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Mr X était un scientifique de bien triste renommé.Voulant redorer son blason, il entreprit un nouveau projet. Rendre aux hommes la vie plus simple.
 
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Une journée sans lumière.

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April Hawkins
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April Hawkins
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Humain
Dim 12 Fév - 6:07
Pouvez-vous m'aider docteur ?J’ai sursauté en entendant ce bruit, qu’est-ce que c’était ? Pourquoi j’avais l’impression que c’était tout proche, c’était dans la pièce même est-ce qu’il y a quelqu’un qui vient de rentrer ? Est-ce que c’est une bombe ? Est-ce que c’est juste le docteur O’dril ? il y avait tant de possibilité, mais le calme qui règne dans la pièce me prouve bien que ce n’était sans doute pas grand-chose, si c’était une bombe il y aurait déjà du bruit et il y aurait l’odeur de la fumée, si c’était quelqu’un il aurait déjà hurlé ou je ne sais quoi, il ne restait que le docteur, mais pourquoi il aurait fait ça ? Puis toujours sans un mot, ni lui ni moi d’ailleurs, je l’ai senti m’attrapé par l’épaule une nouvelle fois, que se passait-il ? Puis nous nous sommes mis à marcher, alors je n’ai rien dit, j’ai senti son index sur mes lèvres, que voulait-il ? Je pense que c’était sans doute un signe pour me dire de me taire, car nous allions traverser un endroit dangereux ? Nous étions sûrement sortis de son bureau, alors il est sûr qu’on ne devait pas se faire attraper et je l’ai senti par la suite me pousser dans je ne sais pas quoi, je pense que ça doit être un ascendeur au bruit que ça avait fait. Puis je l’ai entendu me parler, alors il avait frappé dans le mur pour ça ? Son ami était en danger ? Je comprenais mieux sa réaction, ce n’était pas si illogique que ça, sans doute serait-il aller l’aider si je n’étais pas là, j’espère que je ne vais pas le ralentir dans ce qu’il fait.

J’étais soulagée qu’il ne soit pas blessé, puis j’ai souris il était donc vraiment si fort pour avoir réussi une telle prouesse ? J’ai tout simplement souris encore et encore. J’allais rajouter quelque chose quand l’ascenseur se stoppa d’un coup manquant de me faire tomber, car je ne me tenais à rien, que se passait-il ? Pourquoi il n’avançait plus ? Pourquoi ça tombe en panne maintenant dans une telle situation, je l’entendais appuyer sur les boutons, mais on dirait que c’était vraiment en panne, on allait devoir attendre ? On pourrait très bien escalader, alors si cet ascenseur est comme tous les autres ascenseurs, il y a sans doute une trappe quelque chose du genre, mais je nous vois mal faire une telle chose, surtout que je ne voyais rien, j’allais plus le ralentir qu’autre chose. Puis je l’ai senti. Je me suis sentie tirée par quelqu’un. Que se passait-il ? Je l’écouté et d’un côté je comprenais parfaitement ce qu’il ressentait. Il avait donc peur du noir ? Il faisait donc noir.. Je l’ai enlacé en lui tapotant doucement le dos en souriant. C’était quelque chose que je pouvais très bien comprendre du coup.

Le noir reflète la solitude.
Quand nous sommes plongés dans le noir, le monde n’est plus qu’un monde sans couleur.
Nous les personnes non-voyantes, c’est tous les jours comme ça, parfois une petite tâche de couleur passe par-là, mais généralement tout est noir, pourtant mon monde n’est pas si fade. Je me suis détachée de lui quelques secondes et j’ai essayé de trouver le petit mur, je l’ai touché et j’ai souris.

« Allons allons, essayons de nous asseoir déjà, on va être mieux. Je comprends parfaitement ce que vous ressentez, ne vous en faites pas, tout ira bien. »

Je me suis laissée glisser au sol et j’ai tâté mon sac, sans doute que mon GSP parlant faisait de la lumière ? Je sais que mes parents m’ont mis un téléphone aussi, même s’il ne me servait à rien, c’était au cas où que quelqu’un puisse contacter ma famille s’il m’arrivait quelque chose, ça pouvait sans doute faire assez de lumière pour qu’il ait moins peur ? La milice on devrait les attendre non ? Mais combien de temps ? Je ne sais pas ? Est-ce que ça va le rassurer que je dise que la milice ne va pas tarder ? Ils ne savent sans doute pas qu’on est coincé ici de toute façon, mais ça va vite s’apercevoir quand ils verront que l’ascenseur ne vient pas à eux. J’ai tendu la main du côté d’Alfredo et j’ai tapoté sa jambe.

« J’ai sans doute quelque chose qui pourrait faire de la lumière, c’est dans mon sac, mais venez près de moi monsieur ça sera plus simple. »

J’ai fourré ma main dans mon sac et j’ai commencé à tâter tout ce que je trouvais, c’était mon GPS parlant, je l’ai sorti et je l’ai déposé à mes jambes, puis j’ai sorti les papiers et les stylos, ce n’était pas très utile, puis j’ai senti le téléphone, je l’ai sorti et j’ai essayé de trouver un bouton, je le tournais dans tous les sens, j’ai cliqué sur le bouton, j’étais fière je pensais que ça l’avait allumé.

Ce qu’elle ne se doute pas c’est que le téléphone était éteint donc aucune lumière n’était présente dans l’ascenseur.

