depuis tantôt. Il me regardait et je le regardais donc. J’essayais de comprendre. J’essayais de savoir ce qu’il pensait, j’essayais de deviner avant même qu’il n’ouvre la bouche, cependant à part voir qu’il était sérieux je ne voyais rien. Je ne voyais juste que Kobayashi en mode vraiment sérieux, c’est comme ça qu’on reconnait un vrai adulte, son regard le plus sérieux que possible, on voit bien que ce n’est pas un enfant. Si quelqu’un en doute c’est qu’il est débile franchement ! Je l’écoutais me parler. Tout ce que je voulais savoir il venait de le dire. Mais pourquoi pense-t-il que je ressens comme lui ? Ne s’avançait-il pas un peu ? Je sais que c’est un peu idiot de penser ainsi, mais d’un côté je sais qu’il a raison.

Mes petites attentions.
Mes sourires.
Lire dans mes regards.


Il disait des choses que je ne pouvais sans doute pas encore comprendre, est-ce que je faisais des choses si particulières que ça le rendait toute chose ? Je ne sais pas, je pensais que c’était normal de péter des poignets et de les soigner par derrière. Ouais posément quoi. Je me suis gratté le cou, mais avant que je ne réalise il était si proche de moi. Vraiment proche de moi et tout ce que je pouvais réaliser en l’instant, c’était qu’il s’appuyait sur moi et qu’il m’embrassait. Le nain qui rougit pour rien était en train de m’embrasser et sans même se demander si c’était une chose à faire. Je n’ai pas osé approfondir ce contact, j’étais un peu choqué je l’avais juste inconsciemment un peu retenu pour ne pas qu’il tombe pendant cet échange. Il se recula bien vite, il était si rouge, j’avais senti mes joues chauffer sans doute avais-je rougit. Je le voyais patiner de nouveau et je l’ai regardé juste faire ne sachant plus quoi faire pour le coup. J’ai essayé de respirer un bon coup et j’ai quitté la glace et j’ai déposé mes patins pour refoutre mes baskets et je suis allé me chercher un verre d’eau bien tranquillement. Je me suis frotté les yeux et pendant un instant je me suis demandé ce que je fabriquais.

J’ai regardé le chocolat chaud et les autres boissons. Hum qu’est-ce qu’il buvait ? Je ne sais pas du tout. J’ai juste pris du chocolat chaud, tout le monde aime ça. Je suis revenu et j’y ai déposé sur la table. Je l’ai regardé un moment. Je réalisais petit à petit ce qu’il voulait dire tantôt, mais je ne voulais pas me dire que c’était possible. De toute façon dans quel monde pourrait-on vivre comme il se doit ? J’ai une fille qui ne comprendrait pas, une « femme » plus que chiante, une famille qui ne pourrait pas comprendre pour que je suis avec un « enfant ». Je ne pourrai jamais. Puis avec mon caractère.

Cette force.
Cette rage.
Cette aura meurtrière.


Comment pourrais-je faire une telle chose ? Ce n’était pas convenable. Ce n’était pas bien. Je suis allé remettre mes patins et je suis allé le chercher sur la glace, j’avais enlevé mes gants entre deux le temps de prendre les boissons. Je l’ai tiré pour l’emmener en dehors de la glace. Je sais ce qu’il essayait de faire, mais ce qui était fait et était fait. Nous n’y pouvions rien. Ce n’est pas comme si j’allais en décédé. Je l’ai tiré et une fois revenu sur terre je l’ai lâché et j’ai retiré de nouveau mes patins et vu que je sentais sa douétitude se faire la mal depuis tout à l’heure je me suis baissé pour lui enlever ses patins et lui remettre ses chaussures. On évite les dégâts pour aujourd’hui. Je me suis un peu penché sur lui quand je me suis relevé et je lui ai poké la joue le tirant dans la salle de repos. Puis je me suis assis, après l’avoir assis. Oui oui, je sais qu’il serait resté planter là comme un gros con sinon et ça m’aurait soulé un peut cette situation

