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Mar 18 Avr - 18:31
COLLINS Jakob
Kobayashi Le nain
Grouille toi le nain.
Un ange frappe à ma porte qu’une chanson dit. Bah moi je dis que la poisse frappe à ma porte. Je ne sais pas ce qui lui prend, je ne sais vraiment pas, mais bordel de merde d’où il me saute dessus comme ça, comme si tout était normal puis il me gueulait dessus. Je sais qu’il vient de me sauver la vie, mais putain il se prend pour qui ce nain ? Il pense qu’il peut gueuler comme ça, alors que si on tombait deux centimètres à côté je me serai pris les tournevis dans le dos et autant vous dire que ce n’était pas mon délire de me blesser maintenant. Je me suis assis en secouant mes cheveux et mes habits et j’ai soupiré. Je me demande ce qui lui a pris de crier ainsi. En plus de dire des choses insensées. J’allais dire quelque chose quand mon ami en question débarqua au calme devant moi en s’excusant. En me disant que cette salle était en travaux. Qu’elle était donc dangereuse, il était sérieux là. Je me suis levé et je lui ai foutu le coup de boule du siècle. Il me regarda choqué en voulant me taper, mais la seule chose qu’il ait réussi à faire c’était de se prendre le mur. Ouais deux vimentel ça ne fait pas l’affaire. Tandis qu’il était encore sonné j’ai regardé Kobayashi, très méchamment.
« Ok, alors toi soit tu es bête soit….tu es bête. Je devrai te filer des baffes pour parler ainsi, la politesse tu ne connais pas ? »
Je ne suis que professeur bénévole je pourrai partir comme bon me semble, mais si je le faisais mon pote allait être dans la merde la plus total. Je ne sais pas ce qui était le mieux le foutre dans la merde et reprendre ma vie tranquillement ou si je devais ne pas le foutre dans la merde et du coup supporté ces cons de mannequins. Je me demande bien pourquoi je fais le gentil maintenant ce n’est pas comme si je perdais quelque chose moi, au pire son amitié, mais ce n’est pas comme si je voulais garder des amis moi, je ne sais même pas si après ça il va vouloir me payer une glace, cependant ce n’était pas le moment de se poser des questions sur ce qu’il allait faire ou non. Il se releva et me regarda comme s’il me jugeait du regard. Il regarda en suite Kobayashi et il me hurla d’être sympathique avec les mannequins, car bon c’était un peu le gagne pain de l’agence.
« Mais oui, mais oui cause toujours, tu me connais. J’suis doux comme un agneau. »
Il pouffa comme un débile avant de repartir. J’ai regardé les files et le truc par terre et je me suis passé une main dans les cheveux. Bon maintenant plus rien n’allait tomber, donc j’ai tout nettoyé une nouvelle fois. Déplacent doucement les choses puis j’ai fait un brin de nettoyage rapidos. Je me suis mis à fixer Kobayashi. Je ne sais pas si je dois lui pardonner ou si je dois juste lui hurler dessus, mais si je hurle trop on va encore m’engueuler. Je me suis passé une main dans le cou et j’ai pris mon air hyper sérieux. Bon je suis allé fermer la porte et j’ai tapé dans mes mains.
« Bon assez de repos. On va se magner de faire les choses comme il se doit. Nous avons encore deux séries de pompes à faire donc en place tout de suite. Je me fiche que tu ais mal ou non, ce ne sont pas mes affaires tu te bouges et puis c’est tout tu iras te plaindre plus tard à tes petits copains mannequins que je suis un connard si tu le souhaites, mais là maintenant hein je veux qu’on avance dans cette putain de séance. »
Ouais non, mais attendez je dois aller chercher ma fille moi après si je suis en retard elle va faire la tête et sa mère allait me dire que je ne tiens pas mes promesses, allons bon. Ce n’était pas le moment de faire des conneries. Ma fille est aussi chiante que moi je dois bien l’admettre. J’ai souris un bref instant en y pensant, elle serait même plus douée que ce Kobayashi je suis sûr, mais bon je ne vais pas lui demander de faire des pompes. Non ce n’est pas digne d’un papa ça, on jouera à la guerre comme d’habitude. Je me suis massé les tempes, mais bon je dois me concentrer sur ce blond, ma fille ne va pas m’aider.
« Bon encore deux séries de douze du coup. Puis on passera au abdos. Pitié dis-moi au moins que tu sais comment faire des abdos parce que là… Je ne juge pas, mais il y a une limite à l’ignorance Kobayashi. »
Je me suis assis sur une table qui trainait et j’ai regardé mon téléphone, bah tiens mon « ex-femme » me parlait, elle me voulait quoi celle-ci ? Ah non ce n’est pas le moment de me prendre la tête avec elle. J’ai juste laissé mon portable tomber dans mon sac le laissant sonné encore et encore sans jamais y répondre je ne joue pas à ça. J’ai balancé mes jambes et j’ai croisé les bras.
« Et merci de m’avoir sauvé la vie, mais ne me parle plus jamais aussi mal ok ? Nous ne sommes pas potes et je ne supporte pas les gens qui prennent trop la confiance pour engueuler les gens, tu as de la chance aujourdְ’hui d’habitude je ne suis pas aussi gentil. Tu aurais fini à l’hôpital. Ce n’est pas une menace hein, juste te dire que voilà. »
Mais Pampidou mon chou wesh tu danses pourquoi dis-je une telle chose ? Genre je le préviens que je suis gentil avec lui oklm. Non, mais en plus depuis quand je remercie quelqu’un ? D’habitude je me casse… Oh bah ouais, je dois être de bonne humeur aujourd’hui. C’est sans doute ça oui. Je ne vois que ça de toute façon. Mouais.