« Ah voilà de la lumière normalement. On va attendre la milice, votre ami va s’en sortir s’il est aussi fort que vous le dites, j’en suis sûre. D’ailleurs pourrais-je savoir quel est votre prénom Monsieur O’Dril ? »

Je me sentais un peu mal à l’aise pour le coup je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas comment gérer sa peur, je sais que ça ne va pas l’aider longtemps la lumière d’un téléphone, mais au moins il avait ça, c’était déjà un grand pas et sans doute devrais-je faire la conversation pour qu’il puisse se sentir mieux et oublier tout ceci ? Mais pour le moment je devais savoir si tout allait bien, est-ce que déjà il acceptera de parler à une personne comme moi ? j’étais juste aveugle et sans doute pas psychologue et j’étais surtout sculpteuse que voulez-vous qu’il dise à une personne comme moi ?

« On peut se tenir la main si vous le voulez, le contact aide beaucoup à calmer les peurs. »

Super April continue comme ça et bientôt tu passeras pour la fille qui veut absolument tenir la main d’un homme. Tss.

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April Hawkins
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Alfredo O'dril
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Dim 12 Fév - 7:03
En quoi- puis-je t'aider ?  -

Alfredo O'dril

April  Hawkins

J’étais assez surpris de l’entendre me dire ça. Après tout ma révélation était pour le moins honteuse, mais elle n’en fit rien. Elle se laissa glisser sur le sol et s’assis, du moins c’est ce qui me semblait distinguer. Avec ce noir je n’y voyais pas grand-chose il faut dire. Elle me tapota la jambe et je me suis donc assis en face d’elle. J’ai plissé les yeux pour voir ce qu’elle faisait. Elle avait réussie à prendre un téléphone, quel trifouilla dans tous les sens semblant essayer de faire je ne sais pas quoi. De la lumière ? Elle pensait donc avoir réussie à l’allumée. Elle avait dit ça avec une telle joie de réussite que je ne pus me résoudre à lui dire qu’elle se trompait. Elle était terriblement adorable, comme ça. Oui je l’admets. Elle essayait de me rassuré je pense. Mais je n’avais pas peut pour Lawrence, ce mec avec littéralement des armes dans les bras, ce ne sont pas des petits voyons qui allait lui faire peur ! Mais je n’aimais pas le laissé seul, je voulais l’aider ! Elle parla de la milice aussi, je n’aime pas vraiment ces gens. Il ne m’aime pas non plus il faut dire, après ce que j’avais fait. J’ai tiqué de la langue et elle me demanda mon prénom. Juste je m’étais présenté comme le docteur O’dril, sans plus. Elle me fit sourire, oui oui je sais ! J’ai pris sa main dans la mienne, touché. Je me suis approché un peu et je me suis éclaircie la voix, reprenant mon air neutre habituelle.

- Alfredo.

C’est bien bravo un mot c’est parfait. Je n’étais tellement pas habitué à faire la discussion à quelqu’un comme ça ? Que lui dire après tout ? Ha vous savez l’homme arrêter par la milice ha oui c’était mon maître charmante anecdote n’est-il pas ? J’ai retenus un soupire en serrant sa main sans m’en rendre compte. J’ai porté mon autre main, la droite, vers mon visage. Pouvais-je faire quelques choses pour ça ? J’ai tiqué de la langue. D’où je tenais ce tic d’ailleurs je ne faisais pas ça avant ! J’ai regardé dans sa direction, essayant de percevoir son visage. Elle souriait souvent cette jeune fille, c’était surprenant surtout vu la situation, mais très révélateur de sa personnalité. J’admire. Je ne savais pas quoi dire et cette situation ne me mettait pas à l’aise. Je devais trouver un truc n’importe quoi !

- Je n’aime pas vraiment les membres de la milice. Enfin c’est plutôt eux qui ne m’aiment pas. Heum longue histoire.

Parfois, je m’étonne moi-même. Je suis terriblement doué pour dire et faire n’importe quoi semble-t-il. J’ai tiqué de la langue et j’ai frotté mon front. Idiot, idiot ! J’ai posé ma main droite sur le sol de la cabine. Je ne sentais presque rien. J’ai froncé les sourcils, rien à faire j’avais beau me concentré, rien. Nada ! Je ne pouvais donc même pas aidé à nous sortir de cette situation. On allait juste devoir attendre la milice alors. Enjoie, j’avais tellement hâte de revoir ces charmants jeunes hommes aux caractères désagréables ! J’ai soupiré.

- Je n’ai pas grand-chose à dire. Mais toi tu peux me parler de toi si tu veux. Genre où tu vies tout ça.


J’étais bel et bien nerveux, il va s’en dire. Foutus appareil, pourquoi tu t’es pas allumé, hein ? J’ai baissé les yeux. Bon elle foutait quoi la milice d’ailleurs ? Puis pourquoi je lui demander de me parler d’elle, j’m’en foutais royale en fait de où elle vivait. Sans doute que si elle me parlait je me sentirais plus calme. J’ai levé les yeux aux ciels. J’ai reposé mes deux mains par terre en s’entends la structure de l’ascenseur bouger. C’était quoi ça encore bordel !


Alfredo O'dril
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Dim 12 Fév - 21:58
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Les informations en italique
Prise d'otage
Heure actuelle ▬ 11 h 22.

« Nous avons été informés que les médecins qui étaient en charge du projet Zertak ont été emmené dans une salle. La situation a été éclairci. Le projet Zertak est un tout nouveau programme mit en place, il concernerait toutes les races, humain comme Amardiel que Distoriel, cependant les critères pour y entrer pour le moment sont très poussés et très dur.

Les hommes qui ont organisés ça sont des amis plus le mari d’une femme qui devait rentrée dans le projet. Elle a dû perdre du poids, arrêter ses médicaments pour au final être refusé. C’est pourquoi Tobias Célycar a voulu parler avec les médecins de ce projet, malheureusement il s’y est mal pris.