« Je t’ai pris un chocolat chaud, je ne savais pas ce que tu buvais donc… Mais moi aussi regarde haha. »

Je lui ai montré ma tasse. Ouais. J’étais assez gêné, je pense qu’il allait attendre une réaction. J’aurai pu le frapper pour avoir cru qu’il pouvait faire ce qu’il souhaitait, mais je ne pouvais pas éternellement le matraquer pour qu’il s’éloigne de moi. Il allait le faire naturellement au fur et à mesure qu’on se rapprochera, il s’éloignera aussitôt. Devrais-je laisser le temps faire la chose ? Sans doute que oui. Essayons d’oublier un peu tout ça. Je me suis gratté la joue et j’ai un peu bu mon chocolat bien chaud. Bordel ça faisait du bien dans un tel endroit.

« Je te remercie d’avoir répondu à la question. »

Est-ce que je peux faire le connard éternellement ? Je me retenais de dire des choses, mais je ne sais pas si je le pouvais longtemps. Je voulais lui dire qu’il se trompe, qu’il est con et inutile, mais j’ai repensé à son regard quand je lui avais dit que ça passerait son amour pour moi, quand j’avais dit que c’était une erreur. Il avait été si triste. J’avais eu mal au cœur et rien que de penser qu’il serait de nouveau triste ça m’emmerdait plus que tout. Puis ça m’emmerdait pour le fait que ça m’emmerdait. Oui ça m’emmerde que je sois emmerdé, car une situation m’emmerderait.

« Pff. Tu sais que tu es un idiot hein Kobayashi ? »


J’ai regardé sur le côté puis je me suis penché par-dessus la table et je suis venu l’embrasser chastement. Ce n’était pas pour dire oui, ce n’était pas pour dire non. C’était juste pour dire que voilà sans doute que bon il y avait quelque chose, mais que pour le moment je ne voulais rien dire. Ouais on va dire ça comme ça, je suis revenu à ma place initiale et je l’ai juste regardé.

« Donc ta tante te montrait patiné ? Est-ce qu’elle était une professionnelle ou elle aimait juste faire du patinage ? »

On va essayer d’en apprendre d’avantage sur lui non ? Ouais je ne sais pas. Mais bon c’était un début. Apprendre à connaître la personne que nous avons en face de nous. Puis il m’aimait, mais il ne savait pas réellement qui j’étais et ça, ça me perturbait. Oui il ne sait sans doute pas de ce que je suis capable ! Je suis sûr qu’il ne le sait pas, alors autant le foutre dans le bain maintenant non ?

« Sache que je ne suis pas toujours aussi gentil. J’pourrais te briser les deux jambes si un jour je décide que tu me saoules trop. »

Oui, je suis charmant. Je le sais bien. Mais bon je dois bien avouer qu’il a un peu chercher pour le coup, je ne sais pas comment lui dire les choses moi. Je fixais mon chocolat chaud en faisant tourner légèrement la tasse. Pff comment faire hein ? J’ sais pas.

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Ven 5 Mai - 3:38
Deuxième chance.On ne choisi pas d'aimé quelqu'un parce qu'il est beau au sympathique, mais parce que nous sommes seul  à entendre la musique qu'elle chante en silence.  Je me suis finalement arrêter un peu refroidie d’avoir bougé autant. Reprenant mon souffle une seconde j’ai réalisé que Jakob n’était plus sur la glace, mais à peine partie, je le voyais revenir. Il remit ses patins et vint me prendre par la main. Il avait retiré ses gants, je n’en ressentais que plus sa chaleur, brulante. Pourquoi me semble-t-il si chaud ? Il me tira hors de la glace et pris même la peine de me remettre mes chaussures. Je ne comprenais pas tellement, sans doute qu’il est troublé par ce que j’ai pu lui dire. Puis je l’avais embrassé, se simple souvenir si chaud, me rendait tout chose. Ai-je bien fait ? Devrais-je prendre l’initiative jusqu’à ce qu’il comprenne que je l’aimerais jusqu’à l’étouffé ? Jusqu’à ce qu’il n’ait plus le choix que de vivre avec ? Mon cœur battait tellement vite, j’angoisse tellement de connaître sa réponse. Il me poka la joue, enflammant littéralement ma peau. Il me tira à nouveau et m’assis sur une chaise. Pas faux, sans ça je serais resté debout à le regardé gêner. Il m’avait pris un chocolat chaud, et ça façon de me montrer le sien me faisait sourire doucement. Mais ce n’était pas le sujet et il le sait. Je brûlais d’entendre sa réponse, comme assoiffé par ces mots. As-tu compris Jakob ? Est-ce que j’ai raison ? Avons-nous un avenir ? Merci.

