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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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Opale De Fëanor
Opale De Fëanor
Opale De Fëanor
Messages : 16
Date d'inscription : 04/06/2017
Dim 4 Juin - 22:36
Opale De Fëanor
ft. France de Hetalia

Âge : 23 ans.
Race : Armadiel
Orientation : Bisexuel.
Métier : Membre de la milice.
Code du réglement. : Validé par le cornu /o/
Caractère

Si je devais me décrire en un mot se serait sans le moindre doute « enfoirée ». Je suis un manipulateur, j’obtiens toujours ce que je veux. Je ne m’attache à personne. Je préfère la compagnie de mes chats, ce sont les seuls en qui j’ai confiance. J’ai un grand respect pour les uniformes et je sais me tenir avec la maturité de mon éducation. Mais j’ai l’âme un peu provocatrice, volontairement. J’admets me cacher derrière tout ça. Mon maître mot étant « dénis ». Sinon, je suis d’un naturelle charmeur, j’aime savoir que je plais. Je suis également un bon cuisinier, amateur de fleur et de bon livre. J’aime les beaux vêtements et la prestance des bonnes lignées. Je ne suis pas très famille, sauf ma grande sœur que j’affectionne tout particulièrement. Pour être ami ou proche avec moi, il faut savoir accepter mes sales manies il faut dire. Je suis capricieux à mes heures et d’un caractère sans nom. J’aime obtenir ma vengeance et je peux me montrer pas mal violent. J’ai pourtant beaucoup de proche en apparence, je sais en effet jouer de mes charmes. Je vous l’ai dit, un vrai FDP. Je ne crois plus en l’amour, ni les sentiments de manières général de toute façon. Mes « amis » peuvent donc bien mourir que ça met totalement égal. De manière plus large, je sourire très souvent, même rarement de façon sincère. Je sais quel comportement adopté pour plaire assez facilement. Et j’aime ce qui sort du lot. Taquin, sournois, manipulateur, égoïste, jaloux. Je ne suis vraiment pas quelqu’un de bien. Pourtant rare sont ceux qui peuvent me résister.

Physique

Physiquement, je suis quelqu’un de très apprécier. Ma race aidant à mon charme naturel. J’ai un corps parfaitement proportionné avec des abdos bien dessiné. J’ai une longue chevelure d’un blond parfait que j’attache la plupart du temps d’un ruban. Je m’habille souvent de chemise ample ou de soi, j’aime les belles choses. Je garde une barbe de trois jours la plupart du temps, bien taillé en collier. J’ai des yeux d’un bleu profond, des doigts fins, une peau froide et dur. Que dire de plus ? Je mesure un mètre septante, j’ai encore toute mes dents et j’ai un très jolie sourire. Je suis plutôt gracieux dans mes gestes, me tiens toujours parfaitement droit. L’uniforme me va très bien, c’est presqu’une seconde peau pour moi. J’aime les manteaux amples bien coupé et je m’habille en général avec des couleurs proches du crème, noir, bleu azure parfois encore. Je ne fais pas mal de sport pour évacuer ma colère et je porte rarement des chaussures. Simplement parce que je n’aime pas le contacte des chaussettes.


Pouvoir du personnage

Il est capable de faire apparaître des armes blanches, toujours avec une lame noire. Elles s’évaporent aussitôt que sa concentration retombe. Il est très dépendant de ces humeurs pour utiliser ce pouvoir et bien souvent, il ne se contrôle pas très bien. Il a la peau composée à 20% de titane et est donc un peu plus dur que la norme et semble toujours avoir froid.


Histoire

Opale De Fëanor. Mes parents ont toujours eu des goûts de luxe, que ce soit pour leurs mobiliés, leurs habits ou les prénoms de leurs enfants. Ainsi je fus nommé opale, comme cette magnifique pierre de feu qui rappelle la couleur de mes cheveux. Si vous ne l’aviez pas déduit, je viens d’une famille fort haut placer. Ancien noble d’un temps oublié, nous avons gardé le « de » témoignant dans notre nom. Venant d’une famille très noble, j’ai ainsi bénéficier d’une enfance des plus « parfaites ». Que ce soit les cours privées, les leçons de maintiens, l’avenir tout tracé ou même les bonnes manières. J’ai eu droit à la crème des disciplines pour me forgé en tant qu’homme de bien. Et pourtant. Les belles paroles, beaux habits et autre hâblerie ne cacheront guère longtemps ma vraie nature. En un mot, je suis un enfoiré. Et pas des moindre.