A ce que nous savons personne n’est mort, mais il y aurait des blessés. »


Heure actuelle 11 h 25 ▬

« Dernières nouvelles la milice serait arrivée à neutralisé tous les hommes, car un des hommes a paniqué après avoir affronté un homme dont il ne peut rien nous dire. Comme il a été dit aucun mort n’a été déclaré, juste des blessés qui ne sont pas touché gravement.

C’est une histoire bien triste, mais qui se termine bien, la Milice recherche éventuellement des victimes ou des personnes qui se sont enfuies, mais pour le moment l’étage se fait évacuer doucement pour avoir les soins appropriés. »


Les hommes venaient de se faire arrêter.
On voit des personnes sortir de l’hôpital, des personnes rentrées puis ressortir. La milice a pris le contrôle de l’hôpital, ils sont de partout pour trouver des potentielles victimes vues que les hommes ne sont pas rentrés par l’accueil de l’hôpital. Ils essayent de faire venir l’ascenseur qui ne vient pas. Ils font appel à un technicien qui commence à trifouiller les fils et compagne. L’ascenseur bouge un peu, puis il fonctionne de nouveau.

Bip.

La porte s’ouvre sur deux personnes assis par terre. Un homme de la milice se poste devant eux.

« Nous sommes de la milice, vous pouvez sortir de là en sécurité les hommes ont été neutralisés. »

Un des hommes reconnait Alfredo O’dril, mais ne dit rien attendant qu’ils sortent juste pour reprendre leurs activités. Mais tout le monde fixe le petit duo assis par terre.

Le monde ne survivra pas.
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April Hawkins
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Dim 12 Fév - 23:26
Pouvez-vous m'aider docteur ? Il était en face de moi, le petit « vent » qui est passé quand il a marché indiquait clairement où il était. Je l’ai senti me prendre la main et doucement je l’ai serré pour bien dire que j’étais là et que je n’allais pas le lâcher, je ne sais pas pourquoi d’ailleurs, mais c’était comme ça sans doute. C’était étrange de se dire que j’étais enfermée dans un endroit clos avec une seule personne que je ne connaissais pas.

Alfredo ?

Oh c’était donc son prénom, Alfredo O’Dril, je le notais dans ma tête pour un bon moment, il avait été si gentil avec moi, je lui devais sans doute un peu la vie aujourd’hui, c’était vraiment gentil de sa part de m’avoir aidé, alors que rien ne lui obligeait. Je l’ai senti me serrer un peu plus ma main que se passait-il ? Il y avait un silence de mort dans cet endroit, alors peut-être que la peur revenait au galop malgré que le téléphone fasse de la lumière ? Je sais que ce n’est pas beaucoup, que pouvais-je bien faire ? Ka milice ne l’aimait donc pas des masses je vois. Ce n’était pas grave, je dirai qu’il m’a sauvé la vie et que j’étais là depuis le début, mais est-ce que le discours d’une aveugle va aider ? J’en doute sincèrement, mais je pouvais essayer on ne sait jamais après tout.
Sa dernière phrase me laissa un peu perplexe que voulait-il que je lui dise moi ? Je savais juste le quartier où j’habitais ne remplissant jamais les papiers, je ne savais même pas le numéro, mais sans doute était-ce dans mon GPS parlant, mais sans doute devrais-je parler non ? Ça pourrait le rassurer un peu, il lâcha ma main, j’étais un peu triste, mais c’était comme ça. J’ai senti l’habitacle bouger un peu, il se passait quoi encore ? Est-ce que ça se débloquait ? Mais pour le moment rien du tout.

« Alfredo O’dril donc ? Je le garde en mémoire. Euh eh bien j’habite dans le quartier nord c’est tout ce que je peux dire sans doute que ma maison semble grande, hum je ne connais même pas mes voisins... Sinon dans la vie je suis sculptrice. »

J’ai souris et j’ai porté ma main à son visage doucement, je savais qu’il était en face de moi donc je ne pouvais pas me tromper. Je sculpte les visages je sais des choses que je ne peux pas savoir avec le fait que je sois non-voyante, je devinais des choses et je savais aussi que parfois ce n’était pas bien ce que j’apprenais des autres. Je me sentais mal parfois de devoir autant toucher le visage des autres.

« Je sculpte des visages des personnes, des visages comme le vôtre, mais vous êtes tous différent à votre manière, votre visage raconte un peu qui vous êtes, vous savez ? Je ne peux juste pas savoir si vous êtes blancs, noirs ou violet, la couleur de vos yeux ou les cheveux tout ceci je dois demander, vous vous habillez bien Alfredo, vous êtes quelqu’un de charismatique. »

J’ai senti l’ascenseur bouger de nouveau et la lumière grésillée, c’était revenu, je lui ai lâché le visage et j’ai tâté sur le côté pour reprendre mes affaires, j’ai tout remis dans le sac ainsi que mon téléphone. J’ai entendu un homme parler et je me suis relevée en tâtant derrière moi pour me tenir. Puis j’ai regardé sur le côté droit et gauche ne sachant pas vraiment quoi faire. Alors j’ai attendu qu’Alfredo se lève, mais j’ai posé ma main vers sa tête pour pouvoir le contourner au final pour me foutre sans doute devant les portes.

« Je vous remercie messieurs, est-ce que tout le monde va bien ? »

Je me suis retournée cinq secondes en arrière comme si je regardais Alfredo sans vraiment savoir si je le regardais, sans doute s’il savait que son ami va bien il ira mieux, maintenant que j’y pense il y a de la lumière tout devrait aller pour le mieux. J’ai alors souris puis j’ai tourné la tête devant en mettant ma main devant moi pour avancer doucement pour sortir de là, je me suis arrêtée une fois qu’un homme m’ait retenu et j’ai attendu sagement ne sachant plus trop quoi faire, mais je fus pris d’un moment de panique et si ce n’était que des mensonges ? Ce n’était sans doute pas les gentils et j’étais sortie comme ça. Je devais reculer et voir Alfredo.