J’ai serré le poing de toutes mes forces, ne laissant absolument rien paraître sur mon visage. Non, tu ne te défileras pas en me lâchant des vacheries, sache-le. Il pouvait bien me dire que j’étais idiot, il est même en droit de le pensé, rien ne changera. J’ai relevé un regard un peu appâtai vers lui, quand j’ai réalisé qu’il venait m’embrassé à son tours. C’était chaste et bref comme toujours. Mais il avait pris cette initiative une fois de plus. Je sentais mon corps me brûlé, j’avais l’impression d’étouffé. Il reprit finalement sa place et me fixa. J’avais l’impression qu’il sondait mon âme. J’ai joué avec mes doigts sous la table, me dandinant presque mal à l’aise. Ce n’est pas un oui ou un non, n’est-ce pas ? J’ai relevé la tête surpris par sa question. Il cherche à me connaître un peu plus ? Ou est-il simplement curieux au point de ce demandé comment j’ai fait pour pas me brisé la colonne vertébral sur la glace ? Ses derniers mots me firent sourire en premier temps et rire tout bas finalement. Il espère me faire peur ? Et puis, je le savais pertinemment tout ça. Ne prends-il pas en compte ma détermination ? Est-ce qu’il ignore que je pourrais tout supporter venant de lui ?

- Elle était pro. Je crois que ma mère m’en parlait parfois. Soit.

J’ai écarté le sujet d’un revers de la main. Je n’aime pas parler de moi ni de mon enfance ou de mon passé en général. Je sentais une ombre me passé sur le visage. Iris, ne perds pas ton objectif de vu ! J’ai reposé mon regard complètement sérieux sur lui. J’allais dire un truc stupide et je ne le dirais qu’une fois, alors qu’il se le grave bien dans le fond du crâne jusqu’à la fin des temps.

- J’ai vu pire, tu me fais pas peur. J’suis déterminé. Tu peux bien me cassé les deux jambes, ça m’est égal. Je t’aimerais toujours de la même façon. Et ne pense pas que je dis les choses sans savoir. Je sais jusqu’où on peut aller par amour, Jakob.

J’ai bien sentie que mon regard était sombre. Mais je n’aime vraiment pas parlé de ce genre de chose. J’ai vu qu’on pouvait tuer par amour, et même pire. Alors pourquoi je ne serais pas prêt à aller jusque-là. Il peut bien me brisé en miette. De toute façon, je ne suis qu’une coquille vide. Ma seule raison de sourire, de me sentir heureux ou même de reprendre un peu fois, c’était lui. Alors le reste, je m’en foutais. J’ai finalement retiré mes gants pour me réchauffer les mains contre la tasse chaude. Je suis frileux et c’était terriblement agréable. J’ai finalement bu un coup histoire de me réchauffer tout entier. Maintenant que j’avais arrêté de bouger dans tous les sens, j’avais carrément froid. J’ai regardé Jaja en face de moi un bref instant. J’aimerais qu’il comprenne à quel point je suis sérieux. Qu’il comprenne que je ne partirais jamais, même s’il me jette avec force. Je veux lui ôté le moindre doute là-dessus. Car je sais, je le sens. Il pense que je finirais par partir, il pense qu’avec le temps je vais m’éloigner. C’est faux, terriblement faux. Chaque instant qui passe, me rapproche de lui un peu plus. Et il en sera toujours ainsi. Je me suis donc levé détermina comme jamais. J’ai posé mon genou sur la chaise, appuyant ma main sur la table pour me pencher au maximum vers lui. J’ai posé mon autre main sur sa joue et je suis revenu l’embrassé. Ce n’était rien de comparable au reste. C’était un baisé bien plus adulte, bien plus sérieux. Ouvrant finalement mes lèvres au sienne j’ai laissé ma langue exploré sa bouche. Sentant la chaleur monté en moi, me brûlant les joues, le cou, le cœur. Je brûlais tout entier à son contact. Je n’avais jamais connu ça. J’avais les oreilles qui bourdonnent, mon sang bouillant dans mes veines. Jamais je ne m’étais sentie aussi vivant. Je me suis reculé à bout de souffle et j’ai repris ma place tant bien que mal en reposant mes mains sur la tasse chaude. Bien que je n’ai plus froid.