Jakob B. Collins
Kobayashi
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Mer 26 Avr - 19:24
「Politesse, fut l'adage des rois.」
Jakob & Kobayashi
J’étais comme pris dans le berceau d’un flot de colère immense. J’étais las des bonnes actions qui n’ont jamais de retombé charitable envers moi. Ne venais-je pas de lui sauver la vie ? Non sans l’avoir vu s’éteindre dans un bouillon d’organe bien rouge ? La nausée me prenait rien qu’à ce souvenir imagé. Son regard des plus inquisiteurs ne fut en rien accompagné par ces mots. En effet un homme racé de même que lui entra dans la pièce déjà chargé d’éclair coléreux. La poussière étaient retombé au sol ne témoignant que peu des évènements survenus. Ses mots finirent par ce faire entendre et sa question de politesse me colla un air fort peu agréable sur le visage. Il parlait de politesse ? Lui qui me juge largement sans prendre en compte la teneur de mes actes ? J’avais encore le souffle court dû à mon effort fournis. Si sa mort n’était pas une boucle de certitude, j’aurais mieux fit de le laissé mourir, mais pareil spectacle mais fort désagréable, je l’admets au-delà des émois de l’instant. Les hauts de leurs disputes m’indifféraient, je tentais seulement de me relever, genoux endoloris et de dépoussiérer mes habits. Les cheveux en bataille mes mains menaient la quête de rendre le tout plus présentable. Il n’était en rien digne de mon blase, d’ainsi me présenter. J’étais plus que las.
A nouveau seul, j’ai croisé les bras tandis qu’il prenait sur lui de rendre à nouveau la pièce présentable. L’écho de ses retombés me vrillait les tympans. J’avais le ventre noué du spectacle dont mes yeux c’était repus plutôt, ou devrais-je dire, plus tard ? C’était contraignant, je me frottais les tempes. J’essayais vainement de faire fit de toute émotions, laissant coulé en mot le flot de rage que j’avais ravalé en l’instant. Calme, je devais me tenir au plus calme. N’est-il donc pas Vimentel ? Ma conscience me pousse que si, leur parler d’égal en confirme les teneurs. Je n’aime pas ça, je sais les rumeurs qui courent à leur sujet et il ne me dit en rien de mesurer leurs véracités. Il c’était excuser auprès de son égal, eu-je donc pu espérer un quelconque mot de remercîment ? C’était la seul certitude capable de calmé la rage en moi. Il ferma finalement la porte et frappa dans ces mains, comme pour mettre fin à l’instant. J’ai relevé les yeux, bras toujours croisé, un air mauvais graver sur mon visage, dont je ne pouvais me défaire. Une seule chose tournait en moi.
Ces mots me collèrent sur place l’espace d’une seconde. Je pouvais sentir la bête noire de rage gronder en moi. Je suis une personne des plus calmes, d’un naturel plutôt obéissant, voir soumis. Je ne pousse jamais à l’extrême mes mauvais côté. Mais l’instant me vrille. J’ai grogné, purement de façon bestiale. Ce qui ne me ressemble vraiment en rien. Chacun de ces mots poussait la rage en moi, si bien qu’il eut pu me remercier maintenant que ça n’aurait plus aucun effet. J’ai serré le poing, mordant sur mes principes, pas question que je pique une crise devant un air aussi abjecte ! J’en venais à me demander le plus sincèrement, comment un sentiment envieux avait pu me traverser. Certes son corps semblait taillé dans une pierre des plus pures, certes sont regard et ses brèves sourires mettent en émois chaque cellules de ma personne et certes encore, j’avoue aimer le velours de sa voix rauque, mais en l’instant il n’était plus question de rien ! Les sonneries tonitruantes de son portable et son air déconfit ne firent qu’augmenter ma haine, déjà fort près de son apogée. En un mot simple : Il m’agace ! Fussent-ils été l’objet de ma convoitise ! Ces mots me brisèrent.
- Non, mais le foutage de gueule quoi ! T’es sérieux avec ton air faussement supérieur ? Tu crois que ça m’éclates de venir te sauvé ? Tu crois que j’ai choisi ça, si te voir éclater en lambeau n’était pas aussi ragoutant, je t’aurais laissé crever du con ! Sérieux un merci pareil, autant me dire merde en face ! Tu pourrais au moins t’excuser, je suis fautif de rien moi dans l’histoire ! En plus tu viens de me faire piquer un sprint de tous les diables, je sens plus mes jambes. Puis merde, j’en ai rien à foutre que mon colloc’ ou même mon agent m’engueule, j’en ai ras le cul d’avoir à me faire traiter pire qu’un chien à longueur de journée ! T’es bien le PREMIER à me traiter comme ça en me devant la vie, débile !
S’il a femme et enfants chez lui, qu’ils sachent que ma pitié les accompagne, j’ai sauvé un monstre aujourd’hui. Je tapais du pied, poing fermement visé sur mes flancs en priant à cœur ouvert que l’image de lui n’apparaisse pas trop enfantine, bien que ma crise en soit clairement le fruit. Je sais que j’agis en enfant capricieux, c’est à force et usage d’avoir été traité comme tel ! De toute façon, ces menaces m’étaient bien égales, j’ai plus de dent qu’il n’en faut et je n’ai jamais eu la trempe à me laisser mal mener. Bien que l’idée de lui faire le quelconque mal, même en l’instant, ne m’étais vraiment pas agréable. Ainsi, voulant éviter le pire, j’ai pris direction de la porte et laissant, mon faible muscle s’y accrocher, j’eusse bon tiré rien ne fit. J’ai fixé un œil étrange sur la poigné, tirant encore. Mais aucun de mes geste ne sembla faire bouger la bâtisse et de colère j’ai assaillis mon pied dedans, ce qui n’eut pour effet que de me l’endolorie. J’ai pesté en me baissant pour me frotte la jambe. La vérité me narguait.
- Fort bien, le destin ce joue encore de moi semble-t-il.