« Docteur O’dril, vous êtes là ? »

Non, mais je suis inconsciente parfois moi, je ne suis pas du genre à me méfier et du coup je sors tranquillement comme ça, je pourrai mettre sa vie en danger du coup, je suis vraiment idiote !


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Lun 13 Fév - 0:45
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Alfredo O'dril

April  Hawkins

Quartier Nords. Elle vivait donc dans le même coin que moi. J’ai réfléchit un moment quand elle parla de voisin. Il y avait Lawrence qui vivait pour ainsi dire au bout de la rue, mais en voisin proche. La maison à droit de chez moi était à vendre et pour celle à gauche je crois que c’est un vieux. Qu’est ce qui me fait dire ça ? Bha je ne l’ai jamais vu, il doit ne pas sortir, et il a une bestiole bizarre. Pas moche, mais bizarre quand même. J’ai secoué la tête, sculptrice. C’était en effet un métier qui semblait parfait pour elle. Je n’y avais jamais pensé, mais ça devait être beau à voir, c’était un peu comme voir à travers ses yeux, si je puis dire. Elle porta à nouveau sa main à mon visage. Voulait-elle me sculpter ? J’ai froncé les sourcils, voir qui j’étais. C’était quoi ça. J’ai un peu paniqué, genre le pouvait lire mon passé sur mes traits ? Non, ça ne pouvait pas être vrai, j’ai l’expression la plus neutre et blasé de la planète ! Lawrence me le répète tout le temps !

J’étais visiblement charismatique, c’est bon à savoir. Mais oui je m’habille bien, j’ai toujours fait attention à ça. Comment le savait-elle d’ailleurs ? Puis j’ai légèrement rougis, oui juste elle m’avait tâté de partout. L’endroit ce mis à trembler légèrement et la lumière revint. Visiblement le problème était régler, ça avait été assez vite. J’ai regardé l’endroit un moment, puis j’ai regardé April. Les portes s’ouvrirent et je connaissais l’homme derrière. J’ai tiqué de la langue et je me suis levé, passant mes deux mains, dans mes cheveux trop longs pour les tirés en arrière. Oui, il fait partie des hommes qui m’oint arrêter et traîner devant le conseil. J’ai tiré la gueule je l’admets, car ce mec avait pris un malin plaisir à citer le nom des gens que j’avais réduit à l’état de rien. April c’était éloignée, pas farouche comme jeune fille, cela pouvait être un piège après tout ! J’ai continué de fixé l’homme en uniforme, puis j’ai été posé mon bras sur ses épaules comme précédemment.

- Ouais je suis là. Et toi arrête de me fixer putain ou je t’éclate le nez.

J’avais dit ça super calmement, comme si je commandais un sandwich. Mais j’en avais plus que marre que ce mec me dévisage comme ça. On s’est donc toisé un moment, mais il savait de quoi j’étais capable. Il a donc fini par marmonner un truc mauvais et est retourné s’occuper des autres blessés. Y avait des gens partout je n’aimais pas ça, de plus que je n’ai pas encore récupéré mon gant ! J’ai donc fourré ma main bien loin dans ma poche, pour être sûre de ne toucher personne par accident, sait-on jamais. J’ai regardé April, quand un truc grand et lourd me frappa dans le dos. J’ai sursauté comme une pucelle de treize ans. Késésé ! J’ai regardé et j’ai vu Lawrence me tendre mon gant. J’ai sourie et il me fixa avec un sourire encore plus grand. Il n’y avait rien à dire. J’ai simplement pris mon gant et je l’ai mis. Il n’avait pas l’air blessé, ce débile, on aurait presque dit qu’il avait pris son pied. Jouer au héro c’est son truc faut dire, je sais de quoi je parle.

- Jvois que Monsieur à rien. J’ai un compte à régler avec toi en plus…. Mais passons. Merci pour le gant.

J’avais pas envie de me fritté avec car il m’avait envoyer une patiente inutilement après tout. J’ai repris mon visage neutre et il m’ébouriffa les cheveux. Rha non ! J’ai ensuite passé mes mains dans mes cheveux pour me recoiffé en jurant tant dis qu’il s’éloigna, non sans un clin d’œil que je ne pus interpréter. Bha pourquoi il me fait un clin d’œil le balafré ? Il veut me pécho ou quoi ? Ha oui merde April ! Après avoir remis mon gant je lui ai pris la main, avec ce dernier, et je l’ai ramené vers mon bureau pour plus de calme. Oui j’aime el calme, et là avec tous ces gens qui courraient de partout c’était blasant. Une fois entré j’ai refermé la porte et j’ai entrepris de me recoiffé un minimum.

- J’lui ai dis cent mille fois de ne Pas toucher à mes cheveux, c’est la merde après, sont trop long !


Pourquoi je lui raconte ça, moi ? Qu’est ce qu’elle en a à foutre de mes petites pensés comme ça. C’était déprimant. J’ai encore une fois tiqué de la langue, faut vraiment que je trouve d’où ça me viens.

- Harf pardon ne m’écoute pas. Enfin maintenant que ce bordel est fini j’en étais où moi… Hm ha oui juste, je peux te raccompagnée peut-être ?