- Je n’abandonnerais pas. Jamais. Retire-toi cette idée de la tête. Je ne suis pas comme les autres personnes que t’a pu connaître. Je suis bien pire Jakob.

J’ai sourie adorablement. Déterminé. Je l’étais plus que jamais. Je pouvais sentir mon cœur bourdonné d’amour. Jamais je n’aurais pensé embrasser quelqu’un de cette façon. Était-ce mes mimiques lubriques qui me revenaient ? Je ne suis pas sûre qu’il y a un rapport. Je tremblais carrément, l’adrénaline me transcendait. Ma nature prononcer me disait que j’allais mourir quelques centaine de fois pour cet affront. Mais je n’étais plus sûre de savoir qui j’étais. Il me changeait. Il me rendait plus fort, meilleur peut-être ? Plus adulte et surtout plus confiant. Je sais que je sur joue beaucoup dans ma vie de tous les jours. Contrairement à ce qu’on peut croire, je n’ai pas une grande confiance en moi. J’essaye juste de faire les choses justes. Je suis quelqu’un qui regarde de loin, il est rare que je m’implique.

- Je suis quelqu’un qui regarde de loin, il est rare que je m’implique.

Je l’avais dit à voix haute ? Après tout pourquoi pas, c’était vrai après tout. C’est bien pour ça que mo pouvoir me met à rude épreuve à chaque fois. Je ne me vois pas comme un héros. Ils sont trop regardés, trop admiré. Je n’ai jamais prétendus à ça. Sauf depuis Jakob. J’aimerais que son monde tourne autour de moi, qu’il ne voit que moi. Qu’il m’aime jusqu’à m’en faire mourir. Quitte à en payer le prix fort. Oui, j’étais déterminé comme jamais. J’ai à nouveau bu une gorgé de mon chocolat chaud. Souriant presque triste. En suis-je capable ?

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Kobayashi
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Jakob B. Collins
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Ven 5 Mai - 23:22
Chut et danse.Kobayashi & JakobMon monde est quelque chose de dangereux. Quelque chose que personne ne pourrait comprendre, alors je vous éloigne, mais toi tu reviens tout le temps qu'importe ce que je dis ou ce que je fais et je crois que c'est ça ce qui me plait chez toi. (System Of A Down → Aerials)Je voyais bien qu’il ne souhaitait pas vraiment parler de son passé. Je peux le comprendre un peu, je n’allais donc pas m’attarder dessus, après tout ça ne me regarde pas, je ne suis pas ce qu’il pense et il n’est pas ce que je pense. Nous sommes tous les deux des petits mystères sans nom. Je ne vais pas lui dire « dis-moi tout sinon je me casse », ça ne serait pas bien et non logique. Je l’ai regardé. Je ne comprenais pas trop ce qu’il sous-entendait, mais je me disais qu’il n’allait pas bien, il serait prêt à se laisser cassé deux jambes juste par amour ? N’est-il pas un peu idiot celui-là ? Je pense que si, mais pas qu’un peu je dois bien avouer.  Je l’ai observé tout le long de son discours. Son regard, cet air si sombre. Sans doute quelque chose était arrivé ou il est naturellement sombre je ne sais pas vraiment.