S’en était presque risible et un sourire des plus narquois, toujours brisé par la colère ce figea sur mon visage, tandis que toujours baissé j’entreprenais de rendre mon pied moins douloureux. J’étais nerveux, l’idée d’être enfermé m’était plus qu’insupportable, me ramenant à une réalité trop lointaine. Le souffle court, j’ai baissé la tête presque honteux de mes propres faiblesses. Pourquoi, fallait-il que je sois coincé avec un être dénué de toute émotion si ce n’est la rage ?
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Jeu 27 Avr - 1:28
Grouille toi le nain.Kobayashi & JakobSi tu pouvais disparaitre le ferais-tu ? Si tu devais ne jamais revenir est-ce que tu partirais sans te retourner ? (System Of A Down → Aerials)Non ? Il avait vraiment osé ? J‘étais donc bien tombé sur un gosse et tout simplement un gosse ? Je ne pensais pas qu’un jour j’allais dire une telle chose, mais là je ne peux pas le dire autrement j’étais tombé sur un enfant, mais totalement. Même ma fille était moins gamine et elle n’a que six ans quoi, ça craint je dois l’admettre. Je ne lui ai jamais demandé de me sauver la vie après tout. Je ne lui ai jamais demandé de faire une telle chose, alors pourquoi il fait le con comme ça ? Il veut se donner un genre ? Je me demande bien pourquoi je me coltine quelqu’un comme ça dans ma vie comme si je n’avais pas assez d’ennuis comme ça je ne sais pas comment je peux me laisser parler sur ce ton, je ne sais même pas pourquoi MOI je suis resté de base, je peux partir quand je veux. Putain tout ça pour un ami quoi, je crains du boudin je ne veux pas rester !
Cependant quelque chose attira mon attention, c’était le fait que la porte ne s’ouvre pas. Oulà, non non. Je ne veux pas ! Il est faible certes mais pas au point de ne pas ouvrir une porte, je me suis approché doucement de la porte et j’ai tiré doucement, elle était bien coincée si je tire trop ça peut causer des dégâts et je ne souhaitai pas ça. Je me demande bien comment je pouvais faire pour nous faire sortir. J’ai croisé les bras et même s’il semblait avoir mal je m’en foutais juste royalement.
« Est-ce que je t’ai demandé quelque chose ? Non donc arrête de prendre tes grands airs ça ne marche pas avec moi. »
Pourquoi personne ne prévient du caractère que j’ai hein ? Je dois toujours tout faire à la place des autres, c’est juste chiant bordel. Je me suis passé une main dans mes cheveux et je me suis assis par terre réfléchissant. Tout le monde pense que c’est simple d’être prof, d’aider, être père, avoir une femme. Cependant non rien n’est simple. Je me demande toujours pourquoi il me sort tout ça ce n’était sans doute pas une chose facile à dire, mais il l’avait fait donc sans doute était-ce une chose aisée de dire des méchancetés sans qu’on pense aux conséquences. J’ai tout simplement secoué la tête, il était bien idiot s’il pensait une telle chose et moi j’étais bien idiot de croire qu’il pourrait être plus intelligent. Parfois ma gentillesse me perdra. Je ne sais même pas comment réagir face à tant de connerie et ça m’exaspère plus qu’autre chose je dois bien l’avouer, j’étais même choqué de son comportement plus que stupide. S’il pense s’en sortir comme ça il se trompe. Il s’en fout de se faire engueuler ? Très bien, mais il se fera vraiment engueuler de façon violente je tiens à le dire. Oui oui je peux être un vrai connard.
« Tu penses que tu peux jouer au malin et partir comme une diva juste parce que tu es un mannequin ? Qui est-ce qui se prend pour un gars supérieur actuellement à part toi bien entendu ? Ah bah mince.. Oui il n’y a que toi. Tu penses que ça m’amuse de faire cours à des mannequins qui se pensent supérieur aux autres ? Je fais ça gratuitement en plus, je ne suis pas payé, donc je pourrais partir si je le souhaitais, mais bon j’ai comme principe de ne jamais abandonner un élève, mais est-ce que je devrai le faire avec toi ? Je pense que oui vu que tu t’en fous toi. »
Il était vrai. Il pensait que je prenais un air supérieur, alors que pas du tout. Le seul qui se prenait pour un être supérieur c’était juste lui. Mal parler, se faire passer pour quelqu’un d’important, car on lui doit la vie. Il se prend pour Dieu ? Très bien que grand bien lui fasse. Je me suis levé et je suis venu vers lui en m’accroupissant et je lui ai foutu une gifle. Une gifle qu’on donne aux gosses. Il ne veut pas qu’on le traite comme un enfant, mais il agit comme tel, donc une claque qu’on donne à un gosse une fois dans sa vie pourrait lui être utile. J’ai soupiré tout simplement, il s’était fait mal en plus ce con à vouloir faire le grand, alors qu’il était juste débile. Je ne le supporte vraiment pas dire que tantôt je le complimentais bah bordel je regrette amèrement pour le coup. J’ai posé ma main sur la porte, je n’entendais personne dans le couloir, nous étions seuls, c’était cool non ? Ça aurait pu être cool si je n’étais pas avec un idiot dans la salle. Mais bon hein le destin me fait bien comprendre que je ne suis pas fait pour rester avec des personnes cool dans ma vie, j’aurai limite préférée rester avec le truc qui me servait de femme ça aurait été vachement plus pratique. Moins contraignement même. Je lui ai pris ses poignets et je l’ai secoué un petit peu le regardant avec une certaine colère. Il se prenait pour qui sérieusement ? Il me saoulait tellement je ne supportais pas qu’on m’emmerde comme ça, j’avais un problème de colère je le savais très bien. Je lui serrais tellement fort que j’avais presque eu peur pendant une seconde de lui casser les poignets.