Mon père est un Baron et ma mère une Duchesse. Je vous laisse donc apprécier le débordement d’amour familiale là-dedans. J’ai plus connus mes précepteurs que mes parents. Mais cela m’est tout à fait égal dans le font. Ils sont aussi vides que leurs raisons. Pas un gramme d’amour ne brille en eux. Ils ne sont qu’une image de maintient parfait. Ils me dégoutent. Je voudrais brisé à tout jamais leur petite image trop parfaite. Et cette rage m’anime depuis ma tendre enfance. Quand les seules paroles qui m’adressèrent étaient « Tiens-toi droit » ; « Tu seras la relève du fleuron familiale » ; « On attends beaucoup de toi ». Enfant déjà, je savais que je n’étais pas comme tout le monde. Même autours de moi, je pouvais le sentir. Ma sœur était quelqu’un de bien, très affectueuse, très bien dans ces bottes. L’enfant parfaite, irréprochable. Moi je voulais détruire tout ce qui m’entourent. Voir le monde en sang, se réduire en poussière jusqu’à ce que plus rien ne compte. D’où me vient cette colère ? Je suis sans doute né avec, mais je sais ce qui l’a animé pendant des années. Avec le temps, j’ai appris à devenir une image toute jolie. J’étais aux yeux de beaucoup, le chérubin de la famille. Je pouvais ainsi obtenir tout ce que je voulais. Il me suffisait d’un sourire, d’un regard, de quelques belles paroles. J’étais devenus un manipulateur hors pair avec les années.

L’adolescence, me fit plus tendre que pour beaucoup. A présent, bien bâtis, je passais le plus clair de mon temps à faire le mur pour courir les bars et courtisé. J’aimais voir l’étincelle s’animé dans les yeux des gens en face de moi. Que ce soit homme ou femme, le jeu n’en était que plus beau. Je les laissais tomber en amour pour moi, j’obtenais tout ce que je voulais et je partais simplement, en les laissé dévasté. Je n’avais aucun cœur, aucun ne ressentit. J’étais plus froid que le marbre. Mais l’adage ne dit-elle pas que quand on joue avec le feu on se brûle ? Je venais d’avoir dix-huit ans. J’étais plus beau que jamais, jouant indéfiniment des regards, je continuais de me balader aux clairs de lune. Ma sœur couvrait mes sorties depuis déjà quelques années, sans grande contrepartie. Elle savait peut-être qu’il ne servait à rien de m’arrêter. J’étais déjà trop habituer à recevoir tout ce que je voulais. Comme l’enfant roi que j’avais été. J’avais décidé de fêter au mieux mon entré dans l’âge adulte ce soir-là. Je savais déjà que le lendemain me serait pénible. Avec toute ces nouvelles responsabilités, ces nouveaux dictes de maintiens. Je voulais oublier tout ça dans l’alcool pour ce soir. De mes nombreux vices, j’avais également la cigarette qui ne me quittait jamais bien longtemps une fois loin des regards.

Je passais de bar en bar, laissant les damoiseaux me payer des verres. Riant aux éclats, bien que faussement, jouant de mes charmes. J’étais dans l’excès de confiance et ma prudence habituelle tombait. J’avais rencontré ce jeune garçon fort généreux. Grand, bien bâti, Armadiel. Un visage plus que parfait et une voix d’une douceur extrême. Avec lui je semblais différent, jouant habituellement, j’étais plus sérieux. Je me sentais bien. Il était d’un amour débordant c’était troublant. J’avais passé le reste de la nuit avec lui, parcourant les rues, jusqu’à ce que ma dernière once de bonne fois tombe. Me laissant embrassé, collé aux murs humides d’une des ruelles environnantes. J’ai soudaine sentit ma tête vibrée. J’avais un goût acre en bouche. J’ai à peine eu le temps de comprendre, essayant au mieux de me tirer de cette situation au profil sombre, mais déjà j’avais basculé dans l’inconscience, ne lâchant qu’un bref connard avant de tombé. Je me suis réveillé avec les premières lueur du matin. J’étais assis par terre dans une rue reculé de la ville. Ma tête me faisait un mal de chien. Y portant les mains, j’ai réalisé la soudaine lourdeur de mes bras. Examinant mon corps de plus près, je ne pus constater que deux choses. La première était que je ne serais plus jamais innocent. Et la deuxième que je n’étais plus humain.

Les yeux ronds, je pouvais voir mes muscles ce profilé plus clairement qu’avant. Posant les mains sur mon visage, puis sur mon cou, j’ai remarqué quelques marques sans plus. La colère me brûlait les veines. J’avais été le pire des idiots inconscient. Je m’en voulais tellement. Me relevant avec peine, j’ai tapé mon poing dans le mur. Quel fut ma surprise, dans ce ne fut pas ma phalange, mais bien une lame d’un noir mâte magnifique, qui se planta dans la pierre. J’ai battus des cils perplexes, extirpant la dite lame pour la regardé. D’où venait-elle ? A peine, cette question me vint à l’esprit qu’elle s’évapora, comme de la fumée. Je suis resté de marbre, pendant bien une minute. Sans bouger, simplement perplexe. Armadiel. C’était une évidence. J’ai soudainement pris conscience de l’heure. Mes parents devaient m’attendre, je devais prendre mes responsabilités aujourd’hui. Pourtant la honte aux joues, je m’avouais incapable d’y aller. S’ils me voyaient, on comprenait de suite ce qui m’étais arrivé cette nuit. Et mon ego, m’interdisait de leurs faire cette faveur. Je préférais rester dans le déni pour l’instant. J’ai commencé à marcher sans vraiment savoir où j’allais, quand je me suis cogné à un homme assez grand et très poilus aux niveaux du visage. J’ai reculé d’un pas, réalisant par son uniforme qu’il devait faire partie de la milice.