J’allais enfin avoir ma réponse quand la porte s’ouvrit une fois de plus, me faisant râler impunément. Mais merde, je peux faire mon travail tranquille ou merde ? C’était un autre membre de la milice. Il parlait comme quoi on devait venir témoignée de nos actes car il avait visiblement pas tout compris. Un homme serait sorti en faisant tout capoté. Hm, j’espère n’être pour rien dans cette histoire. J’ai levé les yeux aux ciels, mon insubordination les tues je le sais. Je n’avais pas envie de venir faire son témoignage débile, j’ai donc refermé la porte, avec lui derrière en baragouinant un truc genre «  On a rien vus, on était coincée aller salut ». Oui, je sais, faites-moi un bisou. Paraît que je suis charismatique en plus ! J’ai tiqué de la langue.



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Mar 28 Fév - 1:07
Pouvez-vous m'aider docteur ? Il y a des choses que je ne pourrais sans doute jamais expliquer dans cette journée. Déjà pourquoi j’étais là et comment ça se faisait que je me retrouvais à devoir attendre qu’un docteur me dise qu’il est là, avec la milice qui nous disait qu’on était hors de danger, je me sentais vraiment dans ce genre de situation, car tout m’échappait, je ne pouvais rien faire, je ne pouvais qu’être sur la défensive, mais vu qu’Alfredo était là j’étais sortie tranquillement sans vraiment me soucier de la chose, je lui faisais confiance, alors qu’on ne se connaissait pas. Je n’ai pas eu le temps de tout comprend que je me suis retrouvée je ne sais où sans doute dans son bureau ? Il se plaignait de son ami, de ses cheveux. Je n’osais pas dire que je ne comprenais plus rien à la situation et que j’aimerai bien une réponse concrète de sa part, mais c’était sans doute trop demander, mais alors que j’allais enfin prendre mon courage à deux mains, il me demanda une nouvelle fois s’il pouvait me ramener.

Le pouvait-il réellement ? Après tout il avait du boulot je ne voulais pas le déranger puis il y avait mon père en bas qui devait sans doute s’inquiéter et me chercher dans tout l’hôpital actuellement, mais normalement il devrait appeler sur mon portable non ? Enfin ça serait étrange qu’il appelle il viendra sans doute, mais je ne voulais pas déranger Alfredo pour le coup la porte s’ouvrit avant que je ne dise quoi que ce soit, mais ce n’était pas ce que je pensais, c’était encore la milice, ils n’en avaient pas marre de venir nous déranger ? Surtout que dans un sens moi je ne pourrai rien dire, j’avais juste entendu des trucs, je n’avais rien vu. J’ai pris une grande inspiration pour répondre à Alfredo dans un sens je voudrai bien qu’il me ramène ça pourrait être bien, puis au moins ça le décompressera un peu de ce qu’il vient de vivre non ? Je suppose que les rendez-vous sont annulés pour le moment ce qui était parfaitement compréhensible entre nous hein.

« Je… »

Mais la porte s’ouvrit de nouveau dans un grand fracas, j’entendais une respiration rapide je ne comprenais pas ce qui se passait, c’était encore in des gars ou la milice qui venait de courir ? Non ce n’était pas possible. Mais aucun son ne sortait de la bouche de la personne qui venait de rentrer juste un profond silence qui était assez gênant je dois dire.

C’était le père d’April qui était rentré comme un déluré dans la pièce. Il allait dire quelque chose, mais il vit Alfredo, il reparti en souriant et en hochant la tête en direction d’Alfredo. Après s’est assuré rapidement que sa fille aille bien.

La porte se referma plus calmement cette fois, je ne comprenais vraiment plus cette situation c’était vraiment étrange, je sentais que quelque chose n’allait vraiment pas dans ce qui venait de se passer, de toute façon rien n’était normal dans cette situation actuelle. Ah oui je dois répondre au docteur il ne faut pas le faire trop attendre il pourrait sans doute changer d’avis d’un coup comme ça.

« J’accepte volontiers, ça vous changera les idées en plus. »

J’ai tâté mon sac et j’en ai sorti le téléphone après quelques minutes de recherche et je l’ai tendu ce qui me semblait être en face de lui, il fallait qu’on prévienne mon père juste histoire qu’il ne s’inquiète pas inutilement de ne pas me voir descendre avec notre grande amie infirmière.

« Est-ce que vous pouvez juste contacter mon père il est en bas ou au boulot ou sans doute dans les couloirs, donc le prévenir… C’est une bonne chose à faire je crois n’est-ce pas ? »

Je n’étais pas sûre d’un coup et s’il était parti au boulot le temps que ma consultation se finisse ? Etant donné que ça s’était éternisé il était sans doute partie en laissant un message à l’infirmière qui doit être sous le choc actuellement. J’ai tout simplement haussé les épaules en réponse à moi-même et j’ai souris en direction d’Alfredo.

« Vous avez donc les cheveux longs si j’ai bien compris ? »

Bah quoi je me renseigne, il avait un joli visage, quelque chose qui donne envie d’être sculpter, je n’avais pas encore eu le temps de « tâter » comme il faut pour « voir » à quoi il ressemblait concrètement, mais je sais déjà des choses. Je me demande quel est sa couleur de peau, sa couleur de cheveux et la couleur de ses yeux. C’était des choses que je ne pourrai voir pour le moment ou vraiment jamais tout dépendra de l’évolution.

« Je vous remercie de me proposer ça… Je suis rassurée. »

Oui il faut bien le dire que j’avais été plus que rassurer d’être avec lui pendant tout ce temps, je me sentais légèrement en sécurité, sinon je serai déjà partie en hurlant et courant de partout malgré le fait que j’aurai pu me faire tuer sans même avoir eu le temps de dire « Padamboum. », mais maintenant ce qui était fait est fait.
Je me demande bien ce qu’il pense, puis son ami était sans doute en bon état après ce qu’il avait dit tantôt, je me demande s’il est en colère contre lui ? Non ça ne se peut pas. Je me suis grattée la joue ne sachant pas trop où me mettre pour le coup, mais ma conscience me disait « laisse-le te raccompagner », alors je laissais faire ma conscience.