« Si tu penses que j’allais céder à ton putain de caprice sache que ce n’est pas le cas. Si tu penses que tu peux mal me parler juste parce que tu te prends un excès de confiance sache que ça ne marche pas non plus. Je ne suis pas le prof préféré ici comme tu auras pu le constater, je ne suis pas là pour faire ami-ami avec mes élèves. Si j’voulais vous frapper j’pourrai tranquille sans même qu’on vienne m’emmerder, car les gens ne veulent pas me provoquer. C’est ça que tu cherches ? Que je m’énerve ? Comme ça tu pourras faire ta putain de victime auprès des autres ? »
Je lui ai lâché ses poignets assez rapidement après ça. Non, mais je pourrais le cramer le nain si je le voulais moi ! Je n’en avais rien à foutre, mais alors totalement quoi. Le feu… Mais suis-je bête ? Bien sûr le feu ! Bordel je suis un génie parfois. Bon est-ce qu’il y a une alarme incendie dans le coin ? Ouais. Je me suis approché de ce dernier. Mais il était bien haut. J’ai soupiré et j’ai déployé mes ailes rapidement pour monter en haut du plafond. Ils faisaient des plafonds haut dans cette boite pourquoi ! Puis j’ai fixé le truc et j’ai utilisé mon pouvoir.
Le feu. Une chose qui détruit tout haha.
Je l’ai mis au-dessus de l’alarme incendie et pouf l’alarme s’est allumé. Je suis redescendu assez rapidement pour pas me prendre les jets d’eau dans le visage et j’ai replié mes ailes et pouf on dirait que j’étais un presque humain et j’ai pris Kobayashi dans mes bras comme une princesse après avoir pris mes affaires bien entendu. Puis j’ai donné un gros coup de pied dans la porte en soupirant. Bordel je ne voulais rien casser, mais on va dire état d’urgence. Je voyais tout le monde courir de partir et moi trempé avec Kobayashi, je marchais tranquillement. Mon ami était revenu vers moi assez rapidement et quand il comprit que la chose venait de moi il leva les yeux au ciel et parti. Sans doute pour calmer tout le monde. Bon moi je dois trouver une infirmerie.
« Bon fais pas l’con hurle pas, j’t’emmène te faire soigner, mais sache que dans ma tête je t’ai tué quarante-cinq fois. Quarante-cinq manières différentes juste parce que tu m’emmerdes. »
Oui oui je peux faire des choses, mais jamais en étant gentil. J’ai soupiré. Tout était vide. Infirmerie fermée aujourd’hui tiens. Une infirmerie qui n’ouvre pas tous les jours, c’est chelou ça. Je l’ai balancé limite sur le premier lit que j’ai trouvé et je suis partie à la recherche de bandage et de serviettes. Une fois fait je suis revenu vers lui. J’ai tiré une chaise et je lui ai lancé une serviette sur la gueule. Puis j’ai fixé ses poignets bien rouges. Bordel j’allais avoir des problèmes moi je crois si on apprend que j’ai presque briser les poignets d’un mannequin. Puis j’ai enlevé les chaussures de Kobayashi. Ce gars sérieusement. J’ai passé de la crème sur son pied doucement et j’ai mis un bandage autour. Ce n’était certainement rien, mais juste au cas où.
« Fais gaffe la prochaine fois. »
Je suis venu voir ses poignets et je les ai massés doucement. Ma mère me faisait souvent ça quand je me faisais mal. Elle massait tout doucement l’endroit. Ce n’était pas pour faire un truc de gosse. Elle me le fait encore. Je vous laisse imaginer la chose. D’une main je lui ai bien fait glissé la serviette sur la tronche tandis que moi je me laissais mouillé comme un chien. Je continuais à lui masser doucement un poignet. J’agis trop avec impulsion, il faut que je fasse gaffe.
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Jeu 27 Avr - 2:15
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Jakob & Kobayashi
Je n’aimais pas l’idée d’être enfermé, j’avais l’impression douce et suave qu’on m’étouffait à petit feu, comme si la terre me recouvrait jusqu’à m’ensevelir vivant, déjà l’air me manquait dans ma panique naissante, je devais me calmé. La douleur de mon pied me torde les traits, j’avais été impulsif et idiot, et j’admets maintenant que j’avais simplement eu très peur. J’ai eu peur de ne pas voir ce papillon de lumière bleu brillé au coin de mon regard, j’ai eu peur à la vue massif du sang qui se rependant amèrement sur le sol, j’ai eu peur car le vu d’un corps me laisse toujours un gout aigre et bien trop familier rouler sur ma langue. Ma vue se brouillait, j’ai chassé l’image de mon crane, essayant vainement de ne pas entendre les mots durs que Jakob pouvait m’envoyer. Je sentais sa colère comme s’il elle fut mienne. J’ai baissé les yeux, je n’aimais pas l’image qu’il me renvoyait de ma personne. Je n’ai au grand jamais prétendus valoir mieux qu’un autre ! Je n’aimais pas qu’il pense que je m’en foutais de ces efforts, pourquoi j’en aurais fait sinon ? J’ai posé mes mains sur mes oreilles, comme pour en étouffer les sons. Il venait de s’agenouillé devant moi et une panique immense m’envahis quand il me gifla.
La douleur cuisant ma joue, je suis resté l’œil béant sans comprendre. C’était la symbolique plus que le geste qui me choquait. Il m’avait giflé comme un gifle un gosse. Mes parents n’ont jamais pris cette peine avec moi, déjà ma main rencontra la chaleur de ma joue. J’ai levé les yeux vers lui. Pourquoi ? Était-ce de la simple colère ? Je n’arrivais pas à former une pensé cohérente en moi. Déjà il était revenu face à moi, mais aucun geste de pu trahir mes pensé. Je n’avais pas peur, ça peut paraître étrange, je sais. Il me prit les poignets avec force, j’eusse cru qu’il me les brisé et ma voix ne porta qu’un faible son quand il me secoua avec rage, je n’osais plus bouger, ni parler. J’osais à peine respiré. J’ai à nouveau baissé mon regard au plus bas. La honte m’envahis doucement. Jamais, au grand jamais je n’aurais été me plaindre auprès d’un autre. Je ne l’avais jamais fait, j’étais plus calme dans ma douce solitude qu’auprès des autres. Pourquoi aurais-je voulais passer pour une victime, alors que c’est un statut que je fuis activement. J’avais mal au cœur qu’il pense ça, je ne voulais pas qu’il pense ça de moi ! Je me suis mordu la lèvre pour ne pas parler, j’allais attiser sa colère et rien de bon n’en serait ressorti.