« Je comprends. »

Je voulais lui dire que je comprenais. Qu’il n’avait pas besoin de parler de son passé. Que tout irait bien, qu’il n’était pas obligé de parler quoi. Je n’étais pas obligé de tout savoir non plus. Je n’étais pas obligé de savoir ce qu’il avait vécu ou non. Je l’ai vu se lever et j’ai haussé un sourcil pourquoi avait-il un regard si déterminé d’un coup ? Il se passait quoi ? Je l’ai vu se pencher, mais je n’ai pas sourcilier. Je l’ai laissé s’approché, j’ai un peu baissé les yeux pour essayer de voir sa main et j’ai plongé mon regard dans le siens et sans vraiment comprendre ce qui arrivait, j’ai senti qu’il m’embrassait de nouveau. C’était quelque chose de nouveau cette fois-ci. Il n’y avait aucune hésitation dans ce qu’il faisait. C’était un baisé d’adulte et juste d’adulte. Sentir sa langue dans ma bouche… Je n’ai pas osé bouger. Bordel, mais pourquoi je le laissais faire moi ? Je me sentais bouillir encore plus que la normal. J’étais en train de me consumer de l’intérieur, mais ça ne me faisait ni mal ou ni peur, je me sentais juste bien et je ne sais pas pourquoi. Je l’ai regardé pendant une seconde. Pendant une seconde où il s’était reculé.

J’ai réalisé. J’ai enfin réalisé ce qui arrivait et je dois avouer que je n’étais pas particulièrement heureux que ça arrive. J’étais choqué dans un sens. Pourquoi faisait-il tout ça ? Il disait ne pas avoir peur, sûrement qu’il avait vu pire, mais il ne me fera pas croire qu’il n’a pas peur le jour où ça arrivera. Je l’écoutais. Il n’est pas comme toutes les personnes que j’ai connu… Qu’est-ce qu’il en sait ? Il ne me connait pas, il ne peut pas dire ça.  Je me suis levé et je l’ai regardé en soupirant. Il ne comprenait vraiment rien. Il peut être ce qu’il veut, qu’il regarde de loin ou de près, qu’il s’implique ou non ce n’était vraiment pas le souci. Il ne se rend vraiment pas compte dans quoi il se lance, il ne le sait pas et ça m’emmerde, car je l’aime ce nain. Oui je le réalise maintenant et ça m’emmerde profondément !

Il n’avait pas idée de ce que je pouvais faire. De ce que je pouvais encore faire. Je ne peux pas changer, j’en suis incapable. J’ai pris la table et je l’ai balancé. Désolé grand-mère je payerai les dégâts et je me suis foutu par terre comme à l’époque. J’avais juste envie de lui hurler qu’il faisait la plus grosse erreur de sa vie, qu’il était complètement con, mais je n’y arrivais pas. Je ne peux juste pas lui hurler tout ça.

Ce n’est pas grave Jakob. Je ne t’en veux pas. Ce n’est pas ta faute, je t’ai poussé à bout. Tu ne voulais pas faire ça. Je le sais bien. Tu n’es pas comme ça. Tu es quelqu’un de bien. Pardonne-moi.

C’était sans doute ce que je pouvais dire, ce qu’elle m’avait dit et j’y avais toujours cru. Elle m’avait poussé à bout. J’avais craqué, mais je m’étais promis de ne jamais le refaire, je m’étais promis de ne plus jamais faire de mal à quelqu’un de faire fuir tous les gens qui voudraient entrer dans ma vie. Je me suis toujours demandé pourquoi je n’avais pas écouté mes parents avant, je ne sais pas du tout. J’ai soupiré et j’ai reculé un peu. Je l’ai regardé en me relevant.