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Jeu 9 Mar - 13:10
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April  Hawkins

Elle avait passé ma menace d’éclater un nez comme de rien ce que j’appréciais ma foi fortement. J’ai un caractère de cochon parfois je l’admets, j’ai donc continué à la regarder alors qu’elle commençait sa réponse quand nous fûmes encore une fois interrompus. Non mais ggrlgrlrm ! J’ai fixé l’air sévère la personne qui avait fait une interruption plutôt bruyante dans mon bureau. Il ressemblait un peu à April, j’ai froncé les sourcils. L’homme me toisa un bref instant avant de partir tout sourie en acquiesçant de la tête. Mais allons bon c’était quoi cette merde là ! J’avais l’impression de pécho ça fille avec son consentement ! J’ai soupiré en me tenant l’arête du nez. Mon seigneur quel journée ! April qui ne semblait pas vraiment avoir compris ce qui c’était passé repris calmement.

J’admire la façon qu’elle a de tout gérer sans poser de question, vraiment c’est une très belle qualité. Attendez pourquoi je la complimente là ? Mes pensées furent interrompu quand elle me passa son téléphone. Ha oui mais problème il est toujours éteint, ce qu’elle ne sait pas. Je me suis mordu la lèvre, je ne voulais pas qu’elle comprenne son inutilité de toute à l’heure, heureusement sa prochaine phrase m’offrit une parade à cette situation. Elle me sourit, j’aime son sourie. J’ai battu des cils en prenant son portable quand elle parla de mes cheveux. Mes joues se sont empourprés quelques peu. Han oui juste j’avais parlé de mes cheveux, quel idiot je faisais moi des fois avec ma grande bouche ! J’ai ouvert la bouche puis je l’ai refermé pour ne pas l’interrompre. Je l’a rassurais. Ces mots me touchaient, vraiment. Elle ne peut sans doute pas comprendre à quel point, mais je ne rassure jamais les gens. Je suis fait pour faire peur, pour être menaçant, pour détruire. Mais je l’a rassurais. Mon cœur s’en serrait et je n’avais plus les mots. Un court blanc envahis donc la pièce avant que je ne reprenne la voix pleine d’émotion.

- Merci ça me touche que tu me dises ça, vraiment.


J’ai posé ma main sur ces cheveux, on se demande de qui je tiens cette sale habitude, je suis quelques de très tactile de base, mais je ne me voyais pas lui faire un câlin oklm dans mon bureau comme ça. Donc ma main suffisait. J’ai regardé son GSM un instant. Elle avait pu voir mes peurs, c’était un peu la honte pour moi, mais comme pour le reste elle était passée au-delà. J4aime vraiment cette qualité. En fait j’apprécie cette fille. Je le réalise, sans doute qu’on pourrait être ami… Oui bon ça me semble bizarre à moi aussi, mise à part les jeunes de Lawrence j’ai peu d’ami. Et ce sont plus des frères à mes yeux. Puis imaginer, on devient ami et moi je me retrouve à devoir la buté, ce serait contraignant. Cette situation me blase je vous jure. J’ai recommencé à me tenir l’arrêt du nez. Bon concentrons-nous sur la situation pour bien faire. Premièrement lui rendre son téléphone, puis lui expliquer calmement.

- J’ai croisé ton père ne te traquasse pas il va bien et il sait que tu es avec moi. Il a même fait une entrée assez bruyante. Et j’avoue ne pas avoir compris son sourire étrange à mon intention.



J’avais le regard blasé je l’admets, mais cette situation me perturbait voilà ! Je n’aime pas ne pas comprendre, c’est aussi simple que ça ! J’ai cherché mes clés de voiture un petit moment. Je suis fière de dire que oui j’ai une voiture, ce qui dans notre monde actuel avec les pollutions et les guerres est assez rare et un privilège de luxe. Oui j’admets je frime et je suis grave fière et alors ? J’ai fini par les trouvés et j’ai soupiré soulagé avant de retournée mettre ma main sur la joues d’April. Elle a la peau super douce cette gamine dit donc ! Ha oui répondre à sa réflexion. J’ai pris sa main, posant la texture de mon gant sur sa peau et je l’ai posé sur mes cheveux, comme pour lui montrer. Bha oui elle peut pas le voir et j’aime pas laissé les gens dans l’ignorance, je trouve ça impolie ! Surtout que moi-même je suis curieux de nature !

- Oui j’ai les cheveux très longs. Mon ex adorait ça et puis après par habitude je les ai gardés comme ça.


J’ai finalement lâché sa main pour à mon tours lui touché les cheveux. On avait tous les deux la même couleur de cheveux, c’était particulier j’aimais bien. Elle ne devait pas savoir, devais-je lui dire ? Après tout pour elle je suis peut-être noir avec des cheveux roses hein ! Oui vaut mieux vérifier et mettre la chose au clair juste pour être sûr.

- Mes cheveux ont exactement la même couleur que les tiens, sauf que j’ai la peau un peu moi pâle que toi. Et j’ai les yeux noisette. Voilà comme ça tu me visualise peut-être un peu mieux… Ha heu je suis garé en bas.