J’ai plaqué mes poignets contre ma poitrine doucement. Ils me tiraient, mais je ne pense pas qu’ils soient brisés. J’étais simplement rouge, ça ne semblait pas gonflé. Il déploya soudainement ces ailes et l’image me laissa sur place. Un ange, on eût vraiment dire un ange, bordé dans les flammes si dur de son caractère. C’était quand si se jet de feu expiait la rage qu’il portait. J’étais soufflé par cette simple vision. Pourquoi faut-il que je le trouve si beau ? J’ai sentis le rouge me monté aux joues et j’ai à nouveau baissé les yeux accueillant ainsi les trompes d’eau glacer sur ma peau. Mes poignets les en remerciaient car leur froideur était une vraie bénédiction qui sembla calmer les pulsations douloureuses. Je n’ai pas dit un mot quand il me pêcha tel un prince, je sentais le poids de son corps contre moi, je pouvais entendre le battement crépitant de son cœur. J’ai à nouveau rougis, cachant mon regard aux siens. Ces mots me paraissaient plus doux, mais je refusais d’en apprendre les mœurs. J’étais encore sous le choc de ces actes. Et bientôt un semblant de lucidité me parut. Il venait de défoncer le cadre de bois fin, non ? J’ai presque retenu mon soupire, il allait définitivement avoir des problèmes.
Il me jeta, comme un rien sur un des lits et le choc réveilla ma douleur au pied, me faisant grimacer. Quelle délicatesse, quel prince. J’ai voulu frotter ma cheville, mais mon poignet ne suivit pas le geste. Rha, imbécile que je suis ! Il tiré finalement une chaise et me lança une serviette que j’ai peiné à attraper. J’ai senties qu’il retirait mes chaussures et le rouge de mes joues ce fit plus fort. J’avais courus, la honte me parcourra l’échine. Pourquoi je m’en inquiétai autant ? Après de tels actes, franchement. J’ai retenus mon souffle quand il y passa la crème. Il était sérieux ? Son bandage fini il me sonna même d’être plus prudent. J’étais perdu, me contentant de le regarder un instant. Une vague d’émotion trop chauds m’envahis. On eut dit un parent inquiet, bien que cela m’ai fait défaut, je peux le reconnaître et mon cœur ne s’en sert qu’un peu plus. Je sentais ma lèvre trembler quand il vint doucement me masser les poignets. C’était exactement l’image qu’il m’offrait. Chacun de ces gestes en respirait de cette manière.
Son pardon me déchira et j’ai baissé les yeux. Je refusais de pleurer devant lui, l’image qu’il a de moi m’était déjà assez pénible pour qu’il en rajoute une corde faussé. Je ne comprenais pas comment une personne qui en apparence est si brute et m’en foutre peut ce montré doux à ce point en l’instant. C’était horrible et ça me mettait à rude épreuve. Je me sentais à nouveau envahis. Victime, c’était le mot choisit qu’il avait prononcé pour moi. Je n’aime pas ça, en moi cela sonne comme la pire des insultes. Mais mes émois ne me permettaient pas de me justifier. J’ai donc essayé de me consoler seul pour faire un peu face avec fierté, balayant mon visage de mes quelques larmes, j’ai pris la serviette qu’il m’avait si soigneusement jetée à la face, comme un chien, pour lui mettre doucement sur les cheveux. Il était trempé et allait attraper le rhume s’il ne prenait pas plus garde à lui. Plutôt que soignée ma bêtise, il devait y faire attention. J’ai soupiré, essayant de rassemblé mes mots. Je refuse qu’il garde ainsi cette image de moi. Même si je ne peux en comprendre la cause.
- Je ne suis pas une victime. Ce n’est pas mon genre d’aller plaindre que mon houspille alors que je caprice comme un gosse. T’a pas à t’excuser, on essuie tous sa colère d’une façon ou d’une autre. Je dirais à la direction que je suis tombé lors de l’évacuation. C’est tout.
J’ai porté mes poignets à mon regards et je les ai frotté un instant, chacun l’un après l’autre pour en tester la douleur. C’était amoindri, j’allais juste en garder un bleu, tout au plus. J’ai haussé les épaules en tirant mon épaisse masse blonde plus en arrière, les mèches mouillé me collant déjà au front. J’ai pensé un instant qu’il avait simplement eu pitié de moi, mais je n’arrivais vraiment pas à l’imaginé avoir de la pitié pour qui que ce soit. Ces gestes me restaient donc inconnues. J’ai à nouveau balayé mon visage de mon bras. L’émotion me vrille. Je me sens fatigué. Trop de chose en trop peu de temps. Et l’image de sa mort me hante encore, me faisant frissonner de toute ma personne. Encore une chose qui s’ajoutera lors de mes insomnies. Hanter par des morts qui n’ont jamais eu lieux, j’ai l’air bien idiot. A qui je pourrais en parler après tout. Il n’a même pas conscient d’être mort. Il c’était excusé et même si c’était uniquement pour la forme, je me tenais d’en faire autant. La politesse était l’adage des princes. J’ai à nouveau baissé tête et yeux vers le matelas. Je ne me sentais pas d’affronté un tel regard de brase, j’eu peur de m’enflammer au moindre regard.