Je me rappelle avoir détourner les yeux, le rouge aux joues, honteux de ma situation. Mais il n’en fit jamais rien. Il m’avait simplement accompagné histoire de mangé quelques choses, j’étais plus que méfiant. Pourtant quand j’ai vu ce gamin d’une beauté flagrante le rejoindre pour lui tenir un sermon de tous les diables. J’avoue avoir ris sans réel raison, évacuant simplement mon anxiété et ma frustration. En y repensant, je me demande encore comment ils ont fait pour ne pas me croire fou et m’accepté tout simplement. Encore aujourd’hui, je leurs dois beaucoup. Ce sont devenus des amis en quelques sort. Palliant ainsi mon manque affectif par d’autre moyen que l’alcool et la mal compagnie. J’avoue n’être jamais sorti de mes sales habitudes restant. Je suis toujours un manipulateur horrible et sans cœur. Un vrai FDP bien dans les règles. Je ne crois ni en l’amour, ni en rien. J’admirent d’ailleurs ces garçons de ne pas m’avoir explosé le visage après mes nombreux sales coups. Aller comprendre. Hiromi, le milicien, m’avait tiré avec lui dans le métier, me permettant ainsi de prendre mon indépendance assez vite et de quitté ma maison familiale. Non, sans une rémunération dorée que je dois toujours à mon nom. Mes parents, n’ont jamais rien remarqué et ma sœur n’en a jamais rien dit. Je reste proche d’elle malgré tout. Elle est mon petit rayon de soleil.


Afin de gardé les éloges de mon nom et de me démontré leurs approbations pour mon choix de métier. Mes géniteurs m’avaient fait cadeau d’un des plus beaux plein pied de la ville. Dans le quartier Nord, spacieux, élégant, décoré avec une pureté. J’avais vite fait de réglé tout ça. Je suis plus du genre à délégué toute les tâches à mon majordome, que je me trimballe depuis quelque année déjà. Je vivais ainsi ma petite vie bien tranquille. Jusqu’au soir fatidique. Je devais effectuer une tournée habituelle, plus pour dissuader que réellement sévir. Notre simple présence suffisait généralement à faire partir les racailles de bassesse. J’étais donc assez serein, marchant tranquillement, les mains fourrées dans les poches de mon uniforme, quand une voix familière m’appela par mon prénom. Je me rappelle que le premier sentiment que j’ai ressenti en voyant son visage fut la peur, suivit du dégout et finalement d’une colère sans nom. Cet homme avait souillé tout ce que j’étais et je me devais de lui faire payer. C’est ce soir-là que j’ai appris que mon pouvoir dépendant grandement de mon humeur. Heureusement, j’ai un nom connu et l’influence familiale m’a empêché le plus gros des ennuis qui a suivi le petit accident. J’avais en effet obtenu vengeance, avec les intérêts. Depuis ce jour, je n’ai plus vraiment peur des autres gens. Mais disons que je suis devenu un peu plus renfermé. J’aime beaucoup sortir le soir pour voir la lune et pleurer. Je sais que ça peut paraître étrange, je pleure sans qu’il y ai vraiment une raison. Ça me soulage tout simplement.

Un peu de vous

PUF : Emery / Angel / Kellypédia
Prénom : Patate moustachue
Âge : 20 balais les gars.
Un peu plus de vous : Je repeuple le monde, chercher pas.

Opale De Fëanor
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April Hawkins
Humain
April Hawkins
April Hawkins
Messages : 84
Date d'inscription : 29/01/2017
Autres comptes : William O'CAHAN, Conrad COOPER, Ethan WALKER, Nikolas WOODS, Jakob B. COLLINS.
Humain
Dim 4 Juin - 22:40

 
• Bravo tu es validé(e) ! •

 Opale De Fëanor Z1n9
 

 
Kobayashi


Coucou !

J'ai lu ta fiche complètement !
Tout est ok donc tu es validé.~

Je te souhaite un bon séjour parmi nous et amuse toi bien !

N'oublie pas les recensements qui sont juste ici  => https://exp-darwin.forumgratuit.fr/f24-grand-registre

Pis la demande de rp si tu veux un ami de rp ! Puis ta demande de logement aussi pour ne pas vivre dans la rue !=> https://exp-darwin.forumgratuit.fr/f27-les-demandes
 

 (c) code de Mîm
April Hawkins
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