J’étais un peu gêné de lui parler de moi comme ça, aller comprendre. J’ai donc pris sa main attendant presque son accord et je suis sortie de mon bureau, sans lâcher sa main. Il y avait encore des membres de la milice, mais ça semblait déjà s’être calmé. Je pouvais apercevoir Law’ au loin occupé à bander le bras de quelqu’un avec son éternelle sourire, il m’adressa un signe de la main puis un sourire complice en regardant April. Allons bon encore un sourire ! Non mais c’est quoi le délire de tous ces gens ! J’vous jure ça va finir par m’agacé cette histoire ! J’ai soupiré en prenant l’escalier, pas question de retourné dans l’ascenseur, et j’ai grogné en croisant le même membre de la milice que tantôt. Ha lui il ne me souriait pas au moins, c’était plus un regard lourd de jugement, comme si je partais buté April et cacher son corps. Bon okay je peux le comprendre, après tout c’est littéralement ce que je faisais avant. Mais tout de même ! Tant de suspicion ! Je me suis donc arrêter dans l’escalier pour le toisé moi aussi. Oui on avait l’air malin comme ça face à face dans un petit escalier je l’admets, mais je ne baisserais pas les yeux devant lui, pas question !




Alfredo O'dril
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Humain
Dim 12 Mar - 22:25
Pouvez-vous m'aider docteur ? Je me sens étrange par moment, il y a des choses dans ce monde que je ne pourrai jamais expliquer. Il y a des choses que je ne pourrai jamais comprendre et que personne ne pourra me dire. Je ne suis pas d’accord qu’on nous laisse seul ainsi, mais il venait de me sauver la vie, alors il est vrai que j’avais accepté qu’il me ramène, mais pourquoi lui avoir dit qu’il me rassurait et que je me sentais en sécurité avec lui ? Étais-je folle à ce point ? il faut le croire.  
Je n’étais qu’une simple patiente parmi tant d’autres et il prenait le temps de me raccompagner chez moi, je me dis qu’il ne devrait pas faire ça, mais bon je voulais devenir son amie, c’était décidée. Je sais c’est idiot, mais je l’appréciais oui, c’est bien ça, puis il m’avait protégé après tout. En sentant sa main sur ma tête je me suis demandé ce qu’il voulait, puis il me parla de mon père, alors lui il avait l’art et la manière de faire les choses je ne sais pas comment du coup l’expliquer à Alfredo c’était quand même assez gênant cette situation du coup et si ça se trouve il va mal le prendre.

Je me suis un peu déplacé en l’entendant bougé un peu, je me demandais bien pourquoi mon père ne m’avait pas appelé sur le téléphone, normalement si je suis à l’hôpital il savait que j’avais quelqu’un avec moi, puis j’ai senti une main sur ma joue, je dois bien l’avouer, j’ai senti mes joues chauffer d’un coup, c’était si soudain, d’habitude c’est moi qui touche et non l’inverse, j’étais assez heureuse dans un sens. Je me suis posée une simple question que faisait-il ? Je sentais que ma main partait ailleurs, était-ce ses cheveux ? Je pense que oui, j’ai simplement souris, je pense que j’apprécie son geste, ce n’est pas souvent qu’on me fait ça. Donc son ex ? C’était intéressant à savoir dans un sens.

Il me toucha une nouvelle fois les cheveux, je me sentais bizarre il faisait ça pour quelle raison déjà ? Je ne sais pas du tout, j’ai penché la tête quelques secondes quand il m’expliqua à quoi il ressemblait, je fus une nouvelle fois toucher de ce geste si ce n’était que moi je l’aurais pris dans mes bras pour lui faire un câlin, mais bon on doit se tenir convenablement.

Il me prit la main et on est sorti, je me laissais guidé, il voyait et moi pas. Je ne sais pas pourquoi, mais je me disais que ’était plus tôt cool comme rencontre dans un sens, je me suis laissé guidé quand on s’est arrêté net dans les escaliers, j’ai serré un peu plus sa main, mais le silence qui régnait ne laissait prévoir rien de bon, je me disais que là je devais agir j’entendais une respiration qui n’était ni celle d’Alfredo, ni la mienne et en plus de ça le fait qu’un message de la milice passe par là me laissait dire que c’était un membre, était-ce celui de tout à l’heure ? Celui que le doc n’aime pas ? Je pense que oui sinon on ne serait pas comme des idiots plantés encore là.

Hum je me demande si je pouvais faire ça. N’est-ce pas un peu osé ? Je suis une fille qui aime improvisé, je devrai le faire. J’ai souris.

« Chéri ? On attend quoi ? Il se passe quelque chose ? Tu m’as dit que tu me ramenais non ? »

Je l’ai un peu tiré pour descendre les escaliers je sais que je ne suis pas très douée, mais je faisais vraiment attention à ne pas a loupé une marche, j’ai continué à le garder près de moi et une fois en bas je lui ai lâché la main pour m’incliner un peu. Je me devais de m’excuser, eh bien oui si ça se trouve il a déjà une copine ou un copain, je ne vais pas foutre la merde non ?

« Excusez-moi hein, je rigolais, mais au moins nous sommes descendus. Ah oui euh pour mon père ça doit être une histoire de « Ma fille est avec un homme laissons-là », vous voyez le genre ? Il est comme ça quoi. »

J’ai inspiré un bon coup, je n’entendais personne, on semblait être seul, alors tout ce que j’ai fait été de le prendre dans mes bras. Je sais ce n’est pas bien, mais je voulais vraiment lui dire merci. Je ne sais pas s’il va le prendre comme ça, mais voilà hein, on me refait pas.