- Je m’excuse. J’ai agis bêtement, mais … Quand je t’ai vu étendus par terre dans un bain de sang et d’organe… J’avoue avoir paniqué… Puis ta façon d’agir… On dirait un…
Le rouge su sang me prit de plus belle les joues et j’ai bafouillé avant de tourner la tête, honteux. De quel droit je pouvais parler ainsi quand on connait le sort de mes propres parents. Si je puis vraiment les nommé ainsi. J’ai à nouveau frissonné, je ne devais pas y pensé, vraiment pas y pensé. Mes ses gestes me poussent à croire qu’il est papa. On ne peut exprimer ainsi la fibre paternelle sans l’être même un peu. Mon cœur me pinça quand je me mis inconsciemment à envier cet enfant. C’est une chose que j’ai souvent jalousé, Dieu m’en garde. J’ai laissé mes doigts jouer avec le tissu du matelas, la tête toujours tourné. Je me demande s’il est pareil avec ? Surement pas, il doit être plus doux. J’ai presque sourie, ça doit être bien n’empêche. Je le vois indéniablement comme un parent certes strict, mais aussi protecteur. Les larmes me prennent à nouveau et j’ai vite enfouis mon visage dans mon bras, feintant un mal de tête.
Si à modifier, merci de m'en faire part.
Kobayashi
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Jeu 27 Avr - 19:38
Grouille toi le nain.Kobayashi & JakobSi tu pouvais disparaitre le ferais-tu ? Si tu devais ne jamais revenir est-ce que tu partirais sans te retourner ? (System Of A Down → Aerials)Il ne semblait pas aller bien, mais alors pas du tout. Je suis con, mais pas au point de ne pas voir que quelqu’un va mal. Mais je ne comprenais pas son mal d’un coup, que se passait-il ? Sans doute le choc ou je ne sais quoi. Est-ce que je lui avais fait peur ? Il y a des chances pour que ça soit ça au final. Alors que j’ai arrêté de masser ses poignets, alors que j’allais bouger voilà qu’il venait de me mettre la serviette sur la tête. J’ai cligné des yeux rapidement me demandant bien comme cela avait pu arriver.
Des explications sont venues par la suite. Il n’était pas une victime, je me fichais bien je dois dire de ce qu’il était en vrai ça ne changera pas qu’il est un être arrogant quand il s’y met. J’ai retiré la serviette de ma tête et j’ai froncé les sourcils. Il agissait étrangement et je ne savais pas comment réagir je dois bien l’avouer. J’ai essayé de comprendre ses gestes, tout ce qu’il disait, tout ce qu’il faisait. Je n’ai pas pour habitude de chercher à comprendre, mais là sans doute devrais-je faire un effort. Juste histoire qu’il ne se sente pas incompris. Je voulais aussi éviter une nouvelle crise d’enfant de trois ans. C’était ennuyant je dois bien l’admettre et je ne suis jamais d’humeur pour supporter les caprices, c’est sans doute pour ça que ma fille n’en fait jamais et qu’elle en fait tout le temps avec sa mère. C’était juste une question de « elle comprend que je n’aime pas ça, alors elle le fait ailleurs ». C’était juste ça. Uniquement ça. J’ai passé une main dans mes cheveux en enlevant la serviette en l’écoutant une nouvelle fois.
Pourquoi parlait-il de ma mort ? C’était chiant ça depuis tantôt, puis petit à petit j’ai commencé à prendre conscience de la chose. Est-ce que ça serait possible que son pouvoir soit lié à la mort ? je ne sais pas. Enfin bon devrais-je vraiment l’interroger sur ça ? Je ne pense pas que ça soit une bonne idée. J’ai soupiré en écoutant la suite. J’avais l’air de quoi ? Hein ? Il s’arrête en plein milieu comme si cela allait l’aider. Je suis curieux de base et j’aimerai bien savoir ce qu’il pense en cet instant ! Mais plus j’y pense et plus je me dis il doit me prendre pour un père, « ta façon d’agir ». Je suis trop gentil sans doute ? Mais bon je ne vais pas le frapper encore et encore j’avais déjà assez d’ennuis comme ça, il faut bien l’avouer que la pauvre porte n’allait sans doute pas survivre, elle ne devait plus être vivante, puis la salle devait être juste morte maintenant, mais bon sans doute qu’ils allaient prendre en considération que j’avais sauvé leur mannequin non ? Quoi ? Je n’ai pas le droit de rêver juste un peu ? Haha. J’ai froncé les sourcils en le voyant faire, est-ce qu’il chialait ? Bordel, mais je suis tombé sur une fillette en vrai !
« Hum, c’pas grave. Mais si tu voulais dire que je ressemblais à un père évite de le dire. Ça ne m’intéresse pas plus que ça qu’on me dise déjà ce que je sais. »
Oui je ne pouvais pas être gentil de partout. Les gestes ok, mais la parole. Non, mais d’un côté je voulais savoir ce qu’il pense de moi, mais d’un côté je sentais que ça allait être la même chose que tout le monde. Ce n’était pas bien compliqué, on ne pouvait pas se faire quarante avis sur moi de toute façon. Puis bon je m’en branle aussi un peu de l’apparence que je donne. Ce n’est pas comme si ma vie allait changer. Ce n’était qu’une question de temps pour qu’il pense que je suis un monstre sans cœur, s’il ne l’avait pas déjà pensé tiens. Ça faciliterait la tâche je dois bien l’avouer. Je lui ai refoutu la serviette sur la tronche. En lui enlevant ses bras et j’ai commencé à lui sécher les cheveux doucement. Je me demandais bien comment il faisait pour survivre dans ce monde s’il se met à pleurer comme une fillette à la moindre chose. Mais d’un côté j’espère qu’il ne pleure pas parce qu’il a mal sinon je me sentirai vraiment mal pour le coup. Bah oui s’il pleure, c’est que je lui ai fait vraiment mal et à partir de là je sais que mon ami ne va plus JAMAIS me lâcher du moment que je ne me suis pas fait pardonné, même si ça doit prendre quatre mois il ne me lâchera pas. Je ne voulais pas de ça. Il était très très chiant quand ça concernait ça.