« Tu ne comprends vraiment rien Kobayashi et ça me déprime et tu n’as même pas idée. Tu peux dire que tu as vu, vécu pire, que tu n’as pas peur, mais tu ne peux pas réellement le dire avant d’avoir vu la chose de tes propres yeux.  Tu sais jusqu’où on peut aller par amour, mais sais-tu jusqu’à où nous pouvons aller par colère ou par haine ? Le sais-tu ? »

Je me suis mordu la lèvre. Il était vrai. Comment pouvait-il dire qu’il n’avait pas peur, comment pouvait-il m’embrasser sans prendre le temps de comprendre la chose, de quel droit il m’avait fait tombé amoureux de lui ? Voulait-il que je me fâche ? Voulait-l me pousser à bout ? Si c’était le cas il commençait bien la chose. Je me suis passé une main sur le visage. J’allais trop loin encore une fois, je lui gâchais sa première sortie entre « ami ». Il n’allait avoir qu’un mauvais souvenir. Un mauvais souvenir, c’est tout ce que je suis concrètement.  Je suis allé chercher la table pour la remettre à sa place en soupirant. J’avais fichu en l’air nos deux chocolats chauds. Je suis allé chercher de quoi nettoyer et en quelques minutes tout était propre de nouveau. Je voulais m’excuser de mon comportement, mais est-ce que je pouvais dire quelque chose après tout ceci ? Non je ne sais pas..

Est-ce que ça serait si mal pour une fois de me laisser aller ? Juste une fois me dire que oui je peux être avec quelqu’un ? Mais n’était-ce pas juste quelqu’un. C’était Kobayashi. Ce n’était pas juste le nain que j’avais rencontré un jour en cours, c’était juste Kobayashi. On ne pourra sans doute pas s’afficher comme il le souhaiterait, mais bon. Je suis allé lui chercher des biscuits puis du chocolat chaud de nouveau et je lui ai tout donné en le regardant un moment.

« Je suis navré. Je suis vraiment désolé de faire tout ça, Tu sais... On ne pourra pas s’afficher devant tout le monde ? Tu ne pourras pas sans doute… faire tout ce que tu veux. »

Peut-être essayer de lui faire comprendre doucement, mais sûrement la chose. Je ne veux pas le mettre dans l’embarras, car il ne sait pas comment se conduire avec moi.  Je me suis passé une main dans le cou, grattant légèrement ma nuque. Puis finalement j’ai pris ma chaise pour la foutre à côté de Kobayashi. Je me suis assis en lui prenant la main et j’ai tourné la tête. On va faire ça comme ça. Je lui ai serré doucement la main et sans ajouté un mot je suis resté comme ça. J’étais un peu gêné.

« Je…Fin.. Tu vois ? »

Non bien sûr que non il ne voyait tu n’es pas un peu con Jakob ? Il faudrait que tu commences à faire des phrases françaises ça ne serait pas mal. Je me suis mordu la lèvre, ne le regardant toujours pas. Je sais que si je le regarde, je me défilerai et je ferai le con en le frappant. C’est toujours comme ça. J’ai pris une grande inspiration et j’ai lâché du coup comme ça comme si de rien n’était :

« Je t’aime. »

Oui, juste ça. Puis je me suis retourné un peu et je lui ai tourné la tête pour qu’il me regarde et j’ai posé ma main sur ses yeux, gardant mon autre main dans la sienne et je suis venu l’embrassé. Comme il l’avait fait tantôt, mais cette fois, il y avait les sentiments, il y avait tout ce qui allait avec. Je sais que si je le regardai ou qu’il me regardait j’allais perdre mes moyens et je ne le voulais pas. Ce contact si doux, mais chaud se finit en quelques secondes et j’ai retiré ma main et j’ai tourné vivement ma tête cette fois-ci encore. Je n’osais réellement pas le regarder et ça me faisait un peu peur au final. Je ne sais pas si ça va fonctionner, je ne sais pas si j’ai fait quelque chose de bien. Je ne sais pas j’espère juste que tout ira bien et que tout se passera bien, qu’il sait ce qu’il fait. Oui je l’espère sincèrement. Pitié.
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Jakob B. Collins
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