« Je vous remercie, pour tout à l’heure. Ça m’a vraiment touché, très peu de gens font ce que vous avez fait. En plus de me sentir en sécurité avec vous, je me sens légèrement « normale » pour le coup. J’arrive à mieux savoir à quoi vous ressemblez. »

Je me suis reculée après ce petit discours, il faut vraiment que je fasse attention à ce que je fais, je ne suis pas très à l’aise normalement avec les câlins avec un inconnu, mais ça semblait différent cette fois-là. J’ai tourné la tête dans les deux sens comme si j’allais trouver quelque chose puis j’ai tendu ma main de nouveau pour qu’il puisse la reprendre si l’envie lui venait pour qu’on puisse avancer.

« Vous êtes garé dans les parages ? »

Et finalement sans même attendre qu’il dise quoi que ce soit j’ai attrapé sa main et je l’ai serré doucement, on ne sait jamais et j’avais la flemme de sortir ma canne d’un coup, tout ce que je faisais maintenant c’était lui sourire. Oui parfois on me dit que je souris vraiment trop, mais j’aimais bien sourire, surtout quand je suis avec quelqu’un de gentil ou que j’apprécie. Il ne faut pas vraiment chercher ma logique, mais d’un côté maintenant que j’y réfléchis je me demande si mon père lui a fait le sourire que je pense ou le sourire qui veut dire quelque chose d’autres. ? Hum bonne question.. Je verrai ce soir sans doute.


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Jeu 23 Mar - 12:20
En quoi- puis-je t'aider ?  -

Alfredo O'dril

April  Hawkins

Chéri ? Ma petit Battle de regards d’enfant de cinq ans fut perturbé par ce mot pour le moins inattendus. Mon regards plus qu’interrogatif ce posa sur elle alors qu’elle reprit toujours avec ce sourire qui, je l’admets, me réchauffe un peu. Elle me tira finalement dans l’escalier décrochant également un regard plus que surpris au membre de la milice. Allons jeune homme c’est quoi cette face de truite là ? Je me suis mordu la lèvre au bord de la crise de rire. Rhola c’était trop bon faut que je pense à remercier cette gamine ! Une fois arrivée en bas elle s’inclina comme résolue à s’excuser et ses paroles me firent passer l’envie de rire. Mais il s’imaginait quoi là son père ? Que j’allais pécho sa fille ? Je me répète sans doute, mais ma seul relation fut très virils, pleines de poils et de sueur, alors une minette tout sourire… Bon okay le sourire ils l’avaient en commun m’ais y avait bien que ça ! C’est à croire que j’attire les gens qui sourient pour un rien.

C’est un genre de loi physique du à compenser mon éternelle visage de blasé ? Aller savoir après tout… Elle me prit finalement dans ces bras comme si ce geste était resté en suspense trop longtemps. Sur le coup je n’ai pas vraiment compris comment je devais réagir alors j’ai simplement posé mes mains dans son dos pour lui rendre un minimum son étreinte, en la regardant de cette façon mes cheveux formait comme un rideau entre nous et le monde. C’était calme et … Rassurant ? C’est ce qu’elle ne tarda pas à me confirmait. Ces mots me réchauffaient une fois de plus. Je l’a rassure, elle se sent en sécurité avec moi. C’était indescriptible comme sensation, c’était nouveau pour moi. Elle me souriait encore, toujours et souvent. C’était chaud, c’était sincère. Elle me prit la main, elle aimait mon contacte, pour moi c’est toujours aussi nouveau. Mon cœur battait très vite, mais cela n’avait pas de sens. Je suis gay, j’en suis certain. Pourtant. Pourtant la raison céda la place aux pulsions et avant de réellement comprendre je l’ai tiré vers moi pour poser un baisé chaste et des plus simples sur ces lèvres.

- Merci April.

Je sais que ça peut vous paraitre et débile, et rapide, et sans sens. D’ailleurs tout ça est vrai et terriblement vrai même ! J’aime les hommes, elle est plus que féminine, mon baisé est donc simplement un geste de remercîment… N’est-ce pas ? J’ai soudain repris mes esprit et surtout je me suis rendus compte que vu mon statut le geste peut-être terriblement mal interpréter. Prenant toujours sa main dans la mienne j’ai donc finalement cheminé jusqu’à ma voiture. Une fois arrivé je l’ai lâché et j’ai fouillé dans mes poches après ma clé. Ma voiture, ma fierté. Peu en possède dans notre monde et je peux dire sans gêne que la mienne n’est pas de la gnognotte ! J’ai chassé l’image de sourires suspects qu’on m’avait adressés tout le long de la matinée. Ma montre tapait onze heures et j’étais déjà sur les rotules. J’allais poser ma journée façon, vu le carnage personne allait remarquer mon absence. J’ai donc été ouvrir la porte à April puis je suis venus prendre place aux volants, laissant le moteur rugir que j’ai démarré. Hoo douce mélodie de la puissance !

J’ai sentis mon portable vibré dans ma poche et un bref regard m’indiqua un message d’Amandil. Ho mec pour une fois faudra faire sans moi ! Milice ou pas je n’en avais strictement rien à battre. Je sais qu’en temps normal la moindre interaction du genre me vaut une analyse complète etc pour vérifier que j’ai réduit personne en petit tas de rien. Mais là je n’en avais strictement rien à battre. Règle ou pas je verrais ça plus tard. J’avais quelques chose de plus important à faire ! J’ai posé mon regard sur April. J’ai pris sa main, avec mon gant, et je l’ai posé sur mon visage avant de lui sourire. Le plus sincèrement et chaudement du monde. Oui je lui ai sourie. C’ets vous dire ce que me fais cette jeune fille.


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Sam 25 Mar - 2:13
02:13:07

Suite ici > https://exp-darwin.forumgratuit.fr/t183-le-doux-parfum-d-un-sentiment-nouveau-alfredo-o-dril#1042
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