« Pourquoi tu pleures ? Tu as mal quelque part ? »
J’ai laissé la serviette en plan et j’ai fixé son pied, passant ma main doucement dessus pour voir si c’était cassé ou non. Mais il n’y avait rien. Cela devait juste être une douleur passagère. Je suis remonté jusqu’à ses poignets les fixant et les touchant tout doucement. Ils ne s’étaient pas brisés. Il allait juste avoir des bleus, mais rien de bien grave en soit. Est-ce qu’il pleurait, car il se disait qu’il allait être laid pendant quelques jours ? Ah bah ouais ça serait bien le truc d’un mannequin, mais je doute que ça soit vraiment ça. Il ne semble pas être du genre à faire ça. Puis je me suis dit que peut-être qu’il s’était fait mal ailleurs ? Pendant qu’il courait ou quand il était tombé tantôt ? Je l’ai allongé sur le lit et j’ai soulevé son haut sans plus de cérémonie. De loin ça peut paraitre étrange, mais bon on s’en branle il est majeur.
« Ne bouge pas, je vais voir si tu es blessé ailleurs. Autant en profiter. »
Je lui ai touché doucement le ventre, j’appuyais assez pour savoir si quelque chose n’allait pas, mais pas trop pour ne pas qu’il ait mal. J’ai fait de même pour ses bras et ses jambes et à part ses genoux il n’y avait rien de bien cassé on va dire. Je l’ai redressé comme si c’était une simple poupée et je me suis penché pour voir son cou. Rien ici. Je lui ai tourné la tête pour voir le reste, rien non plus. Je lui ai tâté le dos. Bah rien non plus ici. Bordel pourquoi il pleurait, alors ce débile ? Sans vraiment comprendre pourquoi, sans vraiment comprendre mes gestes, sans savoir pourquoi je faisais une telle chose, j’ai passé mes doigts sous ses yeux, enlevant les petites larmes qui trainaient et je lui ai juste sourit. Un vrai sourire, qui se voulait rassurant. Puis le temps que je réalise je me suis reculé et j’ai fini de lui sécher les cheveux rapidement en me relevant et essuyant mes cheveux aussi. Puis j’ai pris mon sac et son sac. Je lui ai lancé le siens.
« Si tu as des vêtements de rechange change toi. On ne va pas retourner faire du sport de toute façon et tu ne vas pas aller voir ton manager dans un tel état. »
Moi j’ai ouvert mon sac en voyant les vingt-cinq appels manqués de la femme que je déteste le plus au monde. Sérieusement elle ne peut pas laisser un message vocal ou un sms ? Comme tout le monde ? Non, il faut qu’elle appelle encore et encore même s’il n’y a pas de réponse. C’est presque lassant. Elle craint de ouf cette femme. Mais moi sans plus de cérémonie j’ai retiré mes affaires trempés restant en caleçon. OK. Nous sommes entre mec on s’en fout un peu ? Quoi que je m’en fous même devant une femme… Ouais enfin qu’importe je m’en branle je fais ce que je veux. J’ai ainsi séché rapidement mon corps mouillé depuis tantôt et j’ai enfilé mes autres habits. J’étais en chemise et jean noir. J’ai enfilé ma veste à capuche par la suite et j’ai fixé Kobayashi.
« Si tu permets j’aimerai t’emmener quelque part. »
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Jeu 27 Avr - 20:57
「Politesse, fut l'adage des rois.」
Jakob & Kobayashi
J’étais perplexe. Ces paroles étaient des plus froides et honteux je n’en baissais qu’un peu plus les yeux. Je me sentais mal d’être là comme un gosse alors que j’ai vingt-six ans bordel ! J’avais moi aussi l’âge d’être papa, alors il n’était vraiment pas bon pour moi de me comporter ainsi. Il retira finalement mes bras et me sécha les cheveux, ce qui ne m’aidait en rien à le comprendre. Malgré ces sermons, il se montre à nouveau paternel envers moi, chose qui me trouble. Ces mots me prirent de nouveau au dépourvus, il pensait m’avoir fait mal ? C’est vrai qu’à mon âge on a plus vraiment d’excuse pour se laisser aller de la sorte, et mon apparence ne m’excuse en rien. J’ai fait la moue sans toutefois répondre. Oui il m’avait fait mal, mais pas au point de me mettre aux larmes, n’exagérons rien. J’étais un peu honteux qu’il m’a ainsi mis la vérité en face, le rouge teinta mes joues d’autant plus quand j’ai réalisé ce qu’il faisait. Le contact de sa main me faisait frissonner tout le corps. Et quand il m’allongea le rouge enflamma mon visage tout entier. Bordel, je retire tout ce que j’ai dit sur le paternalisme de ce garçon ! Ces mots en m’aimaient en rien et des pensé bien moins chastes que voulus me traversèrent l’esprit.
Bordel Iris, est—ce vraiment le moment ? En plus sérieusement, ce mec vient de me défoncer les poignets, je n’avais Aucune raison de m’emballer de la sorte. J’ai inspiré longuement en essayant d’ignorer le contacte de sa peau sur la mienne. Il ne me redressa comme de rien, creusant un peu plus l’écart entre nous. J’aimerais avoir une carrure plus adulte là tout de suite, vraiment. Mais j’ignore s’il serait si gentil, dans ces gestes, avec moi si c’était le cas. Il doit avoir pitié, je dois lui paraître faible. Un faible petit mannequin qu’il voit surement comme narcissique. S’il savait à quel point mon corps me complexe. Son visage était définitivement trop proche du mien et j’avais beau détourner les yeux, sa beauté me frappait. On eut presque l’impression de ne pouvoir l’atteindre, sous la carapace de dur qu’il se forge. Ainsi je l’ai laissé vérifier presque chaque centimètre de mon corps, mais je n’avais rien en effet, mais maux était psychologiques et certes peuvent paraître enfantin. Je pleure un simple manque qui parfois me revient avec trop de violence. J’ai déglutis, il allait le comprendre. J’en avais honte.
Attendant la moquerie qui ne tarderait surement plus, il me coupa tout simplement les mots. Passant doucement ces doigts sous mes yeux, il m’offrit le plus beau sourire qu’on eût pu m’offrir un jour. Mon cœur s’arrêta de battre un instant. Seigneur Dieu. Pour un tel sourire je serais prêt à me damné tous les jours. Il m’apparaissait aussi beau que précieux. Je vois mal Jakob sourire de cette façon à n’importe qui. Pourtant une pensée me traversé et mon cœur en souffre à nouveau. De la pitié. Je n’aime pas cette idée et m’empresse de la chasser. Il finit de m’essuyer les cheveux et me lança mon sac. Cette fois je l’ai rattrapé malgré ma grimace. Ces paroles me firent lever un sourcil. Il craint que je n’aille me plaindre ? Je lui ai pourtant affirmé le contraire, non ? Je comptais réellement dire que je m’étais blessé dans la hâte de l’évacuation. Il ne serait coupable de rien, il était inutile de ce montré attentionné si c’était cela qui l’y pousse. Mais déjà toute pensé cohérente s’éteignis en moi. Il se foutait en slip devant moi, là ? Mes joues allaient exploser et j’ai baissé mon regard derechef. Seigneur Kobayashi ! Le self-control tu connais ? J’étais troublé, mon colocataire est certes poilus de la face, mais loin d’être mal foutus. Et je le voyais, à mon grand damne, un peu trop souvent dans le plus simple appareil. Mais jamais il ne me fut un pareil effet !
J’ai recommencé à respirer à l’écoute de ces mots. Quelques parts ? J’ai rougis à nouveau. Ce rend-il seulement compte de l’effet qu’il me fait ce mec ? Je n’en étais pas sûre. Certes il doit être habitué aux nombreux regards indiscrets des petites modèles de notre compagnie. Des filles Vimentel en maillot de bain qui le reluque ça ne doit pas être rare. Pourtant il semble n’en faire fit avec moi. Il doit me voir comme un gosse, incapable de se posé ce genre de question. Ou est-ce parce que je suis un garçon ? Il est papa, non ? Donc possiblement mariée, donc hétéro. C’était plus qu’une certitude, et j’en étais un peu triste. Pourquoi ? Je l’admire, physiquement, certes. Et oui certes ces gestes sont parfois si doux que je m’en damnerais mille diables. Et oui encore certes son sourire m’avait presque fait mourir sur place. Pourtant, je ne peux me résoudre à penser qu’il puisse s’agir d’autre chose que de la simple admiration. J’ai secoué la tête un instant et j’ai ouvert mon sac pour en sortir des vêtements de rechange. J’étais habituer à me foutre à poile devant une foule de gens, ce n’était au moins pas un problème pour moi. Pourtant, son regard me chauffe. J’ai finalement retiré mes vêtements trempés sans plus de gêne et j’ai enfilé un T-shirt gris et ma chemise à carreau, suivit d’un simple slim. C’était toujours ça, j’étais au sec et c’était plus agréable.
- Je ne pleurais pas. J’avais les cheveux mouillé, s’pour ça… On aurait pu croire, mais non. Point.
J’ai baissé les yeux, je me sentais encore plus idiot de me justifier ainsi, mais voilà fierté viril oblige un peu quand même. J’ai fait jouer ma cheville un moment m’arrachant une autre grimace. J’avais vraiment été des plus con moi. J’ai posé le pied à terre en soupirant. Il voulait m’emmené quelques part. La question du pourquoi ce pose, non ? Après tout je l’avais plus que mis en colère non ? Je devais l’exaspéré ? C’était idiot, je ne veux pas qu’il se force à rester avec moi si ce n’est que pour racheté son geste. Moi aussi j’avais agis bêtement et je n’allais pas faire une chose du genre pour autant. J’ai soupiré, rejetant à nouveau mes épaisses mèches blondes en arrière. J’avais le regard du mec qui pense trop. J’allais craquer à force de trop pensé. Mais sans doute que je devais profiter de son soudain élan de plus ou moins gentillesse, non ? Si je devais dire un truc, j’avais l’impression que c’était maintenant ou jamais. J’ai pris ma respiration, nerveux et j’ai fini par lâcher.
- J’suis gay, alors bon d’un côté tu me tripottes de partout, puis tu te changes devant moi puis tu me dis que tu veux m’inviter quelques part… Donc bon si c’est pour te rattraper c’est un peu idiot. J’ai agis comme un débile profond, alors bon… Voilà, je préfère être franc, ça sous entends rien du tout compris ?
Je n’avais aucune crédibilité mais mon ton n’était en rien coléreux, j’avais dit ça presque las. J’étais un peu fatigué. J’ai soupiré avant de reprendre.
- J’m’exprime n’importe comment, ce que je veux juste dire c’est que je ne veux pas que tu te forces a supporté ma compagnie qui, je l’ai bien compris, t’es pénible. Voilà… Mais … Ouais ‘fin merci, ça me trouble en fait. Tu n’es pas très cohérent entre tes paroles et tes gestes, c’est difficile de te suivre…
J’ai détourné les yeux un peu gêné, puis je me suis finalement levé avec mon sac sur l’épaule. Ils n’allaient pas tardé à faire une ronde pour savoir d’où venait l’alerte, il n’était pas bon de rester dans le coin. Lui comme moi devait le savoir. J’essayais d’afficher un air neutre, je suis habitué à changer de mimique sur commande, mais chaque fois que ma rétine rencontrait l’image de son corps, mes joues s’empourpraient. Pourquoi je lui ai dit que j’étais homo ? Il va croire qu’il me fait bander… Bon certes… M’enfin voilà !
Ayez pitié seigneur.
Kobayashi
Jakob B. Collins
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